mardi 11 décembre 2007

DANS LA PRESENTATION DE SON LIVRE,YENGO FAIT DU FEU DE TOUT BOIS.

Il est parfois difficile de comprendre certains congolais qui, lorsqu'on veut parler des sujets de la vie nationale, on cache les vraies versions. Yenga écrit un livre en indexant toute la classe politique congolaise. Mon Dieu ! Ce groupe de mots ''classe politique',’ est un vocabulaire volcanique et malhonnêtement utilisé par certains congolais pour cacher les coupables d'une situation voulue et organisée par des gens bien connues. Yengo comme la plupart des congolais qui écrivent ou décrivent frauduleusement avec malhonnête bien sûr, l'histoire du Congo, devraient savoir que des congolais qui savent ce qui s'est passé, seront toujours présents pour barrer la route aux faussetés historiques de la vie politique au Congo Brazzaville. Vraiment peut-on oublier que la constitution de 1992 nous appelait, nous rappelait et nous recommandait que le pouvoir ne soit plus au bout du fusil, mais au bout des urnes ? Yengo qui accuse la classe politique. Sait-il que cette vision est trompeuse ? La classe politique a-t-elle introduit les armées étrangères, venues de l'Angola, Le Tchad, le le Gabon, le Rwanda, le zaïre répondre à l'appel de sassou nguesso afin de tuer et de renverser les institutions démocratiquement élues. Yengo parait comme étant l'adepte de la logique du flou artistique à entretenir dans l'opinion, dans le seul but de camoufler les coupables des guerre au Congo Brazzaville. Il faut que les Congolais cessent de mentir à travers des livres écrits en stoppant la vérité. Le mal du Congo depuis 1960 c'est bien Youlou qui a été aidé par les Français, le mal du Congo,c'est sassou qui est venu tué et corrompre Kolélas pour mettre du désordre dans le pays. Désordre ayant abouti au Coup d'État de 1997. Yengo marque dans son livre l'état de guerre que le Congo a connu : prenant comme repère chronologique et temporel 1993 et 1994, cette attitude n’est pas fortuite. Pour yengo, ce qui s'est passé avant, il ne saura jamais survoler quelques vérités sur les situations du passé, cela importe peu. Or ce que nous vivons aujourd'hui, les causes sont dans la rivalité lari-mbochi ou Pool -cuvette abusivement nommée rivalité Nord/Sud dans la course ver le pouvoir, en leur qualité de squatteurs du Congo. Pour moi, c’est la véritable cause des meurtres et des crimes politiques. Si l'on manque le courage de dénoncer ce qui fait tant de mal au Congo et aux Congolais, ce n’est pas normal. Il est difficile que certains disant n’importe quoi sur les guerres au Congo ne soient pas taxés d'allure criminelle historico sociale du fait d'avoir publié des informations en inadéquation aux vraies raisons causant des guerres au Congo Brazzaville. Les alliances faites ou défaites entre les partis ne sauraient être les raisons de guerres. Cela est un grossier mensonge. Avant 1990, pourtant, il y'a eu de guerres, certes sans beaucoup d’impact de même ordre que le coup d’État de 1997 prolongée en 2003, mais ce sont les mêmes causes. Yengo parle d’alliances. On ne parlait pas d’alliances avant ! Mais il y’a eu les mêmes problèmes causés par les lari et les mbochi qui se battaient pour le pouvoir. Puisqu’il n'y avait pas de partis politiques en compétition .Comment tenir un tel argument ?
Yengo a tapé à côté. Le mal du Congo en temps de démocratie, c’est bien sassou le corrupteur, y compris Kolélas, le corrompu. Car l'agitation à bacongo et à makélé-Kélé fut une gloire, un moment de fête pour déposer Pascal Lissouba. Arrêtons de tout le temps mentir.

C'est ça la vérité ! La vraie vérité !
Gervais Mboumba.

mardi 30 octobre 2007

SASSOU ET SES GÉNÉRAUX ONT TANT SABOTÉ L'AVENIR DES CONGOLAIS.

Lorsqu'on désigne cette institution par la grande muette,il y'a malheureusement à sa tête des noms qui sonnent avec une certaine frayeur, tel une bombe qui vient de tomber au dessus d'une toiture d'école où se trouveraient des enfants entrain d'étudier.Ce sont: Général sassou,Général Yhombi, Général Ngollo Damas,Général Mokoko,Général Oba Pierre,Gégéral Florent Tsiba,Général Okemba,Général Ndenguet,Général Moundelé ngolo,Général Dabira,Général Ngouelondelé,Général Mbot,Général Adoua,Général Motando,Général Konta,Général Mokoki,Général Mondjo...
Si depuis 1968,année à laquelle l'armée congolaise fut politisée,elle a fait naître une élite militaire assoiffée de pouvoir pour la plupart n'ayant aucune notion de gestion d'un État.Aussi,certains sont mis hors jeu à ce jour,c'est à dire à la retraite, s'ils n'ont pas décidé de se refaire une peau neuve pour participer à la vie politique à la faveur de l'avenement de la démocratisation de la vie publique créant un parti politique. N'allez-pas savoir combien de militants existent-ils dans ces partis? Secret militaro-tactique? Ils nous donneront des reponses. Le nombre de militants ne dépasse guère les périmètres de leurs propres villages.De Ngollo Dambage...excusez...De Ngollo Damas en passant par Mokoko jusqu'à Ngouelondelé ,tous ces généraux forts et impliqués dans des crimes,il n'y a que des bambins qu'ils réussissent souvent à réunir;bien évidemment ceux qui ont vraiment faim:la pire de faim.Alors que tous ces bons généraux ne jurent que par le nom du chef de la bande,celui qui leur gave les mâchoires avec des pétro-cfa fabriqués dans les usines du pétrole de Djeno et d'autres gisements pétrolifères environnant la ville de Pointe-Noire la belle.Tandis que les travailleurs,élèves et étudiants triment avec des salaires de misères.Ces généraux sont ceux qui ne veulent pas du pouvoir civile au Congo.Ils ont raison.Raison dans le sens négatif du terme,puisque sans la foire au trésor public leur vie est hypothétique.Des généraux sans régiments respectifs à diriger,ils n'ont qu'une seule chose à faire:manger,, manger et toujours manger.Pour une armée dont le rôle de ses généraux se résume à manger,comment faire face à un énémi qui viendrait de l'extérieur dans le seul but de jauger la capacité d'attaque de ceux que le pays compterait comme garants de l'intégrité territoriale en protégeant la population?D'ailleurs de mes yeux, cette armée ou cette horde de généraux ne brillent que dans la tuerie de leur propre peuple.On aura pour cela comme exemple, la boucherie de 1997 par un coup d'État sanglant où l'on a vu des généraux tels Motando,Longonda,Mokoko Florent Tsiba et bien d'autres se mettre sous les ordres d'un civile comme Tassoua qui en est fier d'ailleurs d'avoir été nommé Général Giap par son maître à penser Sassou Nguesso!Pour Tassoua, ce sacre est bien un honneur ,mais aussi pour sassou,est une véritable démonstration en prouvant l'inefficacité de ces généraux !Ouais! D'après tout: un sergent de la race de Doé au Libéria n'a-t-il pas mis au garde à vous des gros généraux derrière leur bédaines en 1980?Aussi, l'arrivée de l'armée angolaise à la rescousse de ces généraux bouffeurs de cfa, n'est pas fortuite lors du coup d'État de sassou en 1997?Mais pour la jeunesse congolaise,il est clair qu'un jour cette bamboula généralissime prendra fin un jour.Si le Congo continue avec la pratique du pouvoir au bout du fusil:politique et idéologie instituée depuis 1968,il est très gentil de dire que mêmes les occidentaux qui viennent en aide à une telle race des criminels au pouvoir,ne donnent pas l'exemple de démocratie occidentale. Comment peut-on comprendre qu'en Afrique ou au Congo des militaires parfois de bas niveau soient des dirigeants de premier rang en écartant des personnes d'une haute instruction tels,: professseurs d'université, médecins, magistrats,ingenieurs,hommes de sciences et chercheurs nantis d'expérience?le plus souvent on rencontre quelques militaires instruits et bardés de diplômes,mais en leur qualité de militaires loyalistes au sein de l'armée, ils subissent malheureusement les revers de leur rayonnement puis, sont catalogués pour des motifs non fondés du fait simplement de la non -appartenance à l'ethnie du chef.Quel gâchis!Mais à partir de maintenant,tout militaire: général ou pas doit savoir que le Congo n'a plus envie de dictateurs militaro-fascistes et affairistes.Il faut que ça change.Il faut que sassou nous libère le pays.Il s'est enrichi, il a eu la gloire ,il s'est beaucoup servi du peuple congolais comme marches-pieds.Ils ont trop tué,lui et sa horde des miliciens pour parvenir à leurs fins.chaque chose à sa fin.Mêmes les occidentaux le savent.Mobutu y est passé par là.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

dimanche 28 octobre 2007

NTOUMI OU LE PROCHAIN MARTYR DE LA RÉPUBLIQUE ?


Si l'on peut compter le nombre des personnes que sassou a plantées sous terre,ceux qui sont forts en mathématiques et en comptabilité ne vous mentiront pas que ce nombre a déjà atteint plus de 40.000.
Depuis sa nomination par Marien Ngouabi au poste de directeur de la sécurité d'État en 1968 et membre du PCT en 1970,en passant pas le sinistre sacre du ministère de la défense congolaise en 1975 soit deux ans seulement ,jusqu'à l'assassinat de deux chefs d'État en 1977: Marien Ngouabi et Alphonse Massamba Débat, plusieurs têtes sont décapitées.
Venu au pouvoir toujours par les armes et qui dit armes, dit aussi effusion de sang ,c'est à dire mort d'homme,assassinat gratuite de ses adversaires,exécutions sommaires par simple haine ou extinction de témoins génants,Sassou ne cesse de réserver la mort aux Congolais.

