dimanche 4 mai 2008

dimanche 4 mai 2008
LA PETITE PLUME EN HONNEUR .

Mes très chers internautes, AMOUREUSES ET AMOUREUX DE BELLES LETTRES.

En m'adressant à vous , je me sens très fier et plein de bonheur. Je suis également comblé de joie dans tout mon cœur pour vous dire combien je suis émerveillé de vous parler de ma petite expérience en écriture,cela constitue assurément une partie de ma vie donc de mon histoire.
Si le chanteur chante, il n'est là ,non seulement pour chanter, mais tout en chantant, il parle à tous ceux qui ont l'oreille tendue à lui, dans sa façon de parler ,donc de dire tout ce qu'il a dans sa tête, conçue de la manière la plus noble et harmonieuse à travers la mélodie instrumentale.

Si le peintre est au coin d'une des rues les plus fréquentée, en le voyant peindre, les gens disent:voilà un peintre qui dessine des tableau! Peut-être que dans ce tableau du peintre, il y demeure un message, donc ,il parle et dit à sa manière tout ce dont il veut dire ,que quelque d'autre aurait dit autrement .De même pour moi qui souhaite parler aux gens à ma manière, bonne ou peut-être pas bonne, mais je parle.C'est ce que je suis en train faire ,donc je parle à ma manière de tout et de rien. De mon histoire, et peut-être de ma vie, celle d'être un conteur celui qui parle sans cesse, sans se fatiguer, mais parfois en parlant ou dire ce qu'il pense pour se faire entendre.Notre vie est si courte et, comment alors quitter ce monde sans parler ,sans communiquer ? Même en disant rien qui accroche, l'essentiel est que l'on parle ou l'on se parle .


C'est une longue histoire, mais d'une courte explication. Certes que vous vous demanderez pourquoi cette contradiction dans mes propos?

Une histoire peut être longue par rapport au temps qu'il peut prendre lorsqu'on tente de la détailler. mais il y'a parfois la manière de dire ou de la raconter qui permet au conteur d'utiliser une méthode si facile et courte pouvant faire que cette histoire longue puisse finalement devenir courte en ayant juste une bonne façon de l'étaler avec des phrase courtes, en évitant de paraître évasif et surtout en évitant les répétitions. Malheur donc à la maxime qui enseigne tant que: la répétition est la mère de toute la science, et que dirons-nous pour d'autres cas? sœur ? tante de toutes les sciences?

De mon histoire, jaillira une petite confidence jamais connue de ceux qui me connaissent pourtant,parce que cette confidence n'a jamais été révélée. Pourquoi donc n'ai-je-pas révélé cela? Et bien c'est parce que la révéler, ferait qu'elle ne soit plus confidence, donc serait automatiquement connue de tous! Autrement dit, la confidence n'aurait plus sa raison d'être!

Oui! jusqu'à présent ,mon histoire n'est point longue, car depuis que je parle de celle-ci, je n'ai totalement et en moins de quelques phrases dépenser que quelques minutes. La minute! Oui! la moindre unité du temps.Oui! je me résolve de regarder ma montre tant que mon histoire ,en la racontant ne soit pas longue comme je l'ai dit au départ.
je vois combien votre impatience vous déboussole et vous gruge, car,moi-même en ayant bien en tête mon histoire, je me sens tout à fait à l'aise pour qu'en vous la racontant à vous, je ne sois pas trop long. je me donne comme mot d'ordre, un principe peut-être une consigne, c'est évidemment ,celle de ne pas user du temps qui est si cher et si précieux à tous les humains. je vois que mon histoire est longue,mais je tourne rond.Je me sens coupable de mettre des internautes en position d'attente maximale ,car ayant annoncé tout au début que le libellé de mon histoire n'est point long, je me sens coupable une fois de plus de ne pas honorer à ma promesse,celle de faire que mon histoire ne soit pas longue .J'ai l'impression de perdre mon latin en me retrouvant comme bloqué dans la mesure où je ne sais pas encore dire à tous les internautes qui attendent impatiemment que je leur raconte mon histoire dont je leur ai pourtant annoncé.
Bon! je veux maintenant vous la raconter.
Je disais tout au début que mon histoire n'est pas assez longue ne terme de temps, voilà que je me vois un peu soumis à une dure épreuve ,celle de ne pas réussir à raconter mon histoire. Bon! je m'efforcerai à vous la raconter en moins de quelque temps.

Mais de quoi s'agit-il en parlant de mon histoire?

L'histoire de ma petite histoire en écriture!

Je m'imagine déjà en train d'être critiqué par ceux qui lisent déjà et ne comprennent rien de ce que j'avance et ,surement certains vont y tourner la page d'un clic de la souris de leur ordi.
Oui! Ils auront raison, car, on ne perd pas du temps devant un texte dont on ne connait ni le début ,encore moins la fin si fatidique, car ,en me lisant ceux qui sont pressés n'auront rien à me dire sinon me critiquer tout de suite.

