mardi 30 octobre 2007

SASSOU ET SES GÉNÉRAUX ONT TANT SABOTÉ L'AVENIR DES CONGOLAIS.

Lorsqu'on désigne cette institution par la grande muette,il y'a malheureusement à sa tête des noms qui sonnent avec une certaine frayeur, tel une bombe qui vient de tomber au dessus d'une toiture d'école où se trouveraient des enfants entrain d'étudier.Ce sont: Général sassou,Général Yhombi, Général Ngollo Damas,Général Mokoko,Général Oba Pierre,Gégéral Florent Tsiba,Général Okemba,Général Ndenguet,Général Moundelé ngolo,Général Dabira,Général Ngouelondelé,Général Mbot,Général Adoua,Général Motando,Général Konta,Général Mokoki,Général Mondjo...
Si depuis 1968,année à laquelle l'armée congolaise fut politisée,elle a fait naître une élite militaire assoiffée de pouvoir pour la plupart n'ayant aucune notion de gestion d'un État.Aussi,certains sont mis hors jeu à ce jour,c'est à dire à la retraite, s'ils n'ont pas décidé de se refaire une peau neuve pour participer à la vie politique à la faveur de l'avenement de la démocratisation de la vie publique créant un parti politique. N'allez-pas savoir combien de militants existent-ils dans ces partis? Secret militaro-tactique? Ils nous donneront des reponses. Le nombre de militants ne dépasse guère les périmètres de leurs propres villages.De Ngollo Dambage...excusez...De Ngollo Damas en passant par Mokoko jusqu'à Ngouelondelé ,tous ces généraux forts et impliqués dans des crimes,il n'y a que des bambins qu'ils réussissent souvent à réunir;bien évidemment ceux qui ont vraiment faim:la pire de faim.Alors que tous ces bons généraux ne jurent que par le nom du chef de la bande,celui qui leur gave les mâchoires avec des pétro-cfa fabriqués dans les usines du pétrole de Djeno et d'autres gisements pétrolifères environnant la ville de Pointe-Noire la belle.Tandis que les travailleurs,élèves et étudiants triment avec des salaires de misères.Ces généraux sont ceux qui ne veulent pas du pouvoir civile au Congo.Ils ont raison.Raison dans le sens négatif du terme,puisque sans la foire au trésor public leur vie est hypothétique.Des généraux sans régiments respectifs à diriger,ils n'ont qu'une seule chose à faire:manger,, manger et toujours manger.Pour une armée dont le rôle de ses généraux se résume à manger,comment faire face à un énémi qui viendrait de l'extérieur dans le seul but de jauger la capacité d'attaque de ceux que le pays compterait comme garants de l'intégrité territoriale en protégeant la population?D'ailleurs de mes yeux, cette armée ou cette horde de généraux ne brillent que dans la tuerie de leur propre peuple.On aura pour cela comme exemple, la boucherie de 1997 par un coup d'État sanglant où l'on a vu des généraux tels Motando,Longonda,Mokoko Florent Tsiba et bien d'autres se mettre sous les ordres d'un civile comme Tassoua qui en est fier d'ailleurs d'avoir été nommé Général Giap par son maître à penser Sassou Nguesso!Pour Tassoua, ce sacre est bien un honneur ,mais aussi pour sassou,est une véritable démonstration en prouvant l'inefficacité de ces généraux !Ouais! D'après tout: un sergent de la race de Doé au Libéria n'a-t-il pas mis au garde à vous des gros généraux derrière leur bédaines en 1980?Aussi, l'arrivée de l'armée angolaise à la rescousse de ces généraux bouffeurs de cfa, n'est pas fortuite lors du coup d'État de sassou en 1997?Mais pour la jeunesse congolaise,il est clair qu'un jour cette bamboula généralissime prendra fin un jour.Si le Congo continue avec la pratique du pouvoir au bout du fusil:politique et idéologie instituée depuis 1968,il est très gentil de dire que mêmes les occidentaux qui viennent en aide à une telle race des criminels au pouvoir,ne donnent pas l'exemple de démocratie occidentale. Comment peut-on comprendre qu'en Afrique ou au Congo des militaires parfois de bas niveau soient des dirigeants de premier rang en écartant des personnes d'une haute instruction tels,: professseurs d'université, médecins, magistrats,ingenieurs,hommes de sciences et chercheurs nantis d'expérience?le plus souvent on rencontre quelques militaires instruits et bardés de diplômes,mais en leur qualité de militaires loyalistes au sein de l'armée, ils subissent malheureusement les revers de leur rayonnement puis, sont catalogués pour des motifs non fondés du fait simplement de la non -appartenance à l'ethnie du chef.Quel gâchis!Mais à partir de maintenant,tout militaire: général ou pas doit savoir que le Congo n'a plus envie de dictateurs militaro-fascistes et affairistes.Il faut que ça change.Il faut que sassou nous libère le pays.Il s'est enrichi, il a eu la gloire ,il s'est beaucoup servi du peuple congolais comme marches-pieds.Ils ont trop tué,lui et sa horde des miliciens pour parvenir à leurs fins.chaque chose à sa fin.Mêmes les occidentaux le savent.Mobutu y est passé par là.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

dimanche 28 octobre 2007

NTOUMI OU LE PROCHAIN MARTYR DE LA RÉPUBLIQUE ?