En pur enfant chéri de la françafrique,mis au lait et au miel des ressources du Congo
qu'il s'est accaparées par devers lui,en signant un deal avec ceux d'en haut,il règne en maître absolu .
Dictateur patenté et toléré par la communauté internationale sous les ordres et l'appui des affairistes pétroliers qu'on peut scientifiquement appeler: mercenaires économiques opérant sans pitié et sans gêne,sassou est le pire bourreaux des congolais.
Programmant la mort, la désolation et la somme de souffrances ,Sassou Nguesso depuis s'est auto-proclamé, Empereur-Manitou de la forêt politique et économique d'un petit pays riche qu'est le Congo Brazzaville.Agissant librement et, sur sa route,gare à tous ceux qui leveront la tête pour lui contrarier la voie !

Mis à part les affairistes, disons-le sans se tromper que le problème du Congo est avant tout interne.C'est à dire qu'au Congo,la plupart des politiciens pauvres ,ayant comme source du bonheur la politique,sachant qu'ils n'ont aucune chance de devenir chef d'État, ceux-ci n'ont pas de temps à perdre pour collaborer avec celui-qu'ils ont bien combattu surtout dans cette phase mensongère d'une semblant de démocratie.Les exemples en sont légions.

Tous les congolais qui ont regardé la période du déroulement de la conférence nationale souveraine se rappelleront que des gens comme Thystère Tchicaya,Pierre Nzé,Kolélas,Paul Nkaya,Yhombi Opango, sont pourtant ceux que le même sassou Nguesso avait tant humilés.Après donc l'élection présidentielle de 1992 qui a vu Pascal Lissouba remporter toutes les élections,Les faux hommes politiques cités plus haut n'ont pas tardé d'étaler leur lâcheté et leur haine tribale déguisé en opinion politique,jusqu'à rallier le dictateur en lançant par jalousie, de peaux de banane à la jeune démocratie et au pouvoir démocratiquement élu.
Kolélas pour ce dernier est descendu plus bas en s'entourant de la populace droguée,jeunes délinquants de sa région qu'il utilisa comme chair à canon pour semer le désordre qui donna lieu pour la première à une ère invivable en chassant des partisans de Pascal Lissouba dans les quartiers de bacongo,en donnant aussi du fil à retordre au pouvoir démocratiquement élu.
Des guerres ouvertes furent donc programmées dans le seul but d'en découdre avec non seulement Pascal Lissouba leur ennemie, aussi, prouver à l'opinion internationale qu'au congo,le régime Lissouba est en déphasage avec la démocratie.Cet argument ne fut que rejeté par nombre d'organismes publics et au plan mondial :tel l'UNESCO........
En avant le 5 juin 1997 c'est de la pire sauvagerie qu'imprima Sassou Nguesso, en fusillant des gens dans sa propre région que même son frère Yhombi Opango n'a eu la vie sauve qu'en empruntant l'avion, il en serait tué au mois de mai 1997.
Lorsque la guerre civile éclate, là aussi dans cette armée dite nationale,les lari ,les mbochi et les téké ,se rangèrent derrière leurs ethnies pour ne laisser que quelques originaires du Nibolek devant un fait accompli.
Tant les congolais n'ont jamais eu à respecter les valeurs d'unité nationale qu'on ne fut pas surpris de voir des gens afficher une indifference tribale face à l'avenement du régime de Pascal Lissouba:en tête les originaires de la région du Pool.

L'AVENEMENT DE NTUMI DE NTUMI SOUS LE SIGNE DE LA RÉSISTENCE À CAUSE DES TUÉRIÉS PERPETRÉES PAR LES COBRAS ET ANGOLAIS VENUS AIDER SASSOU .

C'est donc à fin de cette guerre civile qu'on assista à l'avenement Ntoumi qui ,agissant dans le cadre d'un racolage de brèches d'unité entre les sudistes malmenés par Sassou qu'on responsabilisa Ntumi dans le cadre de la résistance. Là aussi, il falloir préciser qu'une partie importante des originaires du Pool vivant dans les quartiers de Moungali(Kwakwa),Ouenzé, Poto-Poto, nindja,échappent totalement au contrôle de Kolélas dès le 5 juin 1997.
Mvuba est presque l'homme de la situation pour l'encadrement de ninjas qui rentre en dissidence avec Kolélas ku Total.....

Après la guerre, ayant acquis la victoire,avec l'entrée en guerre de l'armée angolaise ,Zaïroise et génocidaires Rwandais, les populations du Pool vont commencé à être assassinées par les cobras de Denis sassou nguesso ,à bakongo et dans les villages tout au long du chemin de fer,en 1998 et 2000.C'est à ce moment que la résistance commença sous la direction de NTumi ,avec de promesses d'aides faites par Kolélas en exile ....
Aujourd'hui, d'aucun oublient ce qui c'était passé.


MVOUBA,KOLÉLAS sacrifient à petit feu ,Ntumi.

La communauté internationale ne maîtrise pas la version réelle de cette situation.
elle a du choisir son camp,bien que des milliards furent dotés à un cobra tueur de la trempe de Ngakala pour désarmer les Ninjas .Mais cette communauté internationale a-t-elle regarder les manoeuvres d'un régime sanguinaire et criminel de Sassou? Deux poids ,deux mesures!
Mvouba n'est pas lari, mais est quand même du pool.Or Mvouba ne s'inquite pas de la situation au Pool, mais reste l'homme de sassou auprès de qui ,il doit tout ces 1o dernières annnées.
On est dans une logique de trappe, tant pis pour Ntoumi,selon Mvoouba,il aura eu raison.
Mais, la cause de cette situation c'est bien Sassou l'assoiffé de pouvoir qui a accpeté les consignes de la françafrique pour faire la pagaille au détriment du peuple congolais.
Mvouba n'attend que Ntoumi mort pour regner en paix.
Kolélas en sa qualité de politicard idiot,il devra se rappeler de sa position entre 1992 et 1997,bien qu'ayant fait une déviation pour devenir premier ministre ,d'ailleurs ,porte accpeté par tactique.....
Après avoir reçu des mains de sassou, armes minutions et argent sale,il acceptait -là la destruction du Pool par sassou, aujourd'hui, sous le signe de sa paix déguisée ,alors que la vraie paix se fait entre tous les fils d'un pays.Ce qui se vit aujourd'hui,estdans une large mesure la faute de Kolélas.
Ntoumi n'est qu'une victime de la répiublique.
C'est ça la vérité! la vraie vérité!

GERVAIS MBOUMBA,
citoyen du monde,

vendredi 26 octobre 2007

LES CRIMES DE SASSOU NGUESSO AU CONGO BRAZZAVILLE

LES CRIMES DE SASSOU NGESSO AU CONGO BRAZZAVILLE

A TOUS LES SOUTENEURS DE SASSOU NGUESSOET A TOUS CEUX QUI DOUTENT ENCORE...MASSACRES - ASSASINATSET EXECUTIONS SOMMAIRES

par Hellot Matson Mampouya.