Certains diront ah! celui-là est fou? Oui! peut-être! Pour celui qui sait que l'on est fou après avoir lu et non avoir relu, il ne lui reste que blâmer par le truchement de sa petite colère qui souvent, envoie des gens dire tout ce que la colère dicte aux humains.
D'ailleurs quelqu'un me disait autrefois qu'une partie de colère qui monte dans la tête d'un humain, lui inculque une partie de vie comportemental de même ordre que chez un oiseau qui n'a pas retrouvé assez de grains dont il est le seul à connaitre le goût.

Ah! je me perds carrément! Non! je suis là! je continue avec mon histoire, juste une brève parenthèse qui m'a permis de laisser mon histoire dont j'ai pourtant la volonté de conter ou de raconter.

Enfin! Je suis , je vis et je dis tout ce qui m'arrive à l'esprit.

Ce blog n'est-il pas celui qui est créé pour se raconter des histoire?

Je ne sais pas si déjà ceux qui me liront commenceront à s'en moquer? Oui! Ils pourront s'en moquer,car ils ne comprendront pas eux-mêmes pourquoi se moqueront-ils de moi ou même de mon histoire dont ils n'auront connue et surtout comprise. D'ailleurs comment comprendre sans l'avoir entendu parler ou même lue? En s'engageant dans une sorte de négligence au conteur et à son histoire contée même de la manière la plus clairement amusante ou alors clairement non amusante, il est assez particulièrement pas bien d'être impatient. On manque tout.

Chacun aura compris que mon histoire c'est écrire, écrire pour dire, et aussi pétrir des mots peut-être souvent mal employés selon que l'on soit en ire.

Oui! voilà mon histoire: celle d'écrire pour faire lire tout ce que fera rire sans délire.

GERVAIS MBOUMBA,
écrivain.
LA PETITE PLUME EN HONNEUR .

Mes très chers internautes, AMOUREUSES ET AMOUREUX DE BELLES LETTRES.

En m'adressant à vous , je me sens très fier et plein de bonheur. Je suis également comblé de joie dans tout mon cœur pour vous dire combien je suis émerveillé de vous parler de ma petite expérience en écriture,cela constitue assurément une partie de ma vie donc de mon histoire.
Si le chanteur chante, il n'est là ,non seulement pour chanter, mais tout en chantant, il parle à tous ceux qui ont l'oreille tendue à lui, dans sa façon de parler ,donc de dire tout ce qu'il a dans sa tête, conçue de la manière la plus noble et harmonieuse à travers la mélodie instrumentale.

Si le peintre est au coin d'une des rues les plus fréquentée, en le voyant peindre, les gens disent:voilà un peintre qui dessine des tableau! Peut-être que dans ce tableau du peintre, il y demeure un message, donc ,il parle et dit à sa manière tout ce dont il veut dire ,que quelque d'autre aurait dit autrement .De même pour moi qui souhaite parler aux gens à ma manière, bonne ou peut-être pas bonne, mais je parle.C'est ce que je suis en train faire ,donc je parle à ma manière de tout et de rien. De mon histoire, et peut-être de ma vie, celle d'être un conteur celui qui parle sans cesse, sans se fatiguer, mais parfois en parlant ou dire ce qu'il pense pour se faire entendre.Notre vie est si courte et, comment alors quitter ce monde sans parler ,sans communiquer ? Même en disant rien qui accroche, l'essentiel est que l'on parle ou l'on se parle .


C'est une longue histoire, mais d'une courte explication. Certes que vous vous demanderez pourquoi cette contradiction dans mes propos?

Une histoire peut être longue par rapport au temps qu'il peut prendre lorsqu'on tente de la détailler. mais il y'a parfois la manière de dire ou de la raconter qui permet au conteur d'utiliser une méthode si facile et courte pouvant faire que cette histoire longue puisse finalement devenir courte en ayant juste une bonne façon de l'étaler avec des phrase courtes, en évitant de paraître évasif et surtout en évitant les répétitions. Malheur donc à la maxime qui enseigne tant que: la répétition est la mère de toute la science, et que dirons-nous pour d'autres cas? sœur ? tante de toutes les sciences?

De mon histoire, jaillira une petite confidence jamais connue de ceux qui me connaissent pourtant,parce que cette confidence n'a jamais été révélée. Pourquoi donc n'ai-je-pas révélé cela? Et bien c'est parce que la révéler, ferait qu'elle ne soit plus confidence, donc serait automatiquement connue de tous! Autrement dit, la confidence n'aurait plus sa raison d'être!