Si l'on peut compter le nombre des personnes que sassou a plantées sous terre,ceux qui sont forts en mathématiques et en comptabilité ne vous mentiront pas que ce nombre a déjà atteint plus de 40.000.
Depuis sa nomination par Marien Ngouabi au poste de directeur de la sécurité d'État en 1968 et membre du PCT en 1970,en passant pas le sinistre sacre du ministère de la défense congolaise en 1975 soit deux ans seulement ,jusqu'à l'assassinat de deux chefs d'État en 1977: Marien Ngouabi et Alphonse Massamba Débat, plusieurs têtes sont décapitées.
Venu au pouvoir toujours par les armes et qui dit armes, dit aussi effusion de sang ,c'est à dire mort d'homme,assassinat gratuite de ses adversaires,exécutions sommaires par simple haine ou extinction de témoins génants,Sassou ne cesse de réserver la mort aux Congolais.

En pur enfant chéri de la françafrique,mis au lait et au miel des ressources du Congo
qu'il s'est accaparées par devers lui,en signant un deal avec ceux d'en haut,il règne en maître absolu .
Dictateur patenté et toléré par la communauté internationale sous les ordres et l'appui des affairistes pétroliers qu'on peut scientifiquement appeler: mercenaires économiques opérant sans pitié et sans gêne,sassou est le pire bourreaux des congolais.
Programmant la mort, la désolation et la somme de souffrances ,Sassou Nguesso depuis s'est auto-proclamé, Empereur-Manitou de la forêt politique et économique d'un petit pays riche qu'est le Congo Brazzaville.Agissant librement et, sur sa route,gare à tous ceux qui leveront la tête pour lui contrarier la voie !

Mis à part les affairistes, disons-le sans se tromper que le problème du Congo est avant tout interne.C'est à dire qu'au Congo,la plupart des politiciens pauvres ,ayant comme source du bonheur la politique,sachant qu'ils n'ont aucune chance de devenir chef d'État, ceux-ci n'ont pas de temps à perdre pour collaborer avec celui-qu'ils ont bien combattu surtout dans cette phase mensongère d'une semblant de démocratie.Les exemples en sont légions.

Tous les congolais qui ont regardé la période du déroulement de la conférence nationale souveraine se rappelleront que des gens comme Thystère Tchicaya,Pierre Nzé,Kolélas,Paul Nkaya,Yhombi Opango, sont pourtant ceux que le même sassou Nguesso avait tant humilés.Après donc l'élection présidentielle de 1992 qui a vu Pascal Lissouba remporter toutes les élections,Les faux hommes politiques cités plus haut n'ont pas tardé d'étaler leur lâcheté et leur haine tribale déguisé en opinion politique,jusqu'à rallier le dictateur en lançant par jalousie, de peaux de banane à la jeune démocratie et au pouvoir démocratiquement élu.
Kolélas pour ce dernier est descendu plus bas en s'entourant de la populace droguée,jeunes délinquants de sa région qu'il utilisa comme chair à canon pour semer le désordre qui donna lieu pour la première à une ère invivable en chassant des partisans de Pascal Lissouba dans les quartiers de bacongo,en donnant aussi du fil à retordre au pouvoir démocratiquement élu.
Des guerres ouvertes furent donc programmées dans le seul but d'en découdre avec non seulement Pascal Lissouba leur ennemie, aussi, prouver à l'opinion internationale qu'au congo,le régime Lissouba est en déphasage avec la démocratie.Cet argument ne fut que rejeté par nombre d'organismes publics et au plan mondial :tel l'UNESCO........
En avant le 5 juin 1997 c'est de la pire sauvagerie qu'imprima Sassou Nguesso, en fusillant des gens dans sa propre région que même son frère Yhombi Opango n'a eu la vie sauve qu'en empruntant l'avion, il en serait tué au mois de mai 1997.
Lorsque la guerre civile éclate, là aussi dans cette armée dite nationale,les lari ,les mbochi et les téké ,se rangèrent derrière leurs ethnies pour ne laisser que quelques originaires du Nibolek devant un fait accompli.
Tant les congolais n'ont jamais eu à respecter les valeurs d'unité nationale qu'on ne fut pas surpris de voir des gens afficher une indifference tribale face à l'avenement du régime de Pascal Lissouba:en tête les originaires de la région du Pool.

L'AVENEMENT DE NTUMI DE NTUMI SOUS LE SIGNE DE LA RÉSISTENCE À CAUSE DES TUÉRIÉS PERPETRÉES PAR LES COBRAS ET ANGOLAIS VENUS AIDER SASSOU .

C'est donc à fin de cette guerre civile qu'on assista à l'avenement Ntoumi qui ,agissant dans le cadre d'un racolage de brèches d'unité entre les sudistes malmenés par Sassou qu'on responsabilisa Ntumi dans le cadre de la résistance. Là aussi, il falloir préciser qu'une partie importante des originaires du Pool vivant dans les quartiers de Moungali(Kwakwa),Ouenzé, Poto-Poto, nindja,échappent totalement au contrôle de Kolélas dès le 5 juin 1997.
Mvuba est presque l'homme de la situation pour l'encadrement de ninjas qui rentre en dissidence avec Kolélas ku Total.....

Après la guerre, ayant acquis la victoire,avec l'entrée en guerre de l'armée angolaise ,Zaïroise et génocidaires Rwandais, les populations du Pool vont commencé à être assassinées par les cobras de Denis sassou nguesso ,à bakongo et dans les villages tout au long du chemin de fer,en 1998 et 2000.C'est à ce moment que la résistance commença sous la direction de NTumi ,avec de promesses d'aides faites par Kolélas en exile ....
Aujourd'hui, d'aucun oublient ce qui c'était passé.


