dimanche 4 mai 2008

dimanche 4 mai 2008
LA PETITE PLUME EN HONNEUR .

Mes très chers internautes, AMOUREUSES ET AMOUREUX DE BELLES LETTRES.

En m'adressant à vous , je me sens très fier et plein de bonheur. Je suis également comblé de joie dans tout mon cœur pour vous dire combien je suis émerveillé de vous parler de ma petite expérience en écriture,cela constitue assurément une partie de ma vie donc de mon histoire.
Si le chanteur chante, il n'est là ,non seulement pour chanter, mais tout en chantant, il parle à tous ceux qui ont l'oreille tendue à lui, dans sa façon de parler ,donc de dire tout ce qu'il a dans sa tête, conçue de la manière la plus noble et harmonieuse à travers la mélodie instrumentale.

Si le peintre est au coin d'une des rues les plus fréquentée, en le voyant peindre, les gens disent:voilà un peintre qui dessine des tableau! Peut-être que dans ce tableau du peintre, il y demeure un message, donc ,il parle et dit à sa manière tout ce dont il veut dire ,que quelque d'autre aurait dit autrement .De même pour moi qui souhaite parler aux gens à ma manière, bonne ou peut-être pas bonne, mais je parle.C'est ce que je suis en train faire ,donc je parle à ma manière de tout et de rien. De mon histoire, et peut-être de ma vie, celle d'être un conteur celui qui parle sans cesse, sans se fatiguer, mais parfois en parlant ou dire ce qu'il pense pour se faire entendre.Notre vie est si courte et, comment alors quitter ce monde sans parler ,sans communiquer ? Même en disant rien qui accroche, l'essentiel est que l'on parle ou l'on se parle .


C'est une longue histoire, mais d'une courte explication. Certes que vous vous demanderez pourquoi cette contradiction dans mes propos?

Une histoire peut être longue par rapport au temps qu'il peut prendre lorsqu'on tente de la détailler. mais il y'a parfois la manière de dire ou de la raconter qui permet au conteur d'utiliser une méthode si facile et courte pouvant faire que cette histoire longue puisse finalement devenir courte en ayant juste une bonne façon de l'étaler avec des phrase courtes, en évitant de paraître évasif et surtout en évitant les répétitions. Malheur donc à la maxime qui enseigne tant que: la répétition est la mère de toute la science, et que dirons-nous pour d'autres cas? sœur ? tante de toutes les sciences?

De mon histoire, jaillira une petite confidence jamais connue de ceux qui me connaissent pourtant,parce que cette confidence n'a jamais été révélée. Pourquoi donc n'ai-je-pas révélé cela? Et bien c'est parce que la révéler, ferait qu'elle ne soit plus confidence, donc serait automatiquement connue de tous! Autrement dit, la confidence n'aurait plus sa raison d'être!

Oui! jusqu'à présent ,mon histoire n'est point longue, car depuis que je parle de celle-ci, je n'ai totalement et en moins de quelques phrases dépenser que quelques minutes. La minute! Oui! la moindre unité du temps.Oui! je me résolve de regarder ma montre tant que mon histoire ,en la racontant ne soit pas longue comme je l'ai dit au départ.
je vois combien votre impatience vous déboussole et vous gruge, car,moi-même en ayant bien en tête mon histoire, je me sens tout à fait à l'aise pour qu'en vous la racontant à vous, je ne sois pas trop long. je me donne comme mot d'ordre, un principe peut-être une consigne, c'est évidemment ,celle de ne pas user du temps qui est si cher et si précieux à tous les humains. je vois que mon histoire est longue,mais je tourne rond.Je me sens coupable de mettre des internautes en position d'attente maximale ,car ayant annoncé tout au début que le libellé de mon histoire n'est point long, je me sens coupable une fois de plus de ne pas honorer à ma promesse,celle de faire que mon histoire ne soit pas longue .J'ai l'impression de perdre mon latin en me retrouvant comme bloqué dans la mesure où je ne sais pas encore dire à tous les internautes qui attendent impatiemment que je leur raconte mon histoire dont je leur ai pourtant annoncé.
Bon! je veux maintenant vous la raconter.
Je disais tout au début que mon histoire n'est pas assez longue ne terme de temps, voilà que je me vois un peu soumis à une dure épreuve ,celle de ne pas réussir à raconter mon histoire. Bon! je m'efforcerai à vous la raconter en moins de quelque temps.