Oui! jusqu'à présent ,mon histoire n'est point longue, car depuis que je parle de celle-ci, je n'ai totalement et en moins de quelques phrases dépenser que quelques minutes. La minute! Oui! la moindre unité du temps.Oui! je me résolve de regarder ma montre tant que mon histoire ,en la racontant ne soit pas longue comme je l'ai dit au départ.
je vois combien votre impatience vous déboussole et vous gruge, car,moi-même en ayant bien en tête mon histoire, je me sens tout à fait à l'aise pour qu'en vous la racontant à vous, je ne sois pas trop long. je me donne comme mot d'ordre, un principe peut-être une consigne, c'est évidemment ,celle de ne pas user du temps qui est si cher et si précieux à tous les humains. je vois que mon histoire est longue,mais je tourne rond.Je me sens coupable de mettre des internautes en position d'attente maximale ,car ayant annoncé tout au début que le libellé de mon histoire n'est point long, je me sens coupable une fois de plus de ne pas honorer à ma promesse,celle de faire que mon histoire ne soit pas longue .J'ai l'impression de perdre mon latin en me retrouvant comme bloqué dans la mesure où je ne sais pas encore dire à tous les internautes qui attendent impatiemment que je leur raconte mon histoire dont je leur ai pourtant annoncé.
Bon! je veux maintenant vous la raconter.
Je disais tout au début que mon histoire n'est pas assez longue ne terme de temps, voilà que je me vois un peu soumis à une dure épreuve ,celle de ne pas réussir à raconter mon histoire. Bon! je m'efforcerai à vous la raconter en moins de quelque temps.

Mais de quoi s'agit-il en parlant de mon histoire?

L'histoire de ma petite histoire en écriture!

Je m'imagine déjà en train d'être critiqué par ceux qui lisent déjà et ne comprennent rien de ce que j'avance et ,surement certains vont y tourner la page d'un clic de la souris de leur ordi.
Oui! Ils auront raison, car, on ne perd pas du temps devant un texte dont on ne connait ni le début ,encore moins la fin si fatidique, car ,en me lisant ceux qui sont pressés n'auront rien à me dire sinon me critiquer tout de suite.

Certains diront ah! celui-là est fou? Oui! peut-être! Pour celui qui sait que l'on est fou après avoir lu et non avoir relu, il ne lui reste que blâmer par le truchement de sa petite colère qui souvent, envoie des gens dire tout ce que la colère dicte aux humains.
D'ailleurs quelqu'un me disait autrefois qu'une partie de colère qui monte dans la tête d'un humain, lui inculque une partie de vie comportemental de même ordre que chez un oiseau qui n'a pas retrouvé assez de grains dont il est le seul à connaitre le goût.

Ah! je me perds carrément! Non! je suis là! je continue avec mon histoire, juste une brève parenthèse qui m'a permis de laisser mon histoire dont j'ai pourtant la volonté de conter ou de raconter.

Enfin! Je suis , je vis et je dis tout ce qui m'arrive à l'esprit.

Ce blog n'est-il pas celui qui est créé pour se raconter des histoire?

Je ne sais pas si déjà ceux qui me liront commenceront à s'en moquer? Oui! Ils pourront s'en moquer,car ils ne comprendront pas eux-mêmes pourquoi se moqueront-ils de moi ou même de mon histoire dont ils n'auront connue et surtout comprise. D'ailleurs comment comprendre sans l'avoir entendu parler ou même lue? En s'engageant dans une sorte de négligence au conteur et à son histoire contée même de la manière la plus clairement amusante ou alors clairement non amusante, il est assez particulièrement pas bien d'être impatient. On manque tout.

Chacun aura compris que mon histoire c'est écrire, écrire pour dire, et aussi pétrir des mots peut-être souvent mal employés selon que l'on soit en ire.

Oui! voilà mon histoire: celle d'écrire pour faire lire tout ce que fera rire sans délire.

GERVAIS MBOUMBA,
écrivain.

jeudi 21 février 2008

ROMAN: LA CLOCHE DU DESTIN DE L'AUTEUR ,GERVAIS MBOUMBA

La littérature congolaise vient de s'enrichir une fois de plus avec la sortie du livre:
''La Cloche du Destin'', publié aux Éditions Melonic, au Québec au Canada.

L'auteur de ce précieux roman n'est autre que l'écrivain, Gervais Mboumba.

La Cloche du destin, est un ouvrage à la fois auto-biographique que socio-politique dans lequel Gervais Mboumba évoque sa naissance, son enfance en passant par sa vie d'adulte dans un pays où certains dirigeants, en 40 ans d'indépendance , n'ont su que faire reculer le Congo Brazzaville à 100 ans:du nord au sud ,de l'est à l'ouest, en ne s'occupant que des rivalités politiques pour le pouvoir. Ainsi, la jeunesse qui est l'avenir de tout pays au monde,pour le Congo Brazzaville,cette jeunesse malheureusement est celle livrée à la bêtise humaine et à l'oisiveté.mal encadrée,elle est pleine d'idée pourtant, mais ,sans moyen ,certains ayant fait de longues études,se débrouillent à vendre du pain,d'ailleurs comme l'a été lui même avec la vente des yaourts dans les trains. Autant d'ingrédients qui étonneront les lecteurs de par la précision des dates ,ainsi que par la parfaite connaissance des événements ayant prévalu au Congo Brazzaville. À propos de l'éducation par exemple, l'auteur critique les gouvernements dont les membres ou les animateurs ont brillé par un égoïsme et par un amateurisme dans la gestion des affaires de l'État.