MVOUBA,KOLÉLAS sacrifient à petit feu ,Ntumi.

La communauté internationale ne maîtrise pas la version réelle de cette situation.
elle a du choisir son camp,bien que des milliards furent dotés à un cobra tueur de la trempe de Ngakala pour désarmer les Ninjas .Mais cette communauté internationale a-t-elle regarder les manoeuvres d'un régime sanguinaire et criminel de Sassou? Deux poids ,deux mesures!
Mvouba n'est pas lari, mais est quand même du pool.Or Mvouba ne s'inquite pas de la situation au Pool, mais reste l'homme de sassou auprès de qui ,il doit tout ces 1o dernières annnées.
On est dans une logique de trappe, tant pis pour Ntoumi,selon Mvoouba,il aura eu raison.
Mais, la cause de cette situation c'est bien Sassou l'assoiffé de pouvoir qui a accpeté les consignes de la françafrique pour faire la pagaille au détriment du peuple congolais.
Mvouba n'attend que Ntoumi mort pour regner en paix.
Kolélas en sa qualité de politicard idiot,il devra se rappeler de sa position entre 1992 et 1997,bien qu'ayant fait une déviation pour devenir premier ministre ,d'ailleurs ,porte accpeté par tactique.....
Après avoir reçu des mains de sassou, armes minutions et argent sale,il acceptait -là la destruction du Pool par sassou, aujourd'hui, sous le signe de sa paix déguisée ,alors que la vraie paix se fait entre tous les fils d'un pays.Ce qui se vit aujourd'hui,estdans une large mesure la faute de Kolélas.
Ntoumi n'est qu'une victime de la répiublique.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

GERVAIS MBOUMBA,
citoyen du monde,

vendredi 26 octobre 2007

LES CRIMES DE SASSOU NGUESSO AU CONGO BRAZZAVILLE

LES CRIMES DE SASSOU NGESSO AU CONGO BRAZZAVILLE

A TOUS LES SOUTENEURS DE SASSOU NGUESSOET A TOUS CEUX QUI DOUTENT ENCORE...MASSACRES - ASSASINATSET EXECUTIONS SOMMAIRES

par Hellot Matson Mampouya.