Mais de quoi s'agit-il en parlant de mon histoire?

L'histoire de ma petite histoire en écriture!

Je m'imagine déjà en train d'être critiqué par ceux qui lisent déjà et ne comprennent rien de ce que j'avance et ,surement certains vont y tourner la page d'un clic de la souris de leur ordi.
Oui! Ils auront raison, car, on ne perd pas du temps devant un texte dont on ne connait ni le début ,encore moins la fin si fatidique, car ,en me lisant ceux qui sont pressés n'auront rien à me dire sinon me critiquer tout de suite.

Certains diront ah! celui-là est fou? Oui! peut-être! Pour celui qui sait que l'on est fou après avoir lu et non avoir relu, il ne lui reste que blâmer par le truchement de sa petite colère qui souvent, envoie des gens dire tout ce que la colère dicte aux humains.
D'ailleurs quelqu'un me disait autrefois qu'une partie de colère qui monte dans la tête d'un humain, lui inculque une partie de vie comportemental de même ordre que chez un oiseau qui n'a pas retrouvé assez de grains dont il est le seul à connaitre le goût.

Ah! je me perds carrément! Non! je suis là! je continue avec mon histoire, juste une brève parenthèse qui m'a permis de laisser mon histoire dont j'ai pourtant la volonté de conter ou de raconter.

Enfin! Je suis , je vis et je dis tout ce qui m'arrive à l'esprit.

Ce blog n'est-il pas celui qui est créé pour se raconter des histoire?

Je ne sais pas si déjà ceux qui me liront commenceront à s'en moquer? Oui! Ils pourront s'en moquer,car ils ne comprendront pas eux-mêmes pourquoi se moqueront-ils de moi ou même de mon histoire dont ils n'auront connue et surtout comprise. D'ailleurs comment comprendre sans l'avoir entendu parler ou même lue? En s'engageant dans une sorte de négligence au conteur et à son histoire contée même de la manière la plus clairement amusante ou alors clairement non amusante, il est assez particulièrement pas bien d'être impatient. On manque tout.

Chacun aura compris que mon histoire c'est écrire, écrire pour dire, et aussi pétrir des mots peut-être souvent mal employés selon que l'on soit en ire.

Oui! voilà mon histoire: celle d'écrire pour faire lire tout ce que fera rire sans délire.

GERVAIS MBOUMBA,
écrivain.
LA PETITE PLUME EN HONNEUR .

Mes très chers internautes, AMOUREUSES ET AMOUREUX DE BELLES LETTRES.

En m'adressant à vous , je me sens très fier et plein de bonheur. Je suis également comblé de joie dans tout mon cœur pour vous dire combien je suis émerveillé de vous parler de ma petite expérience en écriture,cela constitue assurément une partie de ma vie donc de mon histoire.
Si le chanteur chante, il n'est là ,non seulement pour chanter, mais tout en chantant, il parle à tous ceux qui ont l'oreille tendue à lui, dans sa façon de parler ,donc de dire tout ce qu'il a dans sa tête, conçue de la manière la plus noble et harmonieuse à travers la mélodie instrumentale.