Les jeunes ne lisent pas. Les examens d'État ne sont plus qu'une marchandise comme du pain ou du manioc vendu et acheté par des clients,dit-il avec une teint d'humour. Pour ce faire, se servant des repères bien identifiés, l'auteur fustige les enseignants qui ont été coupables de plusieurs cas d'irresponsabilité,faisant souiller leur honneur d'éducateur pour se livrer aux activités mercantilistes,en vendant des matières d'examens et concours. L'auteur signale par ailleurs que lorsque des enseignants à Pointe-Noire par exemple , vendent des matières aux élèves de lycées au vu et au su des tout le monde et ne pas les punir, le gouvernement fait preuve d'une grande largesse et tolérance.

Dans son livre,l'écrivain Gervais Mboumba évoque également la situation des coups d'État qui ont accompagné la vie des congolais depuis les heures des indépendances jusqu'à nos jours.Ainsi dira-t-il, le coup d'État est un exercice des gens que Dieu ne connait pas.

Émilie Inès Rosalie.
Journaliste.

mardi 1 janvier 2008

2007 S'EN EST ALLÉE. QU'APORTERA 2008 AU CONGO BRAZZAVILLE?

Comme une fleur qui nait ,succedant à celle qui fane,2008 remplace 2007.
Ayant obéi à la tradition séculaire ou millénaire,celle obligeant une année à plier bagage afin de céder la place à une autre que les humains dans leur tradition, accueillent avec joie, bonheur et amour,l'an 2007 sera désormais cité que lorsqu'on évoquera l'histoire. Pour le congo des coups d'État, l'on sait d'avance que cette année 2008 qui vient de s'installer dans tous les pays du monde, n'a rien comme signe pouvant montrer qu'au Congo, quelque chose de nouveau vera le jour.L'on sait au contraire que les dirigeants auto-choisis et auto-proclamés, ont encore des scènes en pleins au cours de ces 12 mois de 2008. L'on s'attends qu'aux simples et récurrentes bamboula choisies et renforcées auxquelles ces malfrats nous ont souvent habitués. Ils ne sont là que pour ça. Ils n'y sont venus uniquement que pour cela.
Le remaniement ministeriel genre ébonga ,ébonga té toujours meilleur :cadeau fait à l'an 2007 dans son départ dans le puits de l'histoire, n'a été qu'un geste de remerciement à une année qui leur à permi de bien consolider leur mangeoire. Alors ! qu'est ce qu'on peut en attendre vraiment en ce debut de l'année 2008 ? Rien !

Du premier ministre Mvouba aiguilleur( du sens du verbe aiguillonner !), en passant par Aimé Emmanuel Yoka le fanfaron, Tsiba le karatéka, Oba le fusil , jusqu'au grand cobra sassou nguessan(de vrai nom en tant qu'ivoirien immigrant),on n'a vu que du noir dans la gestion des affaires de l'État. L'an 2008 que ces malfrats célèbrent avec faste ,en faisant appel à des nouveaux moineaux, permetttra à ceux-ci de bien se préparer. Se préparer,non pas pour sauer le congo ,mais pour bien limer les dents car la mangeoire n'a qu'un seul critère:bien aiguiser les dents pour bien croquet les pétro-cfa, en se servant des mêmes principes traditionnelles: puiser à la source et à la grande barbe des fonctionnaires qui doivent occuper leur rang de marchés pieds.


-Kolélas parfait n'est pas envoyé faire la pêche, il n'en sait pas et n'en a jamais appris. Il sait seulement manger du poisson. Depuis la maison natale et familiale ou parentale au marché total, l'enfant devenu grand abandon maman avec les charbon à vendre au marché total,il ne savait que manger.
-Élo Mampouya, ce dernier sait employer les phrases complexes qui sans nul doute auront l'image de lui donner une petite étiquette de pseudo scientifique sans laboratoire physique Enfant cheri de lex ERDUN, il fut pourtant un vaillant signataire de a lettre ouverte contre le tueur président sassou! Élo pablo a plutôt privilégié les millions au détriment de la ''poolasse''meurtrie,en abandonnant la lutte pour la véritable démocratie .En déhors de son bureau sur lequel l'on trouvera un ordinateur portable muni de système d'exploitation windows vista à la mode y compris, un logiciel microsoft office, une webcam ainsi que quelques logiciels anti-virus ,anti- ameçonnage ,anti-espion, sans oublier Internet haute vitesse qu'on ne trouve malheusement pas dans les cybers café de Brazzaville et ,Pointe-Noire,Dolisie ,Ouesso et Owando, auf à Oyo, il se sentira fier das ses nouvelles fonctions.
Ce ministère est celui qu'il n'a jamais occupé. Aussi la lignée des copines en quêtes d'emploi,confetionnent des plans et stratégies pour demander l'audience afin de rencontrer le ministre flambant neuf en la personne du grand braillard du MCCDI. Bacongo aurait déjà totalisé plus de 20 filles sorties de la grande et valeureuse université Marien Ngouabi, à la faculté des sciences à Brazzaville pour solliciter un emploi par l'entremise de Élo de Élo. Des frères et des neveux ninjas qui ont bécqueté la deuxième année de fac n'y sont pas en reste. Pour cela, le ministron nouvellement bombardé ,Élo pablo, a d'ores et déjà bien passé des nuits blanches depuis que la nouvelle de sa nomination a hurlé sur les antennes des médias du pays ainsi que sur les médias de Internet, les plus prisés par les compatriotes de la diaspora.