[NDLR : Nous publions ici la liste de quelques cas connus, sur des milliers, qui illustrent le drame que vit le peuple congolais après le coup d’Etat de Monsieur Sassou Nguesso, le 15 octobre 1997. Ceux qui souffrent le martyr au Congo-Brazzaville sont, aujourd’hui, en train de témoigner quotidiennement. Malgré leurs cris, leurs appels au secours répétés, personne ne semble les croire ni les entendre, encore moins les écouter. Leurs cris, leurs appels au secours se perdent dans le néant. Et quand demain, lorsqu'il sera bien sûr trop tard, l'hécatombe sera enfin constatée, les mêmes qui savent, qui se taisent par cynisme, par hypocrisie et qui peuvent, aujourd'hui, seront les mêmes et les premiers qui s'émouveront, s’en offusqueront et dénonceront cette tragédie pour crier au crime, au massacre, aux atteintes des droits de l'homme et parleront de crimes contre l'humanité (larmes de crocodile). Aujourd'hui, le nombre de victimes n'étant pas suffisant, on préfère se taire, attendre. Néanmoins, "TRANSPARENCE" n'arrête pas, à travers cet outil de communication incontournable, d'attirer l'attention de la Communauté Internationale et de la Conscience universelle pour qu'elles ne disent pas, demain encore, qu'"elles ne savaient pas". C’est pourquoi, bien qu’à une échelle moindre par rapport à la quantité de victimes, nous n’arrêterons pas de répéter que la situation du Congo-Brazzaville doit être regardée, considérée et placée au même niveau que celle du Rwanda. Sinon, comment expliquer, qu’à la suite des résolutions de l’ONU et du Parlement Européen, le ministre congolais des Affaires étrangères, M. Rodolphe ADADA, qui avait demandé aux deux Institutions une Commission d’enquête sur le terrain, soit revenu sur ses déclarations et ait renoncé, la semaine dernière, à sa demande de Commission d'enquête dans sa déclaration à la 54ème Session de la Commission des droits de l’homme de l’ONU qui se tient en ce moment même à Genève ? N’est-ce pas paradoxal ? Pour nous, c’est un aveu qui conforte les résolutions de l’ONU et l’Union Européenne, par la voix de son Parlement, qui disent clairement que le “CONGO-BRAZZAVILLE n’est plus un Etat de droit” et que “depuis le retour de Sassou Nguesso au pouvoir” dans des conditions inacceptables, “le Congo-Brazzaville vit une dictature” programmée, délibérée.]I.- MASSACRES, ASSASSINATS, EXECUTIONS SOMMAIRESDu 16 au 17 octobre 1997 :Les troupes étrangères, notamment l'armée angolaise, les mercenaires, les éléments tchadiens, les ex-Faz et les cobras ont massacré plus de cinq cents (500) civils, résidents et réfugiés des quartiers nord de Brazzaville à Bacongo, Makélékélé et environs, aménagés par le Député, Maire de Brazzaville, Monsieur Bernard KOLELAS, en zone humanitaire depuis le déclenchement de la guerre. Les corps des victimes étaient entassés au Centre sportif de Makélékélé et dans les cours de la morgue du Centre hospitalier de Makélékélé. 16 octobre 1997 :- Le ministre Gabriel MATSIONA et deux (2) membres de sa famille sont assassinés par les milices cobras, les mercenaires et les troupes angolaises de Sassou Nguesso à son domicile situé à Massissia (zone sud). Les corps des victimes furent jetés dans un congélateur. - Monsieur BAZEBIZONZA, Professeur d’anglais au Collège de l’Amitié, en compagnie de son épouse, sa soeur et de son enfant sont abattus à bout portant dans sa voiture au niveau du Centre Sportif de Makélékélé. - Le jeune Marien, domicilié à Nzoko (Kinsoundi, zone sud) est froidement abattu par les cobras qui l’ont achevé au carrefour de Mbouono (Madibou, zone sud) devant la population. Octobre 1997 :- Monsieur MALANDA DIA MAYEMBO - Monsieur MOUINI-LOUAGA - Monsieur MALERCO - Monsieur LOCKO-BOUKAKA Anicet sont abattus par les milices cobras, mercenaires et soldats angolais de Sassou Nguesso à Matoumbou (localité située sur le chemin de fer CFCO), dans la région du Pool. Novembre 1997 :- Monsieur MISSIDIMBAZI Paul et son fils Cyprien sont abattus à leur domicile par les milices cobras et les troupes de l’armée angolaise au service de Sassou Nguesso avant de piller leur domicile. - Monsieur NTSONGA, domicilié au quartier Château d’Eau (zone sud - arrondissement 1) - Monsieur MAYELE - Monsieur MATSAMBA - Monsieur NGANGA Charles - Monsieur NGOMA Eric - Monsieur OUMBA Jonas sont tous sommairement abattus au passage des milices cobras et soldats angolais au quartier Château d’eau. - Monsieur LOUMBOUZI, chauffeur retraité des Services de Santé, domicilié rue Matiabou à Moukounzi-Ngouaka (zone sud, arrondissement 1) est froidement abattu au beach de “La Main-Bleue”. 13 novembre 1997 :- Monsieur ILLO est fusillé au passage des troupes angolaises. 16 novembre 1997 :- Monsieur NGUEMBO est abattu froidement par les milices cobras, les mercenaires et soldats angolais au camp de la Gendarmerie de Makélékélé (zone sud de Brazzaville). 17 novembre 1997 :- Monsieur MALANDA, domicilié à Brazzaville, est assassiné par les milices cobras de Sassou Nguesso. - Monsieur MATABA Anicet, réfugié dans son village Louingui (region du Pool, District de Louingui) situé à plus de 150 km de Brazzaville (zone sud), est abattu par les troupes angolaises en compagnie des milices cobras. 25 novembre 1997 :- Monsieur NGOUMA Joseph, exploitant forestier domicilié à Dolisie, est froidement abattu avec cinq (5) de ses enfants; tous enterrés dans sa parcelle située à côté du CEG Hochi-Minh, par un groupe de cobras et d’Angolais conduits par NGUESSO, neveu de Monsieur SASSOU NGUESSO. Novembre 1997 :- Trois jeunes lycéens sont sommairement exécutés à Dolisie par les cobras, mercenaires et troupes angolaises. Il s’agit de : - MOUKOYI Albert (25 ans) - IBOUANGA Robert dit Roberto (23 ans) - MOUKOKO Parfait (27 ans) Décembre 1997 :Enlèvement de quatre (4) jeunes filles, violées et exécutées par les cobras, mercenaires et soldats angolais dans la banlieue de Madibou (Arrondissement 1 Makélékélé - zone sud). Il s’agit de Mesdemoiselles : - MILANDOU Odile - MABIALA Carole - PANGUI Rosette - SYLVIE NENETTE Décembre 1997 :- Mademoiselle KIBAMBA Agnès, 25 ans, élève au lycée Lénine, habitant rue du Caire à Dolisie, est violée et assassinée par dix (10) soldats angolais, près de la base militaire. Décembre 1997 :Enlèvement et exécutions sommaires par les milices cobras, mercenaires et soldats angolais de : - Monsieur KIBONGUI François, résidant à Pointe-Noire - Sergent TOUTI Joseph, résidant à Pointe-Noire - Sergent BOUDINGA Cyriac, Pointe-Noire - Monsieur MBOUNGOU Roland, résidant à Pointe-Noire - Monsieur DIANZINGA, demeurant à Makélékélé (Zone sud Brazzaville) - Monsieur MANTSIONA, demeurant au quartier Matouta (zone Brazzaville sud) - Monsieur MAMPIA, demeurant au quartier Matouta (zone Brazzaville sud) 25 décembre 1997 (jour de Noël) :- Le Leutenant Franck NGOUMA est enlevé, exécuté et enterré à la sauvette dans les alentours de la base aérienne Numéro 01/20 à Brazzaville (zone sud) où son corps fut retrouvé. 