Si le peintre est au coin d'une des rues les plus fréquentée, en le voyant peindre, les gens disent:voilà un peintre qui dessine des tableau! Peut-être que dans ce tableau du peintre, il y demeure un message, donc ,il parle et dit à sa manière tout ce dont il veut dire ,que quelque d'autre aurait dit autrement .De même pour moi qui souhaite parler aux gens à ma manière, bonne ou peut-être pas bonne, mais je parle.C'est ce que je suis en train faire ,donc je parle à ma manière de tout et de rien. De mon histoire, et peut-être de ma vie, celle d'être un conteur celui qui parle sans cesse, sans se fatiguer, mais parfois en parlant ou dire ce qu'il pense pour se faire entendre.Notre vie est si courte et, comment alors quitter ce monde sans parler ,sans communiquer ? Même en disant rien qui accroche, l'essentiel est que l'on parle ou l'on se parle .


C'est une longue histoire, mais d'une courte explication. Certes que vous vous demanderez pourquoi cette contradiction dans mes propos?

Une histoire peut être longue par rapport au temps qu'il peut prendre lorsqu'on tente de la détailler. mais il y'a parfois la manière de dire ou de la raconter qui permet au conteur d'utiliser une méthode si facile et courte pouvant faire que cette histoire longue puisse finalement devenir courte en ayant juste une bonne façon de l'étaler avec des phrase courtes, en évitant de paraître évasif et surtout en évitant les répétitions. Malheur donc à la maxime qui enseigne tant que: la répétition est la mère de toute la science, et que dirons-nous pour d'autres cas? sœur ? tante de toutes les sciences?

De mon histoire, jaillira une petite confidence jamais connue de ceux qui me connaissent pourtant,parce que cette confidence n'a jamais été révélée. Pourquoi donc n'ai-je-pas révélé cela? Et bien c'est parce que la révéler, ferait qu'elle ne soit plus confidence, donc serait automatiquement connue de tous! Autrement dit, la confidence n'aurait plus sa raison d'être!

Oui! jusqu'à présent ,mon histoire n'est point longue, car depuis que je parle de celle-ci, je n'ai totalement et en moins de quelques phrases dépenser que quelques minutes. La minute! Oui! la moindre unité du temps.Oui! je me résolve de regarder ma montre tant que mon histoire ,en la racontant ne soit pas longue comme je l'ai dit au départ.
je vois combien votre impatience vous déboussole et vous gruge, car,moi-même en ayant bien en tête mon histoire, je me sens tout à fait à l'aise pour qu'en vous la racontant à vous, je ne sois pas trop long. je me donne comme mot d'ordre, un principe peut-être une consigne, c'est évidemment ,celle de ne pas user du temps qui est si cher et si précieux à tous les humains. je vois que mon histoire est longue,mais je tourne rond.Je me sens coupable de mettre des internautes en position d'attente maximale ,car ayant annoncé tout au début que le libellé de mon histoire n'est point long, je me sens coupable une fois de plus de ne pas honorer à ma promesse,celle de faire que mon histoire ne soit pas longue .J'ai l'impression de perdre mon latin en me retrouvant comme bloqué dans la mesure où je ne sais pas encore dire à tous les internautes qui attendent impatiemment que je leur raconte mon histoire dont je leur ai pourtant annoncé.
Bon! je veux maintenant vous la raconter.
Je disais tout au début que mon histoire n'est pas assez longue ne terme de temps, voilà que je me vois un peu soumis à une dure épreuve ,celle de ne pas réussir à raconter mon histoire. Bon! je m'efforcerai à vous la raconter en moins de quelque temps.

Mais de quoi s'agit-il en parlant de mon histoire?

L'histoire de ma petite histoire en écriture!

Je m'imagine déjà en train d'être critiqué par ceux qui lisent déjà et ne comprennent rien de ce que j'avance et ,surement certains vont y tourner la page d'un clic de la souris de leur ordi.
Oui! Ils auront raison, car, on ne perd pas du temps devant un texte dont on ne connait ni le début ,encore moins la fin si fatidique, car ,en me lisant ceux qui sont pressés n'auront rien à me dire sinon me critiquer tout de suite.