-Moungalla Rubin, enfant des grands festins comme tous les tintins de la new -ésperance, savoure-là un double sacre. Du poste de conseiller touba touba au palais du grand cobra jusqu'à celui de membre du gouvernement, il n'y a eu qu'un demi pas. C'est comme si l'on déshabillait saint Pierre, pour le réhabiller à nouveau avec d'autres vêtêments cette fois -ci ,encore bien nikelés. Saint à beau attendre, helas......
On dirait même que c'est un enfant gâté qui franchis des portes d'or à celles du diamant avec une facilité divine sans que des coro-coro l'aient intercepté ou contrarié dans sa marche. Kovalin Thibinda ne l'avait même pas accusé de petit Bonos..... Enfin! Il vit quand même dans un bono-écolo-ministeriel !

Serge Michel Odzoki. Un journaleux ou un liseur de papiers qui aura roulé sa bosse pendant des décennies à la célèbre cuisine-radio congo appelée RTC. Il doit tout grâce à la parenté Odzokiste et nordste.Il parle dans un timbre vocal et un debit de journliste forcés made in PCT.

Marien Ngouabi les avait ramassés en pleine partie de pêche, un bon soir dans les zones du Nord du Congo pour quitter la campagne et venir faire la propagande du PCT à Brazzville.C'est ansi qu'on le nomma bon journaliste.
Son rôle dans la new-esperance n'a d'égal que sa foi dans l'art du profond respect et dévouement familiale dans l'application à la lettre, les recommandations du grand cobra pour le maintien du pouvoir. kouyou et mbochi, bonnet blanc et blanc bonnet.
Et les autres ? Boulou, Maboungou ......., c'est comme des joueurs de cartes pour sonner et donner l'image d'un gouverment pluriel. Ils ont leur part à prendre. Les enfants et leurs épouses respectives seront pésentes dans les grandes manif. Elles seront invitées avec leurs époux devenus ministres et c'est un succès et un honneur pour toute la famille. Les congélateurs seront bien garnies. Ces femmes crééront leurs Congo assistances respectifs pour descendre dans les villages avec le magot, appâter les pauvres mamans dont le rhumatisme et d'autres maladies ont rongé le corps. C'est le moment de leur présenter des marinières de campagne à l'éffigie du grand cobra à voter pour un nouveau mandat pour leur bonheur.En la matière, on se rappelera de l'attitude de l'épouse du ministre Nguimbi à Dolisie. La télé, à Dolisie;cela doit faire un grand bonheur aux gens du Niari. Tout le monde a regardé le type de campagne faite pour le compte de la new-esperance. Et oui! C'est ça le Congo Brazzaville! Pays d'occupation et de mille idées, mille slogans. Le Roi Dénis est là, après avoir tué et les Nguimbi doivent leur maintien au gouvernement pour cette raison.Quant au peuple souverain,il peut continuer à mordre la poussière.La misère peut continuer à s'enraciner en leur sein.


Gervais Mboumba.
cityen du monde.

mardi 11 décembre 2007

DANS LA PRESENTATION DE SON LIVRE,YENGO FAIT DU FEU DE TOUT BOIS.