2 janvier 1998 :- Monsieur NGOUILOU Joseph - Monsieur NKODIA Alexis - Monsieur MASSAMBA Siméon, demeurant tous au quartier MATOUTA (Arrondissement 1 Makélékélé, zone Brazzaville sud) sont enlevés et froidement exécutés par les milices cobras, les mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. 3 janvier 1998 :- Monsieur MALEKA Richard, militaire, est enlevé et fusillé au Stade Marchand à Brazzaville par un groupe de cobras, mercenaires et angolais au service de SASSOU NGUESSO. 27 janvier 1998 :- Le Colonel MALONDA Jean-Joseph, Directeur Général de la Police Judiciaire, est exécuté à GAMBOMA sur instruction du Colonel OMBELE, neveu de Monsieur Denis SASSOU NGUESSO. 4 mars 1998 :- Monsieur BADINGA Rodrigue et sa femme MAKISSOU Berthe sont enlevés au quartier Fond Tié-Tié, à Pointe-Noire, par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de Sassou Nguesso et ses souteneurs. La femme a été violée et son époux a été porté disparu. - Monsieur YOULOU Patrice, alias “La Denga”, père de sept (7) enfants, domicilié 65 rue Lounianga au quartier Météo à Brazzaville (zone sud) a été abattu sommairement par un cobra. 11 mars 1998 :- Messieurs MOUTONDA Anatole et NKAYA-MAMPASSI, tous deux retraités, parti de Mouyondzi (Région du Niari-Bouenza- Lékoumou/Niboland) pour percevoir leur pension de retraite à Brazzaville sont retrouvés morts, assassinés, derrière le Lycée Technique de Brazzaville. Mars 1998 :- Le couple TAMBIKA Victor et Solange, avec plusieurs civils, sont froidement abattus par un bataillon de plus de deux cents (200) cobras, mercenaires et soldats angolais dans le village MATOUMBOU, région du Pool. Cette localité est située sur le chemin de fer CFCO, à 15 km de Kinkala, capitale régionale du Pool. 18 mars 1998 :- Messieurs DIAWARA et NGOUNGA, demeurant à Massina (zone sud de Brazzaville), sont assassinés par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. II.- ENLEVEMENTS, VIOLSNovembre 1997 :- Madame MOUKIMOU Célestine et ses trois (3) filles, Mesdemoiselles : IBINGA Anne, IBINGA Pierrette, IBINGA Fabienne, sont violées dans leur maison à Dolisie par les mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. - Quatre (4) filles, élèves du Collège (CEG) Central de Dolisie, revenant des cours, ont été violées par des soldats angolais, mercenaires et cobras au service de SASSOU NGUESSO. Il s’agit de : - Mademoiselle MOUKIETO Françoise - Mademoiselle KIAMA Léontine - MBEMBA Judicaëlle - MPASSI Alpha - Mademoiselle MAVOUNGOU Julie, 22 ans, étudiante, est enlevée et violée par des cobras au quartier OCH de Pointe-Noire. 30 décembre 1997 :Mesdemoiselles : - SAMBA Yvette - SAMBA Reine - SAMBA Patricia,tois soeurs habitant, toutes, la rue Berlioz à Brazzaville-Bacongo (zone sud) sont enlevées devant leurs parents, et violées par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de Monsieur SASSOU NGUESSO. 17 janvier 1998 :- Madame OUMBA Suzanne, âgée de 50 ans, est violée par quatre (4) soldats angolais dans sa maison sise rue Jolly à Bacongo (Brazzaville sud). III.- ARRESTATIONS - DETENTIONS ARBITRAIRESNovembre 1997: Arrestation et détention de :- Ministre Jacques MOUANDA-MPASSI - MOUNGONO Albert, Directeur commercial de Hydro-Congo - KIBAMBA Pierre, Directeur Général des Douanes du Congo - NGONO Emmanuel, Directeur Général de la CCA (Caisse Congolaise d’Amortissement) Décembre 1997 : Arrestations arbitraires d’officiers supérieurs détenus dans une prison souteraine à l’Académie militaire de Djili, à 30 km de Brazzaville, sur la Nationale 2 (Route du Nord).Il s’agit de : - Général ETA-ONKA, Secrétaire Général à la Défense - Colonel EWOLO Oscar, Commandant du Génie - Colonel NKOUNKOU - ABA-GANDZION, ancien Préfet de la Région des Plateaux - MAKOUNZI-WOLO Nestor, membre du Conseil constitutionnel - DZOUMANGUELET Henri-Marcelin, Inspecteur Général d’Etat adjoint - MOUNANGA Patrick, PDG de Société - KOUASSI Georges, Commerçant Mars 1998 : Arrestations arbitraires à Pointe-Noire :- Colonel IGNE - Colonel NDZOTA - Colonel SABA - Capitaine Célestin NGANGOYE, Commissaire de Police de Pointe-Noire - Monsieur OKABE Saturnin, membre du Bureau politique du RDD, le parti de M. Jacques-Joachim Yhombi-Opango. Ainsi donc, depuis l’installation du pouvoir putschiste de Monsieur SASSOU NGUESSO au Congo, de nombreux crimes, dont les exécutions sommaires, se poursuivent impunément. Précédemment, nous avons déjà rappelé à l’opinion et à la Communauté internationales que dans la deuxième quinzaine du mois de février 1998, les Eglises du Congo-Brazzaville ont dénoncé, par la voix de l’Archevêque de Brazzaville, Monseigneur Barthélémy BATANTOU, les exécutions sommaires qui se poursuivent au Congo-Brazzaville, plusieurs mois après la fin de la guerre publiquement annoncée. Le 9 mars 1998, l’Observatoire congolais des droits de l’homme, par la voix de son Président, Monsieur MOUNDZEO Parfait, informait par une interview sur la BBC, l’opinion internationale sur les exécutions sommaires de deux (2) policiers fusillés publiquement par les cobras, mercenaires et soldats angolais, au service de Sassou Nguesso, au quartier Saint-Pierre à Pointe-Noire. L’un succomba sur le champ, l’autre fut transporté à l’hôpital Adolphe Cissé par les habitants du quartier. Il fut retiré (enlevé) de l’hôpital par les mêmes cobras, mercenaires et soldats angolais, au service de Sassou Nguesso, pour être achevé publiquement aux abords de l’hôpital. Bref, lorsque nous dénonçons la poursuite de la violence, des crimes au Congo-Brazzaville, nous parlons bel et bien de la dramatique réalité quotidienne sur le terrain. Hellot Matson MAMPOUYA Porte-Parole du Président du MCDDI Président de l’ERDDUN Premier Ministre du Gouvernement Constitutionnel du Congo-BrazzavilleRetour au menu --------------------------------------------------------------------------------Vos suggestions & commentaires via courriel : Transparence CopyRight © 1997 - All International Rights Reserved. --------------------------------------------------------------------------------This page was created with the Hot Dog Pro Web Page EditorRevoir la pub Trucs, astuces, ateliers pour créer son site