Certains diront ah! celui-là est fou? Oui! peut-être! Pour celui qui sait que l'on est fou après avoir lu et non avoir relu, il ne lui reste que blâmer par le truchement de sa petite colère qui souvent, envoie des gens dire tout ce que la colère dicte aux humains.
D'ailleurs quelqu'un me disait autrefois qu'une partie de colère qui monte dans la tête d'un humain, lui inculque une partie de vie comportemental de même ordre que chez un oiseau qui n'a pas retrouvé assez de grains dont il est le seul à connaitre le goût.

Ah! je me perds carrément! Non! je suis là! je continue avec mon histoire, juste une brève parenthèse qui m'a permis de laisser mon histoire dont j'ai pourtant la volonté de conter ou de raconter.

Enfin! Je suis , je vis et je dis tout ce qui m'arrive à l'esprit.

Ce blog n'est-il pas celui qui est créé pour se raconter des histoire?

Je ne sais pas si déjà ceux qui me liront commenceront à s'en moquer? Oui! Ils pourront s'en moquer,car ils ne comprendront pas eux-mêmes pourquoi se moqueront-ils de moi ou même de mon histoire dont ils n'auront connue et surtout comprise. D'ailleurs comment comprendre sans l'avoir entendu parler ou même lue? En s'engageant dans une sorte de négligence au conteur et à son histoire contée même de la manière la plus clairement amusante ou alors clairement non amusante, il est assez particulièrement pas bien d'être impatient. On manque tout.

Chacun aura compris que mon histoire c'est écrire, écrire pour dire, et aussi pétrir des mots peut-être souvent mal employés selon que l'on soit en ire.

Oui! voilà mon histoire: celle d'écrire pour faire lire tout ce que fera rire sans délire.

GERVAIS MBOUMBA,
écrivain.

jeudi 21 février 2008

ROMAN: LA CLOCHE DU DESTIN DE L'AUTEUR ,GERVAIS MBOUMBA

La littérature congolaise vient de s'enrichir une fois de plus avec la sortie du livre:
''La Cloche du Destin'', publié aux Éditions Melonic, au Québec au Canada.

L'auteur de ce précieux roman n'est autre que l'écrivain, Gervais Mboumba.

La Cloche du destin, est un ouvrage à la fois auto-biographique que socio-politique dans lequel Gervais Mboumba évoque sa naissance, son enfance en passant par sa vie d'adulte dans un pays où certains dirigeants, en 40 ans d'indépendance , n'ont su que faire reculer le Congo Brazzaville à 100 ans:du nord au sud ,de l'est à l'ouest, en ne s'occupant que des rivalités politiques pour le pouvoir. Ainsi, la jeunesse qui est l'avenir de tout pays au monde,pour le Congo Brazzaville,cette jeunesse malheureusement est celle livrée à la bêtise humaine et à l'oisiveté.mal encadrée,elle est pleine d'idée pourtant, mais ,sans moyen ,certains ayant fait de longues études,se débrouillent à vendre du pain,d'ailleurs comme l'a été lui même avec la vente des yaourts dans les trains. Autant d'ingrédients qui étonneront les lecteurs de par la précision des dates ,ainsi que par la parfaite connaissance des événements ayant prévalu au Congo Brazzaville. À propos de l'éducation par exemple, l'auteur critique les gouvernements dont les membres ou les animateurs ont brillé par un égoïsme et par un amateurisme dans la gestion des affaires de l'État.

Les jeunes ne lisent pas. Les examens d'État ne sont plus qu'une marchandise comme du pain ou du manioc vendu et acheté par des clients,dit-il avec une teint d'humour. Pour ce faire, se servant des repères bien identifiés, l'auteur fustige les enseignants qui ont été coupables de plusieurs cas d'irresponsabilité,faisant souiller leur honneur d'éducateur pour se livrer aux activités mercantilistes,en vendant des matières d'examens et concours. L'auteur signale par ailleurs que lorsque des enseignants à Pointe-Noire par exemple , vendent des matières aux élèves de lycées au vu et au su des tout le monde et ne pas les punir, le gouvernement fait preuve d'une grande largesse et tolérance.