Il est parfois difficile de comprendre certains congolais qui, lorsqu'on veut parler des sujets de la vie nationale, on cache les vraies versions. Yenga écrit un livre en indexant toute la classe politique congolaise. Mon Dieu ! Ce groupe de mots ''classe politique',’ est un vocabulaire volcanique et malhonnêtement utilisé par certains congolais pour cacher les coupables d'une situation voulue et organisée par des gens bien connues. Yengo comme la plupart des congolais qui écrivent ou décrivent frauduleusement avec malhonnête bien sûr, l'histoire du Congo, devraient savoir que des congolais qui savent ce qui s'est passé, seront toujours présents pour barrer la route aux faussetés historiques de la vie politique au Congo Brazzaville. Vraiment peut-on oublier que la constitution de 1992 nous appelait, nous rappelait et nous recommandait que le pouvoir ne soit plus au bout du fusil, mais au bout des urnes ? Yengo qui accuse la classe politique. Sait-il que cette vision est trompeuse ? La classe politique a-t-elle introduit les armées étrangères, venues de l'Angola, Le Tchad, le le Gabon, le Rwanda, le zaïre répondre à l'appel de sassou nguesso afin de tuer et de renverser les institutions démocratiquement élues. Yengo parait comme étant l'adepte de la logique du flou artistique à entretenir dans l'opinion, dans le seul but de camoufler les coupables des guerre au Congo Brazzaville. Il faut que les Congolais cessent de mentir à travers des livres écrits en stoppant la vérité. Le mal du Congo depuis 1960 c'est bien Youlou qui a été aidé par les Français, le mal du Congo,c'est sassou qui est venu tué et corrompre Kolélas pour mettre du désordre dans le pays. Désordre ayant abouti au Coup d'État de 1997. Yengo marque dans son livre l'état de guerre que le Congo a connu : prenant comme repère chronologique et temporel 1993 et 1994, cette attitude n’est pas fortuite. Pour yengo, ce qui s'est passé avant, il ne saura jamais survoler quelques vérités sur les situations du passé, cela importe peu. Or ce que nous vivons aujourd'hui, les causes sont dans la rivalité lari-mbochi ou Pool -cuvette abusivement nommée rivalité Nord/Sud dans la course ver le pouvoir, en leur qualité de squatteurs du Congo. Pour moi, c’est la véritable cause des meurtres et des crimes politiques. Si l'on manque le courage de dénoncer ce qui fait tant de mal au Congo et aux Congolais, ce n’est pas normal. Il est difficile que certains disant n’importe quoi sur les guerres au Congo ne soient pas taxés d'allure criminelle historico sociale du fait d'avoir publié des informations en inadéquation aux vraies raisons causant des guerres au Congo Brazzaville. Les alliances faites ou défaites entre les partis ne sauraient être les raisons de guerres. Cela est un grossier mensonge. Avant 1990, pourtant, il y'a eu de guerres, certes sans beaucoup d’impact de même ordre que le coup d’État de 1997 prolongée en 2003, mais ce sont les mêmes causes. Yengo parle d’alliances. On ne parlait pas d’alliances avant ! Mais il y’a eu les mêmes problèmes causés par les lari et les mbochi qui se battaient pour le pouvoir. Puisqu’il n'y avait pas de partis politiques en compétition .Comment tenir un tel argument ?
Yengo a tapé à côté. Le mal du Congo en temps de démocratie, c’est bien sassou le corrupteur, y compris Kolélas, le corrompu. Car l'agitation à bacongo et à makélé-Kélé fut une gloire, un moment de fête pour déposer Pascal Lissouba. Arrêtons de tout le temps mentir.

C'est ça la vérité ! La vraie vérité !
Gervais Mboumba.

mardi 30 octobre 2007

SASSOU ET SES GÉNÉRAUX ONT TANT SABOTÉ L'AVENIR DES CONGOLAIS.

Lorsqu'on désigne cette institution par la grande muette,il y'a malheureusement à sa tête des noms qui sonnent avec une certaine frayeur, tel une bombe qui vient de tomber au dessus d'une toiture d'école où se trouveraient des enfants entrain d'étudier.Ce sont: Général sassou,Général Yhombi, Général Ngollo Damas,Général Mokoko,Général Oba Pierre,Gégéral Florent Tsiba,Général Okemba,Général Ndenguet,Général Moundelé ngolo,Général Dabira,Général Ngouelondelé,Général Mbot,Général Adoua,Général Motando,Général Konta,Général Mokoki,Général Mondjo...
Si depuis 1968,année à laquelle l'armée congolaise fut politisée,elle a fait naître une élite militaire assoiffée de pouvoir pour la plupart n'ayant aucune notion de gestion d'un État.Aussi,certains sont mis hors jeu à ce jour,c'est à dire à la retraite, s'ils n'ont pas décidé de se refaire une peau neuve pour participer à la vie politique à la faveur de l'avenement de la démocratisation de la vie publique créant un parti politique. N'allez-pas savoir combien de militants existent-ils dans ces partis? Secret militaro-tactique? Ils nous donneront des reponses. Le nombre de militants ne dépasse guère les périmètres de leurs propres villages.De Ngollo Dambage...excusez...De Ngollo Damas en passant par Mokoko jusqu'à Ngouelondelé ,tous ces généraux forts et impliqués dans des crimes,il n'y a que des bambins qu'ils réussissent souvent à réunir;bien évidemment ceux qui ont vraiment faim:la pire de faim.Alors que tous ces bons généraux ne jurent que par le nom du chef de la bande,celui qui leur gave les mâchoires avec des pétro-cfa fabriqués dans les usines du pétrole de Djeno et d'autres gisements pétrolifères environnant la ville de Pointe-Noire la belle.Tandis que les travailleurs,élèves et étudiants triment avec des salaires de misères.Ces généraux sont ceux qui ne veulent pas du pouvoir civile au Congo.Ils ont raison.Raison dans le sens négatif du terme,puisque sans la foire au trésor public leur vie est hypothétique.Des généraux sans régiments respectifs à diriger,ils n'ont qu'une seule chose à faire:manger,, manger et toujours manger.Pour une armée dont le rôle de ses généraux se résume à manger,comment faire face à un énémi qui viendrait de l'extérieur dans le seul but de jauger la capacité d'attaque de ceux que le pays compterait comme garants de l'intégrité territoriale en protégeant la population?D'ailleurs de mes yeux, cette armée ou cette horde de généraux ne brillent que dans la tuerie de leur propre peuple.On aura pour cela comme exemple, la boucherie de 1997 par un coup d'État sanglant où l'on a vu des généraux tels Motando,Longonda,Mokoko Florent Tsiba et bien d'autres se mettre sous les ordres d'un civile comme Tassoua qui en est fier d'ailleurs d'avoir été nommé Général Giap par son maître à penser Sassou Nguesso!Pour Tassoua, ce sacre est bien un honneur ,mais aussi pour sassou,est une véritable démonstration en prouvant l'inefficacité de ces généraux !Ouais! D'après tout: un sergent de la race de Doé au Libéria n'a-t-il pas mis au garde à vous des gros généraux derrière leur bédaines en 1980?Aussi, l'arrivée de l'armée angolaise à la rescousse de ces généraux bouffeurs de cfa, n'est pas fortuite lors du coup d'État de sassou en 1997?Mais pour la jeunesse congolaise,il est clair qu'un jour cette bamboula généralissime prendra fin un jour.Si le Congo continue avec la pratique du pouvoir au bout du fusil:politique et idéologie instituée depuis 1968,il est très gentil de dire que mêmes les occidentaux qui viennent en aide à une telle race des criminels au pouvoir,ne donnent pas l'exemple de démocratie occidentale. Comment peut-on comprendre qu'en Afrique ou au Congo des militaires parfois de bas niveau soient des dirigeants de premier rang en écartant des personnes d'une haute instruction tels,: professseurs d'université, médecins, magistrats,ingenieurs,hommes de sciences et chercheurs nantis d'expérience?le plus souvent on rencontre quelques militaires instruits et bardés de diplômes,mais en leur qualité de militaires loyalistes au sein de l'armée, ils subissent malheureusement les revers de leur rayonnement puis, sont catalogués pour des motifs non fondés du fait simplement de la non -appartenance à l'ethnie du chef.Quel gâchis!Mais à partir de maintenant,tout militaire: général ou pas doit savoir que le Congo n'a plus envie de dictateurs militaro-fascistes et affairistes.Il faut que ça change.Il faut que sassou nous libère le pays.Il s'est enrichi, il a eu la gloire ,il s'est beaucoup servi du peuple congolais comme marches-pieds.Ils ont trop tué,lui et sa horde des miliciens pour parvenir à leurs fins.chaque chose à sa fin.Mêmes les occidentaux le savent.Mobutu y est passé par là.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