jeudi 25 octobre 2007

LE MAL DE L'AFRIQUE ET DU CONGO BRAZZAVILLE C'EST SASSOU.



LETTRE OUVERTE À MONSIEUR SASSOU NGUESSO,PRÉSIDENT AUTO-PROCLAMÉ ET AUTO-LÉGITIMÉ AU CONGO BRAZZAVILLE.


Monsieur le président auto-proclamé.


Depuis votre premier règne dictatorial entre 1977-1979 à 1990, après donc que vous ayiez assassiné le président Marien Ngouabi,le président Alphonse Massamba Débat,le cardinal Émile Biayenda,Ndoudi Ganga,Kimbouala Kaya et bien d'autres innocents,vous avez emprisonné Yomby Opango sans jugement, pour avoir acheté un lit d'une valeur d'1 million de frs cfa,alors que le vôtre a coûté un milliard de frs cfa .Vous l'avez emprisonné parce qu'il achetait des mangues de la Côte-d'Ivoire.Vous avez tué Pierre Anga et bien d'autres.....
Après la conférence nationale,le peuple vous a vomis à l'élection présidentielle en 1992 et, ce même peuple du nord au sud de l'est à l'ouest ,a bien choisi un digne fils,le professeur Pascal Lissouba.Pris de rage,vous êtes revenu brutalement au pouvoir en 1997 en tuant des milliers de congolais par coups d'État en envahissant le congo brazzaville avec des armées étrangères :de l'Angola,du Tchad ,des l'armée de Mobutu,y compris des génocidaires Rwandais pour la soif de pouvoir qui vous a rendu riche.Que cherchez-vous ? Pourquoi gaspillez-vous le Congo?Quel type de personnage êtes vous?Aujourd'hui ,vous êtes en train de blouser à nouveau le peuple congolais pour prétendre diriger à partir de 2009 et continuer à piétiner le Congo pendant 7 ans de plus,alors que votre présence ainsi que celle de vos généraux miliciens du nord sont synonyme de dictateurs criminels.Des véritables loups vêtus de peau d'agneaux qui ont endeuillé le Congo.De retour de France en 1997, vous avez commencé à distribuer la mort depuis Owando,et à Brazzaville.Vous avez instauré la culture de la violence en tuant à bout portant.Vous avez dès le 5 juin 1997 assassiné le colonel Éboundi parce qu'il fut loyaliste.vous avez assassiné même des élèves qui allaient à l'école ce matin -là du 5 juin 1997.Vous avez du 15 octobre 1997,1998 et en 2007,éliminé des partisans du pouvoir Pascal Lissouba,dont le commandant Ébaka ,le fils du Colonel Jean Michel Ébaka et bien d'autres....Simplement parce qu'ils ont condamné votre coup d'État.En dernière date, vous venez encore de tuer en 2007 là,des populations qui accompagnaient Ntoumi lorsqu'il rentrait à Brazzaville.Vous avez largué des bombes sur les régions du Niari,de la Bouenza et de la Lékoumou,tuant des enfants et paisibles populations, parce que les populations de ces régions vous ont bouté parce que depuis 30 ans vous êtes à votre 6 e coup d'État et vous avez tant tué.Qui êtes-vous? Qui êtes-vous vraiment?Votre palmarès est beaucoup trop criminel,Vous avez un sang comme celui d'autres congolais, mais vous avez le sang humain comme boisson préférée ,alors qu'on vend du jus d'orange moins cher dans le monde entier .votre pouvoir a duré dans la tromperie,le vol,la corruption ,les assassinats.La communauté internationale en est édifiée.Je crois que vous serez traduit à la justice pénale Internationale pour crimes contre l'humanité.Vous voulez par un sursaut d'orgueil faire croire aux congolais que vous êtes là pour construire le pays,alors que le pays est divisé entre le nord et le sud,mais vous continuez dans la cafouillage et l'intimidation.

Ailleurs dans le monde:aux USA,au Canada, en France,en Allemagne,en Belgique,le pouvoir s'acquiert par les urnes,c'est la démocratie.

Les congolais du nord et du sud ne s'aiment plus depuis plus de 30 ans à cause de vous.Seuls les politiciens qui s'aiment ,parce qu'ils ont le même dénominateur commun:le vol, le pouvoir, l'argent, et la vie facile.Alors,mon cher Denis, il est temps de démissionner, les congolais: homme,femme,jeunes ,élèves et étudiants du nord au sud, de l'est à l'ouest et du centre n'ont plus envie de vous voire tromper continuellement .Assez! assez! Allez y faire du commerce,vous vous êtes enrichi en milliards,vous avez beaucoup tué,vous avez déclassé l'éducation l'école,l'université au dernier rang en Afrique,trop c'est trop !


C'est ça la vérité! la vraie vérité!

lundi 8 octobre 2007

LETTRE OUVERTE À SON EXCELLENCE,MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE.