[NDLR : Nous publions ici la liste de quelques cas connus, sur des milliers, qui illustrent le drame que vit le peuple congolais après le coup d’Etat de Monsieur Sassou Nguesso, le 15 octobre 1997. Ceux qui souffrent le martyr au Congo-Brazzaville sont, aujourd’hui, en train de témoigner quotidiennement. Malgré leurs cris, leurs appels au secours répétés, personne ne semble les croire ni les entendre, encore moins les écouter. Leurs cris, leurs appels au secours se perdent dans le néant. Et quand demain, lorsqu'il sera bien sûr trop tard, l'hécatombe sera enfin constatée, les mêmes qui savent, qui se taisent par cynisme, par hypocrisie et qui peuvent, aujourd'hui, seront les mêmes et les premiers qui s'émouveront, s’en offusqueront et dénonceront cette tragédie pour crier au crime, au massacre, aux atteintes des droits de l'homme et parleront de crimes contre l'humanité (larmes de crocodile). Aujourd'hui, le nombre de victimes n'étant pas suffisant, on préfère se taire, attendre. Néanmoins, "TRANSPARENCE" n'arrête pas, à travers cet outil de communication incontournable, d'attirer l'attention de la Communauté Internationale et de la Conscience universelle pour qu'elles ne disent pas, demain encore, qu'"elles ne savaient pas". C’est pourquoi, bien qu’à une échelle moindre par rapport à la quantité de victimes, nous n’arrêterons pas de répéter que la situation du Congo-Brazzaville doit être regardée, considérée et placée au même niveau que celle du Rwanda. Sinon, comment expliquer, qu’à la suite des résolutions de l’ONU et du Parlement Européen, le ministre congolais des Affaires étrangères, M. Rodolphe ADADA, qui avait demandé aux deux Institutions une Commission d’enquête sur le terrain, soit revenu sur ses déclarations et ait renoncé, la semaine dernière, à sa demande de Commission d'enquête dans sa déclaration à la 54ème Session de la Commission des droits de l’homme de l’ONU qui se tient en ce moment même à Genève ? N’est-ce pas paradoxal ? Pour nous, c’est un aveu qui conforte les résolutions de l’ONU et l’Union Européenne, par la voix de son Parlement, qui disent clairement que le “CONGO-BRAZZAVILLE n’est plus un Etat de droit” et que “depuis le retour de Sassou Nguesso au pouvoir” dans des conditions inacceptables, “le Congo-Brazzaville vit une dictature” programmée, délibérée.]I.- MASSACRES, ASSASSINATS, EXECUTIONS SOMMAIRESDu 16 au 17 octobre 1997 :Les troupes étrangères, notamment l'armée angolaise, les mercenaires, les éléments tchadiens, les ex-Faz et les cobras ont massacré plus de cinq cents (500) civils, résidents et réfugiés des quartiers nord de Brazzaville à Bacongo, Makélékélé et environs, aménagés par le Député, Maire de Brazzaville, Monsieur Bernard KOLELAS, en zone humanitaire depuis le déclenchement de la guerre. Les corps des victimes étaient entassés au Centre sportif de Makélékélé et dans les cours de la morgue du Centre hospitalier de Makélékélé. 16 octobre 1997 :- Le ministre Gabriel MATSIONA et deux (2) membres de sa famille sont assassinés par les milices cobras, les mercenaires et les troupes angolaises de Sassou Nguesso à son domicile situé à Massissia (zone sud). Les corps des victimes furent jetés dans un congélateur. - Monsieur BAZEBIZONZA, Professeur d’anglais au Collège de l’Amitié, en compagnie de son épouse, sa soeur et de son enfant sont abattus à bout portant dans sa voiture au niveau du Centre Sportif de Makélékélé. - Le jeune Marien, domicilié à Nzoko (Kinsoundi, zone sud) est froidement abattu par les cobras qui l’ont achevé au carrefour de Mbouono (Madibou, zone sud) devant la population. Octobre 1997 :- Monsieur MALANDA DIA MAYEMBO - Monsieur MOUINI-LOUAGA - Monsieur MALERCO - Monsieur LOCKO-BOUKAKA Anicet sont abattus par les milices cobras, mercenaires et soldats angolais de Sassou Nguesso à Matoumbou (localité située sur le chemin de fer CFCO), dans la région du Pool. Novembre 1997 :- Monsieur MISSIDIMBAZI Paul et son fils Cyprien sont abattus à leur domicile par les milices cobras et les troupes de l’armée angolaise au service de Sassou Nguesso avant de piller leur domicile. - Monsieur NTSONGA, domicilié au quartier Château d’Eau (zone sud - arrondissement 1) - Monsieur MAYELE - Monsieur MATSAMBA - Monsieur NGANGA Charles - Monsieur NGOMA Eric - Monsieur OUMBA Jonas sont tous sommairement abattus au passage des milices cobras et soldats angolais au quartier Château d’eau. - Monsieur LOUMBOUZI, chauffeur retraité des Services de Santé, domicilié rue Matiabou à Moukounzi-Ngouaka (zone sud, arrondissement 1) est froidement abattu au beach de “La Main-Bleue”. 13 novembre 1997 :- Monsieur ILLO est fusillé au passage des troupes angolaises. 16 novembre 1997 :- Monsieur NGUEMBO est abattu froidement par les milices cobras, les mercenaires et soldats angolais au camp de la Gendarmerie de Makélékélé (zone sud de Brazzaville). 17 novembre 1997 :- Monsieur MALANDA, domicilié à Brazzaville, est assassiné par les milices cobras de Sassou Nguesso. - Monsieur MATABA Anicet, réfugié dans son village Louingui (region du Pool, District de Louingui) situé à plus de 150 km de Brazzaville (zone sud), est abattu par les troupes angolaises en compagnie des milices cobras. 25 novembre 1997 :- Monsieur NGOUMA Joseph, exploitant forestier domicilié à Dolisie, est froidement abattu avec cinq (5) de ses enfants; tous enterrés dans sa parcelle située à côté du CEG Hochi-Minh, par un groupe de cobras et d’Angolais conduits par NGUESSO, neveu de Monsieur SASSOU NGUESSO. Novembre 1997 :- Trois jeunes lycéens sont sommairement exécutés à Dolisie par les cobras, mercenaires et troupes angolaises. Il s’agit de : - MOUKOYI Albert (25 ans) - IBOUANGA Robert dit Roberto (23 ans) - MOUKOKO Parfait (27 ans) Décembre 1997 :Enlèvement de quatre (4) jeunes filles, violées et exécutées par les cobras, mercenaires et soldats angolais dans la banlieue de Madibou (Arrondissement 1 Makélékélé - zone sud). Il s’agit de Mesdemoiselles : - MILANDOU Odile - MABIALA Carole - PANGUI Rosette - SYLVIE NENETTE Décembre 1997 :- Mademoiselle KIBAMBA Agnès, 25 ans, élève au lycée Lénine, habitant rue du Caire à Dolisie, est violée et assassinée par dix (10) soldats angolais, près de la base militaire. Décembre 1997 :Enlèvement et exécutions sommaires par les milices cobras, mercenaires et soldats angolais de : - Monsieur KIBONGUI François, résidant à Pointe-Noire - Sergent TOUTI Joseph, résidant à Pointe-Noire - Sergent BOUDINGA Cyriac, Pointe-Noire - Monsieur MBOUNGOU Roland, résidant à Pointe-Noire - Monsieur DIANZINGA, demeurant à Makélékélé (Zone sud Brazzaville) - Monsieur MANTSIONA, demeurant au quartier Matouta (zone Brazzaville sud) - Monsieur MAMPIA, demeurant au quartier Matouta (zone Brazzaville sud) 25 décembre 1997 (jour de Noël) :- Le Leutenant Franck NGOUMA est enlevé, exécuté et enterré à la sauvette dans les alentours de la base aérienne Numéro 01/20 à Brazzaville (zone sud) où son corps fut retrouvé. 2 janvier 1998 :- Monsieur NGOUILOU Joseph - Monsieur NKODIA Alexis - Monsieur MASSAMBA Siméon, demeurant tous au quartier MATOUTA (Arrondissement 1 Makélékélé, zone Brazzaville sud) sont enlevés et froidement exécutés par les milices cobras, les mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. 3 janvier 1998 :- Monsieur MALEKA Richard, militaire, est enlevé et fusillé au Stade Marchand à Brazzaville par un groupe de cobras, mercenaires et angolais au service de SASSOU NGUESSO. 27 janvier 1998 :- Le Colonel MALONDA Jean-Joseph, Directeur Général de la Police Judiciaire, est exécuté à GAMBOMA sur instruction du Colonel OMBELE, neveu de Monsieur Denis SASSOU NGUESSO. 4 mars 1998 :- Monsieur BADINGA Rodrigue et sa femme MAKISSOU Berthe sont enlevés au quartier Fond Tié-Tié, à Pointe-Noire, par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de Sassou Nguesso et ses souteneurs. La femme a été violée et son époux a été porté disparu. - Monsieur YOULOU Patrice, alias “La Denga”, père de sept (7) enfants, domicilié 65 rue Lounianga au quartier Météo à Brazzaville (zone sud) a été abattu sommairement par un cobra. 11 mars 1998 :- Messieurs MOUTONDA Anatole et NKAYA-MAMPASSI, tous deux retraités, parti de Mouyondzi (Région du Niari-Bouenza- Lékoumou/Niboland) pour percevoir leur pension de retraite à Brazzaville sont retrouvés morts, assassinés, derrière le Lycée Technique de Brazzaville. Mars 1998 :- Le couple TAMBIKA Victor et Solange, avec plusieurs civils, sont froidement abattus par un bataillon de plus de deux cents (200) cobras, mercenaires et soldats angolais dans le village MATOUMBOU, région du Pool. Cette localité est située sur le chemin de fer CFCO, à 15 km de Kinkala, capitale régionale du Pool. 18 mars 1998 :- Messieurs DIAWARA et NGOUNGA, demeurant à Massina (zone sud de Brazzaville), sont assassinés par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. II.- ENLEVEMENTS, VIOLSNovembre 1997 :- Madame MOUKIMOU Célestine et ses trois (3) filles, Mesdemoiselles : IBINGA Anne, IBINGA Pierrette, IBINGA Fabienne, sont violées dans leur maison à Dolisie par les mercenaires et soldats angolais au service de SASSOU NGUESSO. - Quatre (4) filles, élèves du Collège (CEG) Central de Dolisie, revenant des cours, ont été violées par des soldats angolais, mercenaires et cobras au service de SASSOU NGUESSO. Il s’agit de : - Mademoiselle MOUKIETO Françoise - Mademoiselle KIAMA Léontine - MBEMBA Judicaëlle - MPASSI Alpha - Mademoiselle MAVOUNGOU Julie, 22 ans, étudiante, est enlevée et violée par des cobras au quartier OCH de Pointe-Noire. 30 décembre 1997 :Mesdemoiselles : - SAMBA Yvette - SAMBA Reine - SAMBA Patricia,tois soeurs habitant, toutes, la rue Berlioz à Brazzaville-Bacongo (zone sud) sont enlevées devant leurs parents, et violées par un groupe de cobras, mercenaires et soldats angolais au service de Monsieur SASSOU NGUESSO. 17 janvier 1998 :- Madame OUMBA Suzanne, âgée de 50 ans, est violée par quatre (4) soldats angolais dans sa maison sise rue Jolly à Bacongo (Brazzaville sud). III.- ARRESTATIONS - DETENTIONS ARBITRAIRESNovembre 1997: Arrestation et détention de :- Ministre Jacques MOUANDA-MPASSI - MOUNGONO Albert, Directeur commercial de Hydro-Congo - KIBAMBA Pierre, Directeur Général des Douanes du Congo - NGONO Emmanuel, Directeur Général de la CCA (Caisse Congolaise d’Amortissement) Décembre 1997 : Arrestations arbitraires d’officiers supérieurs détenus dans une prison souteraine à l’Académie militaire de Djili, à 30 km de Brazzaville, sur la Nationale 2 (Route du Nord).Il s’agit de : - Général ETA-ONKA, Secrétaire Général à la Défense - Colonel EWOLO Oscar, Commandant du Génie - Colonel NKOUNKOU - ABA-GANDZION, ancien Préfet de la Région des Plateaux - MAKOUNZI-WOLO Nestor, membre du Conseil constitutionnel - DZOUMANGUELET Henri-Marcelin, Inspecteur Général d’Etat adjoint - MOUNANGA Patrick, PDG de Société - KOUASSI Georges, Commerçant Mars 1998 : Arrestations arbitraires à Pointe-Noire :- Colonel IGNE - Colonel NDZOTA - Colonel SABA - Capitaine Célestin NGANGOYE, Commissaire de Police de Pointe-Noire - Monsieur OKABE Saturnin, membre du Bureau politique du RDD, le parti de M. Jacques-Joachim Yhombi-Opango. Ainsi donc, depuis l’installation du pouvoir putschiste de Monsieur SASSOU NGUESSO au Congo, de nombreux crimes, dont les exécutions sommaires, se poursuivent impunément. Précédemment, nous avons déjà rappelé à l’opinion et à la Communauté internationales que dans la deuxième quinzaine du mois de février 1998, les Eglises du Congo-Brazzaville ont dénoncé, par la voix de l’Archevêque de Brazzaville, Monseigneur Barthélémy BATANTOU, les exécutions sommaires qui se poursuivent au Congo-Brazzaville, plusieurs mois après la fin de la guerre publiquement annoncée. Le 9 mars 1998, l’Observatoire congolais des droits de l’homme, par la voix de son Président, Monsieur MOUNDZEO Parfait, informait par une interview sur la BBC, l’opinion internationale sur les exécutions sommaires de deux (2) policiers fusillés publiquement par les cobras, mercenaires et soldats angolais, au service de Sassou Nguesso, au quartier Saint-Pierre à Pointe-Noire. L’un succomba sur le champ, l’autre fut transporté à l’hôpital Adolphe Cissé par les habitants du quartier. Il fut retiré (enlevé) de l’hôpital par les mêmes cobras, mercenaires et soldats angolais, au service de Sassou Nguesso, pour être achevé publiquement aux abords de l’hôpital. Bref, lorsque nous dénonçons la poursuite de la violence, des crimes au Congo-Brazzaville, nous parlons bel et bien de la dramatique réalité quotidienne sur le terrain. Hellot Matson MAMPOUYA Porte-Parole du Président du MCDDI Président de l’ERDDUN Premier Ministre du Gouvernement Constitutionnel du Congo-BrazzavilleRetour au menu --------------------------------------------------------------------------------Vos suggestions & commentaires via courriel : Transparence CopyRight © 1997 - All International Rights Reserved. --------------------------------------------------------------------------------This page was created with the Hot Dog Pro Web Page EditorRevoir la pub Trucs, astuces, ateliers pour créer son site

