mardi 11 décembre 2007

DANS LA PRESENTATION DE SON LIVRE,YENGO FAIT DU FEU DE TOUT BOIS.

Il est parfois difficile de comprendre certains congolais qui, lorsqu'on veut parler des sujets de la vie nationale, on cache les vraies versions. Yenga écrit un livre en indexant toute la classe politique congolaise. Mon Dieu ! Ce groupe de mots ''classe politique',’ est un vocabulaire volcanique et malhonnêtement utilisé par certains congolais pour cacher les coupables d'une situation voulue et organisée par des gens bien connues. Yengo comme la plupart des congolais qui écrivent ou décrivent frauduleusement avec malhonnête bien sûr, l'histoire du Congo, devraient savoir que des congolais qui savent ce qui s'est passé, seront toujours présents pour barrer la route aux faussetés historiques de la vie politique au Congo Brazzaville. Vraiment peut-on oublier que la constitution de 1992 nous appelait, nous rappelait et nous recommandait que le pouvoir ne soit plus au bout du fusil, mais au bout des urnes ? Yengo qui accuse la classe politique. Sait-il que cette vision est trompeuse ? La classe politique a-t-elle introduit les armées étrangères, venues de l'Angola, Le Tchad, le le Gabon, le Rwanda, le zaïre répondre à l'appel de sassou nguesso afin de tuer et de renverser les institutions démocratiquement élues. Yengo parait comme étant l'adepte de la logique du flou artistique à entretenir dans l'opinion, dans le seul but de camoufler les coupables des guerre au Congo Brazzaville. Il faut que les Congolais cessent de mentir à travers des livres écrits en stoppant la vérité. Le mal du Congo depuis 1960 c'est bien Youlou qui a été aidé par les Français, le mal du Congo,c'est sassou qui est venu tué et corrompre Kolélas pour mettre du désordre dans le pays. Désordre ayant abouti au Coup d'État de 1997. Yengo marque dans son livre l'état de guerre que le Congo a connu : prenant comme repère chronologique et temporel 1993 et 1994, cette attitude n’est pas fortuite. Pour yengo, ce qui s'est passé avant, il ne saura jamais survoler quelques vérités sur les situations du passé, cela importe peu. Or ce que nous vivons aujourd'hui, les causes sont dans la rivalité lari-mbochi ou Pool -cuvette abusivement nommée rivalité Nord/Sud dans la course ver le pouvoir, en leur qualité de squatteurs du Congo. Pour moi, c’est la véritable cause des meurtres et des crimes politiques. Si l'on manque le courage de dénoncer ce qui fait tant de mal au Congo et aux Congolais, ce n’est pas normal. Il est difficile que certains disant n’importe quoi sur les guerres au Congo ne soient pas taxés d'allure criminelle historico sociale du fait d'avoir publié des informations en inadéquation aux vraies raisons causant des guerres au Congo Brazzaville. Les alliances faites ou défaites entre les partis ne sauraient être les raisons de guerres. Cela est un grossier mensonge. Avant 1990, pourtant, il y'a eu de guerres, certes sans beaucoup d’impact de même ordre que le coup d’État de 1997 prolongée en 2003, mais ce sont les mêmes causes. Yengo parle d’alliances. On ne parlait pas d’alliances avant ! Mais il y’a eu les mêmes problèmes causés par les lari et les mbochi qui se battaient pour le pouvoir. Puisqu’il n'y avait pas de partis politiques en compétition .Comment tenir un tel argument ?
Yengo a tapé à côté. Le mal du Congo en temps de démocratie, c’est bien sassou le corrupteur, y compris Kolélas, le corrompu. Car l'agitation à bacongo et à makélé-Kélé fut une gloire, un moment de fête pour déposer Pascal Lissouba. Arrêtons de tout le temps mentir.

C'est ça la vérité ! La vraie vérité !
Gervais Mboumba.