Dans son livre,l'écrivain Gervais Mboumba évoque également la situation des coups d'État qui ont accompagné la vie des congolais depuis les heures des indépendances jusqu'à nos jours.Ainsi dira-t-il, le coup d'État est un exercice des gens que Dieu ne connait pas.

Émilie Inès Rosalie.
Journaliste.

mardi 1 janvier 2008

2007 S'EN EST ALLÉE. QU'APORTERA 2008 AU CONGO BRAZZAVILLE?

Comme une fleur qui nait ,succedant à celle qui fane,2008 remplace 2007.
Ayant obéi à la tradition séculaire ou millénaire,celle obligeant une année à plier bagage afin de céder la place à une autre que les humains dans leur tradition, accueillent avec joie, bonheur et amour,l'an 2007 sera désormais cité que lorsqu'on évoquera l'histoire. Pour le congo des coups d'État, l'on sait d'avance que cette année 2008 qui vient de s'installer dans tous les pays du monde, n'a rien comme signe pouvant montrer qu'au Congo, quelque chose de nouveau vera le jour.L'on sait au contraire que les dirigeants auto-choisis et auto-proclamés, ont encore des scènes en pleins au cours de ces 12 mois de 2008. L'on s'attends qu'aux simples et récurrentes bamboula choisies et renforcées auxquelles ces malfrats nous ont souvent habitués. Ils ne sont là que pour ça. Ils n'y sont venus uniquement que pour cela.
Le remaniement ministeriel genre ébonga ,ébonga té toujours meilleur :cadeau fait à l'an 2007 dans son départ dans le puits de l'histoire, n'a été qu'un geste de remerciement à une année qui leur à permi de bien consolider leur mangeoire. Alors ! qu'est ce qu'on peut en attendre vraiment en ce debut de l'année 2008 ? Rien !

Du premier ministre Mvouba aiguilleur( du sens du verbe aiguillonner !), en passant par Aimé Emmanuel Yoka le fanfaron, Tsiba le karatéka, Oba le fusil , jusqu'au grand cobra sassou nguessan(de vrai nom en tant qu'ivoirien immigrant),on n'a vu que du noir dans la gestion des affaires de l'État. L'an 2008 que ces malfrats célèbrent avec faste ,en faisant appel à des nouveaux moineaux, permetttra à ceux-ci de bien se préparer. Se préparer,non pas pour sauer le congo ,mais pour bien limer les dents car la mangeoire n'a qu'un seul critère:bien aiguiser les dents pour bien croquet les pétro-cfa, en se servant des mêmes principes traditionnelles: puiser à la source et à la grande barbe des fonctionnaires qui doivent occuper leur rang de marchés pieds.


-Kolélas parfait n'est pas envoyé faire la pêche, il n'en sait pas et n'en a jamais appris. Il sait seulement manger du poisson. Depuis la maison natale et familiale ou parentale au marché total, l'enfant devenu grand abandon maman avec les charbon à vendre au marché total,il ne savait que manger.
-Élo Mampouya, ce dernier sait employer les phrases complexes qui sans nul doute auront l'image de lui donner une petite étiquette de pseudo scientifique sans laboratoire physique Enfant cheri de lex ERDUN, il fut pourtant un vaillant signataire de a lettre ouverte contre le tueur président sassou! Élo pablo a plutôt privilégié les millions au détriment de la ''poolasse''meurtrie,en abandonnant la lutte pour la véritable démocratie .En déhors de son bureau sur lequel l'on trouvera un ordinateur portable muni de système d'exploitation windows vista à la mode y compris, un logiciel microsoft office, une webcam ainsi que quelques logiciels anti-virus ,anti- ameçonnage ,anti-espion, sans oublier Internet haute vitesse qu'on ne trouve malheusement pas dans les cybers café de Brazzaville et ,Pointe-Noire,Dolisie ,Ouesso et Owando, auf à Oyo, il se sentira fier das ses nouvelles fonctions.
Ce ministère est celui qu'il n'a jamais occupé. Aussi la lignée des copines en quêtes d'emploi,confetionnent des plans et stratégies pour demander l'audience afin de rencontrer le ministre flambant neuf en la personne du grand braillard du MCCDI. Bacongo aurait déjà totalisé plus de 20 filles sorties de la grande et valeureuse université Marien Ngouabi, à la faculté des sciences à Brazzaville pour solliciter un emploi par l'entremise de Élo de Élo. Des frères et des neveux ninjas qui ont bécqueté la deuxième année de fac n'y sont pas en reste. Pour cela, le ministron nouvellement bombardé ,Élo pablo, a d'ores et déjà bien passé des nuits blanches depuis que la nouvelle de sa nomination a hurlé sur les antennes des médias du pays ainsi que sur les médias de Internet, les plus prisés par les compatriotes de la diaspora.