jeudi 25 octobre 2007

LE MAL DE L'AFRIQUE ET DU CONGO BRAZZAVILLE C'EST SASSOU.



LETTRE OUVERTE À MONSIEUR SASSOU NGUESSO,PRÉSIDENT AUTO-PROCLAMÉ ET AUTO-LÉGITIMÉ AU CONGO BRAZZAVILLE.


Monsieur le président auto-proclamé.


Depuis votre premier règne dictatorial entre 1977-1979 à 1990, après donc que vous ayiez assassiné le président Marien Ngouabi,le président Alphonse Massamba Débat,le cardinal Émile Biayenda,Ndoudi Ganga,Kimbouala Kaya et bien d'autres innocents,vous avez emprisonné Yomby Opango sans jugement, pour avoir acheté un lit d'une valeur d'1 million de frs cfa,alors que le vôtre a coûté un milliard de frs cfa .Vous l'avez emprisonné parce qu'il achetait des mangues de la Côte-d'Ivoire.Vous avez tué Pierre Anga et bien d'autres.....
Après la conférence nationale,le peuple vous a vomis à l'élection présidentielle en 1992 et, ce même peuple du nord au sud de l'est à l'ouest ,a bien choisi un digne fils,le professeur Pascal Lissouba.Pris de rage,vous êtes revenu brutalement au pouvoir en 1997 en tuant des milliers de congolais par coups d'État en envahissant le congo brazzaville avec des armées étrangères :de l'Angola,du Tchad ,des l'armée de Mobutu,y compris des génocidaires Rwandais pour la soif de pouvoir qui vous a rendu riche.Que cherchez-vous ? Pourquoi gaspillez-vous le Congo?Quel type de personnage êtes vous?Aujourd'hui ,vous êtes en train de blouser à nouveau le peuple congolais pour prétendre diriger à partir de 2009 et continuer à piétiner le Congo pendant 7 ans de plus,alors que votre présence ainsi que celle de vos généraux miliciens du nord sont synonyme de dictateurs criminels.Des véritables loups vêtus de peau d'agneaux qui ont endeuillé le Congo.De retour de France en 1997, vous avez commencé à distribuer la mort depuis Owando,et à Brazzaville.Vous avez instauré la culture de la violence en tuant à bout portant.Vous avez dès le 5 juin 1997 assassiné le colonel Éboundi parce qu'il fut loyaliste.vous avez assassiné même des élèves qui allaient à l'école ce matin -là du 5 juin 1997.Vous avez du 15 octobre 1997,1998 et en 2007,éliminé des partisans du pouvoir Pascal Lissouba,dont le commandant Ébaka ,le fils du Colonel Jean Michel Ébaka et bien d'autres....Simplement parce qu'ils ont condamné votre coup d'État.En dernière date, vous venez encore de tuer en 2007 là,des populations qui accompagnaient Ntoumi lorsqu'il rentrait à Brazzaville.Vous avez largué des bombes sur les régions du Niari,de la Bouenza et de la Lékoumou,tuant des enfants et paisibles populations, parce que les populations de ces régions vous ont bouté parce que depuis 30 ans vous êtes à votre 6 e coup d'État et vous avez tant tué.Qui êtes-vous? Qui êtes-vous vraiment?Votre palmarès est beaucoup trop criminel,Vous avez un sang comme celui d'autres congolais, mais vous avez le sang humain comme boisson préférée ,alors qu'on vend du jus d'orange moins cher dans le monde entier .votre pouvoir a duré dans la tromperie,le vol,la corruption ,les assassinats.La communauté internationale en est édifiée.Je crois que vous serez traduit à la justice pénale Internationale pour crimes contre l'humanité.Vous voulez par un sursaut d'orgueil faire croire aux congolais que vous êtes là pour construire le pays,alors que le pays est divisé entre le nord et le sud,mais vous continuez dans la cafouillage et l'intimidation.

Ailleurs dans le monde:aux USA,au Canada, en France,en Allemagne,en Belgique,le pouvoir s'acquiert par les urnes,c'est la démocratie.

Les congolais du nord et du sud ne s'aiment plus depuis plus de 30 ans à cause de vous.Seuls les politiciens qui s'aiment ,parce qu'ils ont le même dénominateur commun:le vol, le pouvoir, l'argent, et la vie facile.Alors,mon cher Denis, il est temps de démissionner, les congolais: homme,femme,jeunes ,élèves et étudiants du nord au sud, de l'est à l'ouest et du centre n'ont plus envie de vous voire tromper continuellement .Assez! assez! Allez y faire du commerce,vous vous êtes enrichi en milliards,vous avez beaucoup tué,vous avez déclassé l'éducation l'école,l'université au dernier rang en Afrique,trop c'est trop !


C'est ça la vérité! la vraie vérité!

lundi 8 octobre 2007

LETTRE OUVERTE À SON EXCELLENCE,MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE.


À SON EXCELLENCE, MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE,
MONSIEUR NICHOLAS SARKOZY,



EXCELLENCE MONSIEUR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE


EXCELLENCE.



J'ai l'honneur de venir très respectueusement auprès de votre très haute bienveillance,en votre qualité de première autorité publique et républicaine, de la très grande,forte,vaillante ,travailleuse et accueillante nation:La France,pays aux grandes et riches valeurs démocratiques,humaines, scientifiques, technologiques et sociales,vous présenter ici, quelques doléances du peuple Africain francophone en général,et du peuple congolais de Brazzaville en particulier, sur sa position actuelle dans une phase où ce peuple a été secoué ,il y'a dix ans ,par un vent de violence gratuite causée par des politiciens .

Excellence monsieur le président de la république,en ma qualité de représentant des populations du District de Divenié au Congo Brazaville,pour la petite histoire:Divenié n'est autre que le premier District colonial officié par le commandant Claude Millet,administrateur colonial ,vers les années 1940.La jeunesse Africaine par ma modeste personne en appelle à vos qualités d'ancien avocat émérite, donc en votre qualité de garant et défenseur des personnes subissant toute forme de discrimination, de violence et de guerre , de sabotage inutile,afin d'examiner le cas du Congo Brazzaville,petit pays,mais immensément riche dont la coopération économique avec la France, date depuis de très longues années.Comme dans toute relation entre deux États, les petits malentendus ne manquent pas.Mais,en ce qui concerne la jeunesse congolaise, son souhait le plus ardent c'est de vivre dans un pays où la démocratie ne doit pas être hypothéquée,que la jeunesse ne vive pas dans le dénuement, dans la peur et que les étudiants qui ont le mérite,puissent continuer d'étudier dans un climat de sérénité et de franche équité dans la poursuite de leurs études, en prouvant par le travail combien l'admission en classe supérieure est bien le reflet des efforts fournis pour accéder par la grande porte dans le monde du travail,pour servir loyalement leur patrie, pour ne pas être tenté par le goût des voyages aventureux vers l'occident où certains finissent par y perdre la vie,si ce n'est pas un retour forcé aux portes des frontières.