À SON EXCELLENCE, MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE,
MONSIEUR NICHOLAS SARKOZY,



EXCELLENCE MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE


EXCELLENCE.



J'ai l'honneur de venir très respectueusement auprès de votre très haute bienveillance,en votre qualité de première autorité publique et républicaine, de la très grande,forte,vaillante ,travailleuse et accueillante nation:La France,pays aux grandes et riches valeurs démocratiques,humaines, scientifiques, technologiques et sociales,vous présenter ici, quelques doléances du peuple Africain francophone en général,et du peuple congolais de Brazzaville en particulier, sur sa position actuelle dans une phase où ce peuple a été secoué ,il y'a dix ans ,par un vent de violence gratuite causée par des politiciens .

Excellence monsieur le président de la république,en ma qualité de représentant des populations du District de Divenié au Congo Brazaville,pour la petite histoire:Divenié n'est autre que le premier District colonial officié par le commandant Claude Millet,administrateur colonial ,vers les années 1940.La jeunesse Africaine par ma modeste personne en appelle à vos qualités d'ancien avocat émérite, donc en votre qualité de garant et défenseur des personnes subissant toute forme de discrimination, de violence et de guerre , de sabotage inutile,afin d'examiner le cas du Congo Brazzaville,petit pays,mais immensément riche dont la coopération économique avec la France, date depuis de très longues années.Comme dans toute relation entre deux États, les petits malentendus ne manquent pas.Mais,en ce qui concerne la jeunesse congolaise, son souhait le plus ardent c'est de vivre dans un pays où la démocratie ne doit pas être hypothéquée,que la jeunesse ne vive pas dans le dénuement, dans la peur et que les étudiants qui ont le mérite,puissent continuer d'étudier dans un climat de sérénité et de franche équité dans la poursuite de leurs études, en prouvant par le travail combien l'admission en classe supérieure est bien le reflet des efforts fournis pour accéder par la grande porte dans le monde du travail,pour servir loyalement leur patrie, pour ne pas être tenté par le goût des voyages aventureux vers l'occident où certains finissent par y perdre la vie,si ce n'est pas un retour forcé aux portes des frontières.

Excellence ,monsieur le président de la république,Tout ce qui se passe malheureusement en Afrique en général,et au Congo Brazzaville en particulier est une histoire cachée ,mais étant cachée, les répercutions qui s'abattent sur cette jeunesse sont parfois effroyables et régrettables.Le Congo Brazzaville, est un pays qui a connu des guerre ces dix dernières années.
Comme vous le savez, ce pays venait de reculer de cinquante en arrière.La jeunesse désemparée dont une bonne partie se retrouve dans d'autres pays limitrophes, en Afrique et en occident,ce départ n'est pas fortuit.C'est que les institutions dignes d'une république ne leur garantissent pas un avenir radieux. À l'heure de la mondialisation où les techniques de la communication relient tous les pays du monde,le congo Brazzavillee présente malheureusement un échos troublant et totalement en inadéquation avec la propagande faite par le pouvoir qui semble dire tout du bien du Congo alors que le vécu quotidien des congolais est totalement morose.

Or ,lorsque le président actuel ,monsieur Denis Sassou Nguesso,venu au pouvoir par effusion de sang en 1977, 1979,puis 1997 ,en endeuillant le peuple congolais pour des raisons toujours du pouvoir,en brisant l'unité nationale entre le nord et le sud du Congo,en broyant l'avenir de la jeunesse,tant il est entendu que certains apprenant n'auront pas à combler le retard accumulé,il fait croire à l'opinion internationale que tout va bien. Ajouté à cela, des femmes violées, des personnes âgées précipitées par la mort sans assistance, est un véritable crime contre l'humanité.
Un fait important est de révéler ici, que la jeunesse Africaine en générale,et congolaise en particulier aime le peuple français et aime la langue française dans laquelle ,ils apprennent des rudiments de sciences : les mathématiques, la physiques, la biologie,et j'en passe........

Excellence monsieur le président de la république: sur des questions liées à la langue française, je crois bien que depuis tant d'années, les jeunes d'Afrique Francophone ont toujours été des ambassadeurs de la langue Française dans d'autres pays non francophones.
Mais,confrontée aux différentes crises que leur procurent des politiciens ,ils s'égarent parfois dans des comportement louches.
Comment par exemple intérioriser des valeurs de liberté ,fraternité et d'égalité chères au peuple Français dans les pays d'Afrique Francophone lorsqu'on sait que ces valeurs sont bafouées au plus haut sommet par des dirigeants parfois qui sont en relation avec la France?
Le cas le plus flagrant est celui qui a trait au manque d'alternance au pouvoir.Certains chefs d'État s'appellent sans gène :doyens des chefs d'État africains .Or dans l'esprit de la jeunesse Africaine, cette étiquette est bien celle qui s'apparente à la culture de la dictature.les cas sont riches en citations.

Excellence monsieur le président de la république,sans parler d'ingérence dans les affaires des États Africains,il y'a tout de même des passages de votre discours qui ont réveillé l'attention de la jeunesse Africaine,au lendemain de votre victoire à l'élection présidenteille, lors de votre premier première allocution! Votre discours prononcé à cet effet ,avait une substance qui fait rêver la jeunesse africaine , abusée par des chefs d'État parfois parvenus au pouvoir par coups d'État,et que, leur soucis n'est que le pouvoir et non la prise en compte de la jeunesse.
C'est pourquoi ,nous souhaiterions dorénavant que les chefs d'État Africains ne soient plus là à multiplier les mandant ,par 4 ,par 8 pour s'éterniser au pouvoir et s'enrichir sur le dos du peuple.Cela est d'autant plus inadmissible qu'aujourd'hui ,sans l'aide de la France pour certains d'entre eux ,il n'auraient plus le suffrage du peuple.
Aussis, la France n'aurait pas à perdre ses avantages économiques en Afrique! Car la jeunesse congolaise en particulier sait bien que ,le principal pays avec lequel la coopération marche sur tous les plans c'est bien la France.Il ne peut en être autrement.