dimanche 28 octobre 2007

NTOUMI OU LE PROCHAIN MARTYR DE LA RÉPUBLIQUE ?


Si l'on peut compter le nombre des personnes que sassou a plantées sous terre,ceux qui sont forts en mathématiques et en comptabilité ne vous mentiront pas que ce nombre a déjà atteint plus de 40.000.
Depuis sa nomination par Marien Ngouabi au poste de directeur de la sécurité d'État en 1968 et membre du PCT en 1970,en passant pas le sinistre sacre du ministère de la défense congolaise en 1975 soit deux ans seulement ,jusqu'à l'assassinat de deux chefs d'État en 1977: Marien Ngouabi et Alphonse Massamba Débat, plusieurs têtes sont décapitées.
Venu au pouvoir toujours par les armes et qui dit armes, dit aussi effusion de sang ,c'est à dire mort d'homme,assassinat gratuite de ses adversaires,exécutions sommaires par simple haine ou extinction de témoins génants,Sassou ne cesse de réserver la mort aux Congolais.

En pur enfant chéri de la françafrique,mis au lait et au miel des ressources du Congo
qu'il s'est accaparées par devers lui,en signant un deal avec ceux d'en haut,il règne en maître absolu .
Dictateur patenté et toléré par la communauté internationale sous les ordres et l'appui des affairistes pétroliers qu'on peut scientifiquement appeler: mercenaires économiques opérant sans pitié et sans gêne,sassou est le pire bourreaux des congolais.
Programmant la mort, la désolation et la somme de souffrances ,Sassou Nguesso depuis s'est auto-proclamé, Empereur-Manitou de la forêt politique et économique d'un petit pays riche qu'est le Congo Brazzaville.Agissant librement et, sur sa route,gare à tous ceux qui leveront la tête pour lui contrarier la voie !

Mis à part les affairistes, disons-le sans se tromper que le problème du Congo est avant tout interne.C'est à dire qu'au Congo,la plupart des politiciens pauvres ,ayant comme source du bonheur la politique,sachant qu'ils n'ont aucune chance de devenir chef d'État, ceux-ci n'ont pas de temps à perdre pour collaborer avec celui-qu'ils ont bien combattu surtout dans cette phase mensongère d'une semblant de démocratie.Les exemples en sont légions.