Excellence ,monsieur le président de la république,Tout ce qui se passe malheureusement en Afrique en général,et au Congo Brazzaville en particulier est une histoire cachée ,mais étant cachée, les répercutions qui s'abattent sur cette jeunesse sont parfois effroyables et régrettables.Le Congo Brazzaville, est un pays qui a connu des guerre ces dix dernières années.
Comme vous le savez, ce pays venait de reculer de cinquante en arrière.La jeunesse désemparée dont une bonne partie se retrouve dans d'autres pays limitrophes, en Afrique et en occident,ce départ n'est pas fortuit.C'est que les institutions dignes d'une république ne leur garantissent pas un avenir radieux. À l'heure de la mondialisation où les techniques de la communication relient tous les pays du monde,le congo Brazzavillee présente malheureusement un échos troublant et totalement en inadéquation avec la propagande faite par le pouvoir qui semble dire tout du bien du Congo alors que le vécu quotidien des congolais est totalement morose.

Or ,lorsque le président actuel ,monsieur Denis Sassou Nguesso,venu au pouvoir par effusion de sang en 1977, 1979,puis 1997 ,en endeuillant le peuple congolais pour des raisons toujours du pouvoir,en brisant l'unité nationale entre le nord et le sud du Congo,en broyant l'avenir de la jeunesse,tant il est entendu que certains apprenant n'auront pas à combler le retard accumulé,il fait croire à l'opinion internationale que tout va bien. Ajouté à cela, des femmes violées, des personnes âgées précipitées par la mort sans assistance, est un véritable crime contre l'humanité.
Un fait important est de révéler ici, que la jeunesse Africaine en générale,et congolaise en particulier aime le peuple français et aime la langue française dans laquelle ,ils apprennent des rudiments de sciences : les mathématiques, la physiques, la biologie,et j'en passe........

Excellence monsieur le président de la république: sur des questions liées à la langue française, je crois bien que depuis tant d'années, les jeunes d'Afrique Francophone ont toujours été des ambassadeurs de la langue Française dans d'autres pays non francophones.
Mais,confrontée aux différentes crises que leur procurent des politiciens ,ils s'égarent parfois dans des comportement louches.
Comment par exemple intérioriser des valeurs de liberté ,fraternité et d'égalité chères au peuple Français dans les pays d'Afrique Francophone lorsqu'on sait que ces valeurs sont bafouées au plus haut sommet par des dirigeants parfois qui sont en relation avec la France?
Le cas le plus flagrant est celui qui a trait au manque d'alternance au pouvoir.Certains chefs d'État s'appellent sans gène :doyens des chefs d'État africains .Or dans l'esprit de la jeunesse Africaine, cette étiquette est bien celle qui s'apparente à la culture de la dictature.les cas sont riches en citations.

Excellence monsieur le président de la république,sans parler d'ingérence dans les affaires des États Africains,il y'a tout de même des passages de votre discours qui ont réveillé l'attention de la jeunesse Africaine,au lendemain de votre victoire à l'élection présidenteille, lors de votre premier première allocution! Votre discours prononcé à cet effet ,avait une substance qui fait rêver la jeunesse africaine , abusée par des chefs d'État parfois parvenus au pouvoir par coups d'État,et que, leur soucis n'est que le pouvoir et non la prise en compte de la jeunesse.
C'est pourquoi ,nous souhaiterions dorénavant que les chefs d'État Africains ne soient plus là à multiplier les mandant ,par 4 ,par 8 pour s'éterniser au pouvoir et s'enrichir sur le dos du peuple.Cela est d'autant plus inadmissible qu'aujourd'hui ,sans l'aide de la France pour certains d'entre eux ,il n'auraient plus le suffrage du peuple.
Aussis, la France n'aurait pas à perdre ses avantages économiques en Afrique! Car la jeunesse congolaise en particulier sait bien que ,le principal pays avec lequel la coopération marche sur tous les plans c'est bien la France.Il ne peut en être autrement.

Excellence monsieur le président de la république Française, c'est en terminant ma lettre sur ces deniers mots que je tiens à vous féliciter une fois de plus pour votre brillante élection et, vous demande humblement de veiller sur la jeunesse Africaine francophone qui souhaite profiter aussi des richesses du continent Africain ,afin de tourner la page aux voyages clandestins vers l'europe.Tout en attirant l'attention des chefs d'État africains qui dilapident de l'argent de l'État à d'autres fins, affamant ainsi la jeunesse Africaine.


Excellence monsieur le président de la république, veuillez recevoir l'expression de ma plus haute considération.


GERVAIS MBOUMBA,
citoyen du monde.

lundi 1 octobre 2007

LA DÉMOCRATIE À L'AFRICAINE,UNE LUTTE ÂPRE ET DE L0NGUE HALEINE.

L’Afrique en général et surtout l’Afrique francophone en particulier, ne se retrouve plus dans cette jungle de pagaille criarde, en ce qui a trait à la démocratisation de la vie publique. Des exemples tout au moins étonnamment pathétiques s’affichent d’eux même lorsqu’on lit les journaux, lorsqu’on écoute la radio et lorsqu’on regarde en image sur des nombreuses chaînes de télévision et sur Internet des scènes évoquées ,selon l’intérêt que ces médias y accordent à la situation de l’Afrique . Dans ce vaste continent, quelque chose d’étonnant alerte pourtant la conscience de certaines organisations non gouvernementales et analystes politiques du monde entier : mais hélas !
De l’ONU, qui est l’âme de toutes les nations éprises de paix, en passant par des pays qui essaient de raisonner en terme de sapeurs pompiers, afin d’éviter d’autres drames comme ceux du Rwanda et du Darfour aujourd’hui, il y’a malheureusement quelque chose d’autre qui fait mal et que d’aucuns semblent toujours ignorer avec une négligence et intelligence cyniques.

La démocratie et l’alternance au pouvoir sont –elles un luxe pour l’Afrique ?

Cette interrogation ne peut que nous intéresser, à nous francophones surtout pour constater que ce vaste continent d’Afrique francophone vit une situation dramatique. Les dicteurs font et refont des constituations qui leur obligent de rester éternellement au pouvoir, en se faisant élire ,réelire, et encore réélire afin de quaadrupler les mandats présidentiels. Tellement que c’est dévenu comme un jeu, le système se couvre finalement d’un voile épais d’une réelle dose de corruption.
Plusieurs facteurs peuvent être évoquées.
Au commencement c’était la colonisation, puis vint l’indépendance.
En ayant proclamé cette indépendance à partir des années 1960, Ces jeunes États africains indépendants sont malheureusement ceux qui ne réussirent pas à intérioriser les valeurs démocratiques tout au début de leur indépendance à cause d’un certains nombres de raisons liées au processus difficiles de développement des mentalités encore soumises dans une culture notoirement incompatible avec des nouvelles valeurs démocratiques. Aussi, l’ancien colonisateur qu’est la France se voyant comme mise à l’écart de toutes activités de ses anciennes colonies nouvellement admises au rang de nouveaux États indépendants, les a point accompagnés dans un bon sens.
Le cas d’Omar Bongo Ondimba du Gabon qui est assis dans son fauteuil présidentiel depuis 40 ans est une parfaite illustration.
Ainsi, on assista à la venue d’une vague des dirigeants, véritables représentants des gouvernement défilant en France sous l’œil clairvoyant du réseau le plus féroce :la France Afrique qui milite dans la poursuite d’une politique néo-coloniale en inadéquation avec les conventions et principes de bases édictés par l’ONU : notamment que les pays membres de l’ONU ont le droit de disposer d’eux-mêmes.
Ainsi vers les années 1968,on assista donc à la première vagues de dictateurs composés de chefs d’État comme Bongo,.Moussa Traoré, Eyadema, Mobutu,…..Sassou,Biya Ratsiraka suivie de la deuxième vague composée des président tels. Lansana Conté, Comparé, Idris Deby, Bozizé et leurs suppôts.
Avec tout ce beau monde, les pays Africains semblent êtres de plus en plus malades, sous développés, faute d’alternance politique tant que la France sera le soutient de ces indécrottables dictateurs que certains dirigeants Français appellent souvent doyens de chefs d’État, non pas par rapport à leur âge, mais par rapport à la longévité au pouvoir.
Ainsi, doyenneté par rapport à la longueur abusive du temps passé au pouvoir, qui n’est absolument et nettement que l’équivalent du manque d’alternance, donc de la dictature pure et dure exercée par ces gens.
Cependant, la France n’a pas hésité de s’ingérer, aux travers des réseaux mafieux, aux richesses de ses anciens colonies, en soutenant une faction contre une autre pour asseoir un gouvernement ayant à sa tête un homme de main pour assurer la facilité de l’exploitation des richesse aux détriment de la population du pays, ou nouvelles nations.

dimanche 30 septembre 2007

JUSQUE OÙ LES LARI, LES MBOCHI ET LES VILI CONTINUERONT À MENTIR?