Excellence monsieur le président de la république Française, c'est en terminant ma lettre sur ces deniers mots que je tiens à vous féliciter une fois de plus pour votre brillante élection et, vous demande humblement de veiller sur la jeunesse Africaine francophone qui souhaite profiter aussi des richesses du continent Africain ,afin de tourner la page aux voyages clandestins vers l'europe.Tout en attirant l'attention des chefs d'État africains qui dilapident de l'argent de l'État à d'autres fins, affamant ainsi la jeunesse Africaine.


Excellence monsieur le président de la république, veuillez recevoir l'expression de ma plus haute considération.


GERVAIS MBOUMBA,
citoyen du monde.

lundi 1 octobre 2007

LA DÉMOCRATIE À L'AFRICAINE,UNE LUTTE ÂPRE ET DE L0NGUE HALEINE.

L’Afrique en général et surtout l’Afrique francophone en particulier, ne se retrouve plus dans cette jungle de pagaille criarde, en ce qui a trait à la démocratisation de la vie publique. Des exemples tout au moins étonnamment pathétiques s’affichent d’eux même lorsqu’on lit les journaux, lorsqu’on écoute la radio et lorsqu’on regarde en image sur des nombreuses chaînes de télévision et sur Internet des scènes évoquées ,selon l’intérêt que ces médias y accordent à la situation de l’Afrique . Dans ce vaste continent, quelque chose d’étonnant alerte pourtant la conscience de certaines organisations non gouvernementales et analystes politiques du monde entier : mais hélas !
De l’ONU, qui est l’âme de toutes les nations éprises de paix, en passant par des pays qui essaient de raisonner en terme de sapeurs pompiers, afin d’éviter d’autres drames comme ceux du Rwanda et du Darfour aujourd’hui, il y’a malheureusement quelque chose d’autre qui fait mal et que d’aucuns semblent toujours ignorer avec une négligence et intelligence cyniques.

La démocratie et l’alternance au pouvoir sont –elles un luxe pour l’Afrique ?

Cette interrogation ne peut que nous intéresser, à nous francophones surtout pour constater que ce vaste continent d’Afrique francophone vit une situation dramatique. Les dicteurs font et refont des constituations qui leur obligent de rester éternellement au pouvoir, en se faisant élire ,réelire, et encore réélire afin de quaadrupler les mandats présidentiels. Tellement que c’est dévenu comme un jeu, le système se couvre finalement d’un voile épais d’une réelle dose de corruption.
Plusieurs facteurs peuvent être évoquées.
Au commencement c’était la colonisation, puis vint l’indépendance.
En ayant proclamé cette indépendance à partir des années 1960, Ces jeunes États africains indépendants sont malheureusement ceux qui ne réussirent pas à intérioriser les valeurs démocratiques tout au début de leur indépendance à cause d’un certains nombres de raisons liées au processus difficiles de développement des mentalités encore soumises dans une culture notoirement incompatible avec des nouvelles valeurs démocratiques. Aussi, l’ancien colonisateur qu’est la France se voyant comme mise à l’écart de toutes activités de ses anciennes colonies nouvellement admises au rang de nouveaux États indépendants, les a point accompagnés dans un bon sens.
Le cas d’Omar Bongo Ondimba du Gabon qui est assis dans son fauteuil présidentiel depuis 40 ans est une parfaite illustration.
Ainsi, on assista à la venue d’une vague des dirigeants, véritables représentants des gouvernement défilant en France sous l’œil clairvoyant du réseau le plus féroce :la France Afrique qui milite dans la poursuite d’une politique néo-coloniale en inadéquation avec les conventions et principes de bases édictés par l’ONU : notamment que les pays membres de l’ONU ont le droit de disposer d’eux-mêmes.
Ainsi vers les années 1968,on assista donc à la première vagues de dictateurs composés de chefs d’État comme Bongo,.Moussa Traoré, Eyadema, Mobutu,…..Sassou,Biya Ratsiraka suivie de la deuxième vague composée des président tels. Lansana Conté, Comparé, Idris Deby, Bozizé et leurs suppôts.
Avec tout ce beau monde, les pays Africains semblent êtres de plus en plus malades, sous développés, faute d’alternance politique tant que la France sera le soutient de ces indécrottables dictateurs que certains dirigeants Français appellent souvent doyens de chefs d’État, non pas par rapport à leur âge, mais par rapport à la longévité au pouvoir.
Ainsi, doyenneté par rapport à la longueur abusive du temps passé au pouvoir, qui n’est absolument et nettement que l’équivalent du manque d’alternance, donc de la dictature pure et dure exercée par ces gens.
Cependant, la France n’a pas hésité de s’ingérer, aux travers des réseaux mafieux, aux richesses de ses anciens colonies, en soutenant une faction contre une autre pour asseoir un gouvernement ayant à sa tête un homme de main pour assurer la facilité de l’exploitation des richesse aux détriment de la population du pays, ou nouvelles nations.