-Moungalla Rubin, enfant des grands festins comme tous les tintins de la new -ésperance, savoure-là un double sacre. Du poste de conseiller touba touba au palais du grand cobra jusqu'à celui de membre du gouvernement, il n'y a eu qu'un demi pas. C'est comme si l'on déshabillait saint Pierre, pour le réhabiller à nouveau avec d'autres vêtêments cette fois -ci ,encore bien nikelés. Saint à beau attendre, helas......
On dirait même que c'est un enfant gâté qui franchis des portes d'or à celles du diamant avec une facilité divine sans que des coro-coro l'aient intercepté ou contrarié dans sa marche. Kovalin Thibinda ne l'avait même pas accusé de petit Bonos..... Enfin! Il vit quand même dans un bono-écolo-ministeriel !

Serge Michel Odzoki. Un journaleux ou un liseur de papiers qui aura roulé sa bosse pendant des décennies à la célèbre cuisine-radio congo appelée RTC. Il doit tout grâce à la parenté Odzokiste et nordste.Il parle dans un timbre vocal et un debit de journliste forcés made in PCT.

Marien Ngouabi les avait ramassés en pleine partie de pêche, un bon soir dans les zones du Nord du Congo pour quitter la campagne et venir faire la propagande du PCT à Brazzville.C'est ansi qu'on le nomma bon journaliste.
Son rôle dans la new-esperance n'a d'égal que sa foi dans l'art du profond respect et dévouement familiale dans l'application à la lettre, les recommandations du grand cobra pour le maintien du pouvoir. kouyou et mbochi, bonnet blanc et blanc bonnet.
Et les autres ? Boulou, Maboungou ......., c'est comme des joueurs de cartes pour sonner et donner l'image d'un gouverment pluriel. Ils ont leur part à prendre. Les enfants et leurs épouses respectives seront pésentes dans les grandes manif. Elles seront invitées avec leurs époux devenus ministres et c'est un succès et un honneur pour toute la famille. Les congélateurs seront bien garnies. Ces femmes crééront leurs Congo assistances respectifs pour descendre dans les villages avec le magot, appâter les pauvres mamans dont le rhumatisme et d'autres maladies ont rongé le corps. C'est le moment de leur présenter des marinières de campagne à l'éffigie du grand cobra à voter pour un nouveau mandat pour leur bonheur.En la matière, on se rappelera de l'attitude de l'épouse du ministre Nguimbi à Dolisie. La télé, à Dolisie;cela doit faire un grand bonheur aux gens du Niari. Tout le monde a regardé le type de campagne faite pour le compte de la new-esperance. Et oui! C'est ça le Congo Brazzaville! Pays d'occupation et de mille idées, mille slogans. Le Roi Dénis est là, après avoir tué et les Nguimbi doivent leur maintien au gouvernement pour cette raison.Quant au peuple souverain,il peut continuer à mordre la poussière.La misère peut continuer à s'enraciner en leur sein.


Gervais Mboumba.
cityen du monde.