Je ne crois pas qu'une telle question posée dans ce sens soit celle qui ne peut trouver de réponse !Aussi, ceux qui aiment armer leur réponse de déviation ,en empruntant d'autres chemins, devraient être honnête dans le débat.Le problème du Congo c'est celui du pouvoir.Qu'est ce que le pouvoir?C'est un rang qui permet à un citoyen de présider aux destinées de ses concitoyens.De quelle manière? En remportant une élection présidentielle lorsque le peuple vous choisit comme étant celui qui est capable.Ici, on s'entend bien car la démocratie sous entend la poursuite du respect des lois émanant des travaux de la conférence nationale ,en respectant l'alternance politique.À quoi assistons-nous au Congo Brazzaville? Nous assistons au règne de la criminalité,des coups d'État,de l'injustice sociale,du vol ,du viol.Les populations sont endeuillées depuis 1992 parce qu'il y'a des assoiffés de pouvoir bien identifiés venu au Congo en colonie tribales.-Les lari, les mbochi et les vili.Ces trois ethnies ont toujours pratiqué la prostitution économique, politique, et sociale au travers des agissements de leurs cadres respectifs qui n'ont ni foi ,ni loi,ni éthique dans la gestion des affaires de l'État.De 1960 à 2007,ces gens ont pollué l'administration publique,para-étatique sans compter l'armée.Ils ont depuis 1960 fait croire à d'autres congolais qu'ils étaient nantis d'une intelligence plus que celle d'autres congolais issus d'autres ethnies,en pratiquant des méthodes de sélection ethnique des fonctionnaires à différents postes de responsabilité,selon l'appartenance éthnique.Si bien que la situation des fonctionnaires est quasiment celle qui fait que les différents postes juteux sont accaparés par les originaires de ces trois ethnies d'une manière cruellement non orthodoxe.On se souviendra de ce qui se passe au cours des examens et concours.L...Aussi, les récrutements se font sous la base tribale.Combien d'étudiants congolais n'a-ton pas rencontrés dans les universités occidentales? sur 2000 étudiants ,80% pour cent sont issus des trois éthnies:lari ,mbochi et vili,en nous faisant croire que ce sont des surdoués.Or ces gens après avoir truandé,après que les leurs: hauts fonctionnaires les aient poussés. Cela prend confusionnelemenent un caractère humainement normal ,alors qu'il ne s'agit que des fraudeurs élévés au rang d'étudiants qu'on envoie en occident.Demain c'est cette racaille qu'on va retrouver qui:ministre de ceci, directeur des finances, directeur des impots ,directeur des hydro-congo(s'il y'en a encore à ce jour),professeur d'université,professeur de manioc, d'arachide et j'en passe......Oui! Il est temps qu'on arrête le massacre au Congo Brazzaville.Numeriquement, des gens nous font croire que les uns sont plus peuplés que les autres.Oui!Mais peut-on croire que même dans les établissement,scolaire, même au cours de l'admission au baccalauréat,au BEPC,ces éthnies:lari ,mbochi, vili ont un nombre numeriquement important en terme de succès aux examens? Je ne le crois pas.Les professeurs savent ce que je dis.Pas tous,mais des professeurs tribaux qui donnent des matières ,je vais dire qui vendent des matières aux élèves.Et les plus méritants finissent par être génés et frustrés.cela se passe à ciel ouvert dans les Lycée de Pointe-Noire,de brazzaviles....La rentrée scolaire commence, aucune enquête n'est ménée pour savoir ce qui s'y passe.Quoi! est-ce que les gens ont du temps d'enquêter et de contrôler? Non , ils n'ont que le temps de voler, de s'approprier du pouvoir qui les rend riches.Voilà la situation dépeinte par moi,Elle est réelle,Je n'avance rien sur le site sans preuve.Que des congolais le sachent.le pays en matière d'éducation, est le dernier d'afrique.Les apprenants ne s'expriment pas bien en français.Peu d'enfant en 3e savent construire une phrase d'un sujet verbe et complement bien structurée.C'est décevant lorsque j'écoute parler un élève congolais de Brazzaville et un autre venant d'un autre pays francophone tel le cameroun.Vous sentez la difference entre les deux.Autrement dit ,le congolais se fourre dans les phrases boiteuses ,alors que le camerounais s'exprime avec aisance en employant correctement les accords.Or dans ce Congo, il y'a un facteur de déchéance éducationnelle:Le manque d'enseignants de qualité,pas ceux venus du pool et de la cuvette,parce que 60% sont des arrivistes venus sous l'effet du vent de la tribu, l'éthnie pour se faire éducateursC'est du mboka mboka,la cause originelle c'est bien la forme de gestion du pays par les lari ,les vili et les mbochi qui écument l'enseignement au congo depuis 1968.Il est bien de changer, il aussi bien de dénoncer cela, si les congolais veulent que la situation change.Au lieu de s'en prendre aux moralisateurs comme nous,Il faut reconnaître l'incompétence des ces gens qui ont fait baisser les ardeurs au travail,qui ont planifié la médiocrité à la place de du mérite et des méritants.

samedi 29 septembre 2007

LETTRE OUVERTE AUX INTELLECTUELS DU CONGO BRAZZAVILLE.

Dans notre pays,avant comme après l'indépendance acquise en 1960, des gens naquirent, naissent et continueront de naître.la vie par définition c'est vivre parce qu'on est né quelque part et, de ce fait chacun de nous y est arrivé ,arrive et continuera d'arriver.C'est une loi divine.Comme vous le savez, notre monde est divisé en continents,dans chaque continent, il y'a des territoires.Dans ces territoires se trouve une organisation:le pays au sein duquel existe une formation socio-politique:l'État avec ses règles, ses subdivisions territoriales et administratives au sein desquelles une répartition géoculturelle s'est effectuée depuis la nuit des temps.En sciences politiques ,un domaine précis est abondamment étudié et utilisé même par les démographes:les forces vives du pays ou la nation.La nation c'est l'ensemble des populations partageant un même espace,culturel qu'on appelle territorial en s'appropriant communement de ces richesse conformement aux dispositions établies par la lois fondammentale du pays.La nation c'est également l'ensemble de la populations ayant en partage la même hitoire, les mêmes répères sociaux,c'est en somme un peuple commun ayant un idéal commun ou objectif pour garantir l'avenir et le devenir de la nation tout entière en la defendant, en la developpant de manière à favoriser des conditions de vie meilleurs pleine d'harmonie et d'épanouissement culturel intellectuel socio- professionnel ou autres,dans la paix, la sécurité, la confiance mutuelle,en toute équité,dans le respect des lois égalitaires qui régissent toute la communauté où :femme ,homme ,enfant doivent faire prevaloir leur droit en même temps reconnaître leurs obligations devant la loi...la liste est longue.....Tels sont les repères d'une nation moderne et civilisée.Or, jeune ,en grandissant depuis les années 1980 dans ce Congo dont je parle, je commençai à m'interroger si reellement nous sommes une nation face à l'injustice, le mépris,le totalitarisme et le rejet de l'autre:forme de ''racisme'' torpical qui pointait déjà à l'horizon au Congo,depuis les années 1980.L'éthnie du chef sonnait fort et les membre de l'ethnie du chef pratiquant déjà une influence psychologique sur d'autres éthnies,avec la démocratie,le mythe commença a tombé car on vit venir une ère de liberation psychologique.tant des militaires avant 1990 devenaient si impolis ,mefiant et brutaux en vers les civiles.on vit un air d'espoir.Mais avec le retour de sassou au pouvoir par coup d'État,le congolais ont réplongé une ère de confiscation des libertés.Du type des politiques sociales et les instititions en passant par les rapports intercommunautaires entre congolais,entre les differents groupes ethniques au Congo brazzaville,jusqu'aux rapports les plus élementaires,le constat est très amer face au comportement délinquencier et au premier chef les dirigeants qui une fois revenus au pouvoir par les armes,il s'ensuit une véritable penitence afffligée déliberement aux populations.On est en droit de croire à une jungle républicaine qui forme au jour le jour en constatant avec beaucoup de peine la manière dont le pays est géré.Un véritable espace d'escrocs qui dictent la loi en semant une terreur douce ,mais nocive dont les repercutions sont durables sans le savoir.Tenez par exemple en 1997,le retard causé aux élèves et étudiants par sassou pendant et après son coup d'État, n'y est pas encore rattrapé.Dieu seul sait si celui-ci sera rattrapé .Le monsieur s'en fout éperdument mais, nous disons que c'est un véritable crime en déhors du génocide que celui-ci a fait.Dans ces conditions comment continuer à croire que celui qui est en face de moi soit un compatriote à qui faire confiance? Il y'a des gens comme les Okanga qui sont d'office ceux qui ne veront jamais les fautes des nordistes par exemple qui écument le congo depuis 1968.Comme leur abatardissement les contraint d'une manière aveugle à penser qu'on les en veut.Ils sont les premiers à chanter sur tous les toits du monde qu'on est tribalistes.De quelle manière?N'est-ce pas là l'image du voleur qui crit au voleur ?Il faut que les gens comprennent un peu que les biens materiels, les appetits du corps et non spirituels sont un venin à multiples connséquences.La politique barbare devient un sport institutionalisé, que mêmes des promotions des parents aux divers postes de responsabilité dans l'administration publique dans l'armée n'obéit qu'à cette règle ignoble d'oligarchie et de familiarisme.Il fort à parier que le Congo Brazzaville sorte sur une tellemauvaise voie de garage face à la compétitivité qu'impose la mondialisation.On a vu des simple étudiants comme Okombi salissa ,cobra familier,ne doit son ascension ministériel que parce qu'il a tué,volé ,violé pour se placer au rang d'homme d'État.Quel exemple va-t-il donner aux futurs cobras, lorsqu'on sait que chaque mbochi qui nait depuis 1997 est d'office petit cobra sur les traces du grand cobra à qui inculque dejà la grande pensée du livre vert aux nouveaux cobras à savoir:Ton enemi est au sud du Congo,dis-lui bonjour, mais n'oublie pas de lui faire un coup d'État,car la survie en dépend pour enrichir la contrée ou la region.L'homme est un loup pour l'homme oui!Mais en clair ,le nordiste est un loup pour le sudiste.la preuve est là sur la question de l'acquisition du pouvoir.