Tous les congolais qui ont regardé la période du déroulement de la conférence nationale souveraine se rappelleront que des gens comme Thystère Tchicaya,Pierre Nzé,Kolélas,Paul Nkaya,Yhombi Opango, sont pourtant ceux que le même sassou Nguesso avait tant humilés.Après donc l'élection présidentielle de 1992 qui a vu Pascal Lissouba remporter toutes les élections,Les faux hommes politiques cités plus haut n'ont pas tardé d'étaler leur lâcheté et leur haine tribale déguisé en opinion politique,jusqu'à rallier le dictateur en lançant par jalousie, de peaux de banane à la jeune démocratie et au pouvoir démocratiquement élu.
Kolélas pour ce dernier est descendu plus bas en s'entourant de la populace droguée,jeunes délinquants de sa région qu'il utilisa comme chair à canon pour semer le désordre qui donna lieu pour la première à une ère invivable en chassant des partisans de Pascal Lissouba dans les quartiers de bacongo,en donnant aussi du fil à retordre au pouvoir démocratiquement élu.
Des guerres ouvertes furent donc programmées dans le seul but d'en découdre avec non seulement Pascal Lissouba leur ennemie, aussi, prouver à l'opinion internationale qu'au congo,le régime Lissouba est en déphasage avec la démocratie.Cet argument ne fut que rejeté par nombre d'organismes publics et au plan mondial :tel l'UNESCO........
En avant le 5 juin 1997 c'est de la pire sauvagerie qu'imprima Sassou Nguesso, en fusillant des gens dans sa propre région que même son frère Yhombi Opango n'a eu la vie sauve qu'en empruntant l'avion, il en serait tué au mois de mai 1997.
Lorsque la guerre civile éclate, là aussi dans cette armée dite nationale,les lari ,les mbochi et les téké ,se rangèrent derrière leurs ethnies pour ne laisser que quelques originaires du Nibolek devant un fait accompli.
Tant les congolais n'ont jamais eu à respecter les valeurs d'unité nationale qu'on ne fut pas surpris de voir des gens afficher une indifference tribale face à l'avenement du régime de Pascal Lissouba:en tête les originaires de la région du Pool.

L'AVENEMENT DE NTUMI DE NTUMI SOUS LE SIGNE DE LA RÉSISTENCE À CAUSE DES TUÉRIÉS PERPETRÉES PAR LES COBRAS ET ANGOLAIS VENUS AIDER SASSOU .

C'est donc à fin de cette guerre civile qu'on assista à l'avenement Ntoumi qui ,agissant dans le cadre d'un racolage de brèches d'unité entre les sudistes malmenés par Sassou qu'on responsabilisa Ntumi dans le cadre de la résistance. Là aussi, il falloir préciser qu'une partie importante des originaires du Pool vivant dans les quartiers de Moungali(Kwakwa),Ouenzé, Poto-Poto, nindja,échappent totalement au contrôle de Kolélas dès le 5 juin 1997.
Mvuba est presque l'homme de la situation pour l'encadrement de ninjas qui rentre en dissidence avec Kolélas ku Total.....

Après la guerre, ayant acquis la victoire,avec l'entrée en guerre de l'armée angolaise ,Zaïroise et génocidaires Rwandais, les populations du Pool vont commencé à être assassinées par les cobras de Denis sassou nguesso ,à bakongo et dans les villages tout au long du chemin de fer,en 1998 et 2000.C'est à ce moment que la résistance commença sous la direction de NTumi ,avec de promesses d'aides faites par Kolélas en exile ....
Aujourd'hui, d'aucun oublient ce qui c'était passé.


MVOUBA,KOLÉLAS sacrifient à petit feu ,Ntumi.

La communauté internationale ne maîtrise pas la version réelle de cette situation.
elle a du choisir son camp,bien que des milliards furent dotés à un cobra tueur de la trempe de Ngakala pour désarmer les Ninjas .Mais cette communauté internationale a-t-elle regarder les manoeuvres d'un régime sanguinaire et criminel de Sassou? Deux poids ,deux mesures!
Mvouba n'est pas lari, mais est quand même du pool.Or Mvouba ne s'inquite pas de la situation au Pool, mais reste l'homme de sassou auprès de qui ,il doit tout ces 1o dernières annnées.
On est dans une logique de trappe, tant pis pour Ntoumi,selon Mvoouba,il aura eu raison.
Mais, la cause de cette situation c'est bien Sassou l'assoiffé de pouvoir qui a accpeté les consignes de la françafrique pour faire la pagaille au détriment du peuple congolais.
Mvouba n'attend que Ntoumi mort pour regner en paix.
Kolélas en sa qualité de politicard idiot,il devra se rappeler de sa position entre 1992 et 1997,bien qu'ayant fait une déviation pour devenir premier ministre ,d'ailleurs ,porte accpeté par tactique.....
Après avoir reçu des mains de sassou, armes minutions et argent sale,il acceptait -là la destruction du Pool par sassou, aujourd'hui, sous le signe de sa paix déguisée ,alors que la vraie paix se fait entre tous les fils d'un pays.Ce qui se vit aujourd'hui,estdans une large mesure la faute de Kolélas.
Ntoumi n'est qu'une victime de la répiublique.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

GERVAIS MBOUMBA,
citoyen du monde,