mercredi 8 août 2007

INTERVIEW AVEC MADAME ORTÉGA




LA FCCE EN BREF :ENTRETIEN AVEC MME REINA ORTEGA, PRÉSIDENTE DE LA FÉDÉRATION DES COMMUNAUTÉS CULTURELLES DE L’ESTRIE





1. Madame ,les gens qui vous écoutent et vous regardent aimeraient vous connaître.Qui êtes-vous Mme ORTEGA?Je suis originaire de Honduras (Amérique Centrale) et je suis arrivée au Québec en 1977. Plurilingue depuis plus de 25 ans, j’ai fait des études en comptabilité et en entrepreneurship. J’ai également fait de la traduction dans plusieurs langues avant de devenir un membre actif de la Fédération des Communautés Culturelles de l’Estrie (FCCE).
Mme Reina ORTEGA
2. Quels sont les objectifs de la Fédération des Communautés Culturelles de l’Estrie (FCCE)?À la création de la FCCE en 1994, les objectifs étaient d’une part de faciliter l’intégration des immigrants en général et les femmes immigrantes en particulier et, d’autre part, d’essayer de les rassembler en vue de former une force pour faire face à la vie quotidienne de l’Estrie.
3. Quels sont les rapports que vous entretenez avec la communauté universitaire de Sherbrooke?La FCCE a toujours travaillé avec l’Université de Sherbrooke mais elle n’avait jamais été approchée pour travailler avec les étudiants internationaux. Cette partie de la communauté a toujours été négligée pour la simple raison qu’à l’issu de leur formation les étudiants repartent chez eux. Il est vrai que ce sont des étudiants étrangers mais il faut avouer que c’est à travers l’immigration économique qu’ils ont été acceptés à Sherbrooke. C’est seulement cette année qu’on a commencé à travailler avec l’A.E.A.S. (Association des Étudiants Africains de Sherbrooke) pour voir ce que nous pouvions faire ensemble. Nous avons collaboré ensemble à la réalisation de plusieurs activités et nos objectifs ont été largement atteints. Ce fut une expérience enrichissante pour nous de travailler avec cette association et si l’occasion se représentait encore, nous n’hésiterons pas à la saisir.
4. Quel type d’action avez-vous entreprise depuis que vous avez eu un regard sur la situation des femmes dans la région de l’Estrie?Les problèmes majeurs des femmes immigrantes demeurent l’isolement et la communication en français. Parfois, certaines arrivent ici avec la famille (le mari et les enfants) et décident de rester seules à la maison pour s’occuper des enfants tout en priorisant le mari. Ce dernier, contraint à rechercher de l’emploi pour soutenir la famille, va à l’école pour apprendre le français. C’est ainsi que la femme immigrante accumule du retard, intensifie ses difficultés de communiquer avec le monde extérieur et s’isole. Pour alors jouer son rôle, la FCCE à chaque mois va à la rencontre des ces femmes, évalue leurs besoins puis organise à cette occasion des ateliers et des séances de formation. Par exemple, si c’est le niveau en français qui est faible, la FCCE met à leur disposition des professeurs de français qui les aident à améliorer leur niveau afin de bien communiquer pour mieux faire face à la vie quotidienne. La tenue de plusieurs ateliers permet de mieux conscientiser les jeunes et d’aider à résoudre à court terme certains problèmes auxquels ils font face. Aussi, la FCCE les accompagne dans la recherche de l’emploi, les aide à bien se sentir dans la région de l’Estrie, les dirige et les oriente vers d’autres organismes utiles.
5. Dernièrement vous avez été membre du comité d’organisation des Mondiaux de la jeunesse, avez-vous été satisfaite de l’implication des étudiants?L’implication des étudiants lors des Mondiaux de la jeunesse en 2003 a été extraordinaire. Je pense d’ailleurs que c’est en ce moment que la ville de Sherbrooke a constaté l’existence d’un grand nombre d’immigrants à Sherbrooke. Les étudiants ont fait un excellent travail et c’est en partie grâce à eux que les Mondiaux de la jeunesse ont eu un grand succès. Depuis lors, ils jouissent d’une très bonne réputation en ce qui concerne leur implication dans les diverses activités qu’ils aident à réaliser.
M. Boubacar Cissé, Mme ORTEGA et M. Gervais Mboumba
6. Vous faites état d’un grand nombre d’immigrants dans l’Estrie, cela n’engendre-t-il pas souvent des conflits intercommunautaires?En effet, je reconnais que les conflits existent partout dans le monde, ce qui n’épargne pas ce grand bassin de plus de 10000 immigrants installés dans la région de l’Estrie. Ça fait 27 ans que je suis installée dans la région mais j’avoue que l’intégration n’a pas été facile. Il y a 10 ans on ne parlait pas d’immigrants, le phénomène de l’immigration était nouveau pour la population de l’Estrie. Le contact avec cette population était difficile (méfiance, réserve) et de plus les immigrants n’étaient quasiment invités nulle part.Aujourd’hui, on les voit partout dans la région et ils s’impliquent dans les mêmes activités que Québécoises et Québécois. Ils parviennent alors à s’intégrer davantage dans la région de l’Estrie et de ce fait, raréfiant les conflits intercommunautaires.
7. Avez-vous ciblé certaines communautés à travers les problèmes qu’elles vivent?Je peux dire que nombreuses sont les communautés qui rencontrent des difficultés. Par exemple, la communauté latino a d’énormes difficultés pour se trouver de l’emploi, ce qui est également valable pour la communauté africaine. Pour remédier à ce problème critique à nos yeux, nous sommes présentement en train de travailler avec le Ministère de l’immigration sur les questions liées à l’emploi. Autrement dit, la possibilité de permettre aux immigrants de disposer de certains postes de décision afin de leur permettre d’obtenir de bons salaires.
8. Quelles sont les solutions que vous proposez aux immigrants pour résoudre les problèmes de l’intégration et l’emploi?En ce qui concerne l’emploi, il existe des organismes qui aident les immigrants dans la recherche de l’emploi, mais, ils n’ont pas assez de poids ni de ressources suffisantes pour trouver de bons emplois. Ils ne proposent le plus souvent que des emplois à faible revenu (salaire minimum) comme le travail dans les usines, les manufactures, le ménage, etc.Cependant, tous les immigrants ne sont pas faits pour ces genres d’emplois, on peut compter parmi eux certains qui sont très qualifiés et hautement diplômés. Mon objectif dans le cadre de la collaboration avec le Ministère de l’immigration est que d’une part celui-ci soit capable de reconnaître les fameux diplômes des immigrants et d’autre part qu’ils puissent placer ces derniers dans leur domaine respectif afin qu’ils puissent faire ce qu’ils savent mieux faire. Récemment, on était en contact avec une femme de Montréal qui nous a parlé d’un organisme qui fait l’accompagnement des immigrants diplômés. Cet organisme parraine l’immigrant et lui permet de trouver un bon emploi dans son domaine. Il est parfois normal que les entreprises ne veulent pas embaucher les immigrants parce qu’ils ne sont pas diplômés d’ici mais ils peuvent tout de même leur accorder une chance de prouver leurs compétences ou de les former en conséquence. Par exemple, une formation d’au moins six mois pourrait combler ces multiples différences.
9. Quels sont les maux que vous avez pu déceler dans le milieu des immigrants?De façon naturelle, les gens disent qu’ils se sentent isolés, ne connaissent personne et que leurs voisins ne veulent même pas les saluer. Ce manque d’ouverture leur cause beaucoup de peine. En outre, j’ai constaté qu’en réalité les immigrants ont du mal à faire reconnaître leur diplôme, ce qui rend leur intégration extrêmement difficile. C’est dur pour leur moral, d’autant plus qu’ils ont traversé des difficultés avant d’arriver ici. Ils ne viennent pas pour le simple plaisir de faire du tourisme. Le plus souvent, ils quittent sans rien laisser à leurs familles. À leur place donc, nous serons de même attristés de savoir qu’il y a un manque de soutien ou encore de sympathie au regard de tous les problèmes que nous aurons pu rencontrer. De plus, il n’existe pas assez de ressources pour leur venir en aide. Pour résoudre ce problème, je pense qu’il faudrait lancer un appel à toute la communauté québécoise. Un appel qui consistera à conscientiser les Québécoises et Québécois afin qu’ils soient plus réceptifs aux difficultés que rencontrent les populations immigrantes.
10. Quel est le message que vous avez à adresser aux communautés culturelles?Pour ma part, je dirais qu’ils doivent travailler beaucoup plus ensemble afin de mieux se connaître et de tisser des liens car leur difficultés et leur idéaux se rejoignent. Comme le dit l’adage : « l’union fait la force ». Ensemble alors, ils pourront mieux lutter pour faire face aux problèmes quotidiens qu’ils rencontrent et œuvrer au bien être de toute leurs communautés. C’est en travaillant et en luttant ensemble qu’on va y arriver ensemble.

GERVAIS MBOUMBA.
citoyen du monde

vendredi 3 août 2007

LE DISCOURS DU PRÉSIDENT SARKOZY EN AFRIQUE.

L'Afrique en tout cas, reste le continent qui défraiera toujours la chronique bien au delà des années 2080.

Le problème de développement multiforme de tout le continent reste à mon avis une question qui continuera de faire couler tant d'encre que de salive. Le monde évolue dans tous les domaines . L'Afrique quant à elle ,évolue à rebrousse-poil ,tant les causes sont liées à la manière dont le continent est géré. Aucun programme véritable porteur d'espoir pour consolider son indépendance, n'est proposé dans une moindre mesure depuis les indépendance les États africains ne font que du troc: c'est à dire vendre à vil prix les matières premières et faire la fête avec le peu qu'ils gagnent sans perspective d'avenir envisageable.
Le secteur commercial et industriel sont en panne depuis que les États ont le monopole sur tout .Curieusement, ces mêmes États n'ont jamais créé une entreprise capable de générer des bénéfices de manière à ce que d'autres entreprises naissent à partir de la première .
Cette situation est d'autant plus préoccupante que le jeune présent français dans la déclaration faite en tournée dans certaines capitales africaines, a totalement raison de déclarer que le mal de l'Afrique est à partager. Cela signifie que le sous -développement ,la misère et le manque de travail en Afrique sont des fléaux ,qui ont pour ressembles ,les dirigeants Africains et leurs maîtres qui les placent au pouvoir. Cela est d'autant plus vrai que ,sans risque de me tromper, le président Sarkozy ,venait de dire des grandes et vraies vérités aux chefs d'États Africains dont le comportement digne, l'éthique et la compétence manquent lourdement ,faisant du continent, un monde de deuil séculaire.
Cependant, le président français, Nicolas Sarkoszy ,n'a pas pris des exemples concrets qui font que la France, pays de droit et de démocratie,soit souillée par des manoeuvres de corruption en Afrique quand on sait que c'est bien la France qui amène dans ses sacs, des dirigeants ignobles dans certains pays d'afrique où la France voit plus ses interêts que d'autres choses.ces chefs d'État que l'on impose pour présider aux destinées de leurs concitoyens qu'ils affament tout le temps ne sont bien évidement que la raison du partage des causes du sous-developpement dont palre le président Sarkozy.
Il est donc clair que la France du droit sous Sarkozy doit faire un effort de traduire en justice tous les chefs d'États africains brillant pas la corruption , le népotisme au pouvoir ainsi que la dictature qui a broyé la démocratie.
Par comparaion simple, si l'ancien premier ministre français De Villepin est compromis dans une affaire louche,il en est de même pour les chefs d'États africains dont les noms sont connus.Il est temps que la France et ses alliés fassent une saine coopération avec les États Africains ,afin de bâtir un monde meilleur.

GERVAIS MBOUMBA
citoyen du monde.

jeudi 5 juillet 2007

MALADIE OU DIVORCE DÉGUISÉ ENTRE LE ROI ALBERT ET LA REINE ÉDITH?

MALADIE OU DIVORCE DÉGUISÉ ENTRE LE ROI ALBERT ET LA REINE ÉDITH?


Silence hôpital ! Ici on soigne !
Édith la fille de l’autre arrachée dans sa tendre jeunesse exactement à l’âge de 25 ans en sa qualité d’étudiante en médecine en fin de formation à l’INSSA, institut national de sciences et de la santé où elle décrocha avec brio son doctorat en 1997, est depuis quelques années souffrante .La fin de ses études en médecine coïncida pathétiquement avec son mariage mi-figue, mi-raisin avec Le Roi Omar de la Gabonie déjà âgé de 59 ans presque demi grand père…..
Ce mariage forcé par son père le Roi Denis du Congo Brazzaville qui a réalisé un grand deal avec tout ceux qui l’ont aidé à extirper de la forêt d’Ikongonio, un ennemi de la trempe de Pierre Anga : un redoutable co-assassin du président Marien Ngouabi en 1977, celui-là même qui avait pris le maquis non sang avoir fait couler le sang notamment des militaires envoyés par El SASS arrêter Pierre Anga, mais qui furent froidement abattus par ‘’Commandant Pedro Anguito’’.
Edith n’en revenait donc pas pour ce qui devrait lui arriver ce matin là de l’an1997. Elle prit son courage à deux mains : Fille d’un chef d’État, aller épouser un autre chef d’État plus âgé que son propre père de plus de 13 ans d’écart ! Eh bien il faut le faire. L’amour est aveugle, aussi, le goût de chacun ne se discute pas, surtout le goût du père, le Roi Denis.
D’ailleurs ce n’est ni faire ‘’du mwana moninga aleka, kamata bonbon’’ : slogan cher au célébrissime Franco : musicien de l’autre Congo .Loin s’en faut !
Notre sœur bien aimée Édith en ce temps là médite et abandonne tout ce qu’elle avait de si cher : copain, copine, petites photos, lettres d’amour et surtout brise ses rapports intimes d’avec son tendre amant d’avant pour se préparer au mariage du siècle. Eh oui ! Grande fut la surprise pour son copain d’alors ! Inattendu fut le bouleversement qui lui était arrivé ! A-t-il convolé un, deux, trois ans après ? S’est-il suicidé? Pas de trace pour ce dernier.
Yako ! Comme aurait pu dire mon ami de la Côte-d’Ivoire…….
Et puis ce qui devrait arriver arriva.
Edith finit par intégrer la cour du Roi, puis commença à mener une vie royale faite de fric, de bonheur et d’honneur en imprimant une marque,sa propre marque à elle .Belle,élégante,intellectuelle ,même la haine de la rivale ou celle des gabonaises n’ont pu causer un réel désagrément. Ne dit-on pas que le chien aboie,la caravane passe ?
Ainsi l’ouragan de critiques insufflées de la bouche de la rivale Patience Dabani à travers des chansons comme ngounda ngounda ou d’autres tubes musicaux au relent provocateur n’ont aussi de loin donné aucun impact pouvant réellement ébranler l’union même forcée d’une fleur rose et d’un baobab.
Mais seulement voilà………..
Certes,malade aujourd’hui et internée à l’hôpital au bord de la Seine et non à Jeanne Ébory ou même à El Rapha à Libreville, la Première dame a presque totalisé le temps de la jachère d’un champ de manioc cultivé chez nous. La fille de l’autre souffrant d’un mal dont on ne connaît ni le nom et la cause exacte : en un mot le diagnostic étant peu publié, laisse beaucoup de doute planer sur son cas. Aussi, âgée de moins de 50 cloches du destin (son conjoint en a 73), son cas pose d’innombrables interrogations. Les mauvaises langues bien aiguisées évidemment roulant plus vite avancent parfois des propos malveillants et mensongers à l’égard de notre sœur qui aurait là, profitant de sa maladie, eu une occasion dit-on en or pour en découdre avec Bongo Ondimba.
Si cela s’avérait vrai,on peu sans risque de se tromper dire que le Roi Albert serait en passe de devenir celui dont le divorce est rangé au même titre que le pain quotidien ?
Donnons le temps au temps car à ce jour on ne peut confirmer ou infirmer une telle assertion.

GERVAIS MBOUMBA,
Citoyen du monde.

samedi 30 juin 2007

MOURIR AU POUVOIR ,RÊVE DE TOUT DICTATEUR.

En Afrique, certains dictateurs ayant accédé au pouvoir par coup d'État ,aimeraient également en conserver jusqu'à la fin de leur vie,tel est le sésame le plus cher à par ces dictateurs quel que soit la médiocrité qu'ils étalent tout au long de leur règne.Le cas de Sassou est une illlustration refrencielle .Parvenu aux affaire lorsqu'il n'était âgé que 30 ans à peine en 1979.L'homme n'est plus à présenter,car son parcours est le plus minable qu'il soit pour un cursus qui débuta dans son village Édou en fréquentant l'école primaire à Oyo,avant de faire cours de quelques mois au cours normal de Dolisie,dont les promotionnels de l'époque sont:François Bita,Balley Mego,Mbengo,Ngouanda Jhon,Mberi Martin,Nzamba Clement.....
C'est en 1960 que la police congolaise en carence de cadre après l'indépendance que Sassou Nguesso se fait recruter parmi des éléments à envoyer en stage de 6 mois en Algerie pour une formation rapide et accelerée.C'est au retour de cette formation qu'il doit être bombardé au grade de sous-lieutenant,après un autre stage de 6 mois en France,et puis,plus rien.Jusqu'au moment où Marien Ngoaubi fait de lui un chef militaire.... c'est tout.
C'est donc dans l'entourage de Marien Ngouabi que monsieur Sassou apprit comment dresser un procès verbal,comment mener une vie professionnelle dans la force publique.En 1962,lors des tristes évènements du conflit Congo-Gabon provoqué par un match de foot-ball entre les deux pays,Sassou Nguesso est envoyé diriger à Mbinda une petite troupe pour sécuriser la frontière Congo-Gabon par cet axe,tout en rançonnant des gens et en emmerdant des femmes mariées(rapport d'un sage de la localité en 1992).
Après l'assasinat de Marien Ngouabi ,ayant goûté les délices du pouvoir ,Sassou Nguesso en fait une carrière,non sans appliquer une politique où regnent la pagaye et le vol d'argent au sens strict du terme,en favorisant les frères du coins dans l'armée comme dans l'administration ,dans le seul dessein de conserver et de consolider le pouvoir.C'est grâce donc aux bouleversements survenus dans le monde avec la chute du mur de Berlin que finalement son pouvoir dictatorial acquis pour la première fois en 1979 fut ébranlé ,avec l'avènement de la démocratisation de la vie publique au Congo.Battu donc royalement à l'élection présidentielle tenue en 1992 après la fin de la conférence nationale souveraine et la fin de la transition,Sassou devient un véritable orphelin qui trouve parrain en Europe pour préparer un coup d'État sanglant qui lui donne la chance de revenir au pouvoir depuis 1997.Deuxième épisode comme qui dirait,10 ans après de pouvoir sanguinaire et detructif le pays, en déciment les populations civiles qui s'opposent à son pouvoir issu du coup d'État,l'homme croit amadouer la communauté internationale d'être un démocrate ,alors qu'il n'est qu'un loup vêtu de peau d'agneau.faire qui arrêta nette la démocratie.Ainsi désormais accroché au pouvoir,,et d'ailleurs étant sur les traces de Bongo son gendre:président du Gabon qui a totalisé 40 ans de dictature ondimbique,le dessein de Sassou Nguesso est de vivre et mourir au pouvoir,afin d'être appelé président défunt et non ex-président:cela sonnerait mal à l'oreille . Aussi,toute la ribambelle en seraient fière d'accéder au rang de fille et fils du feu président Sassou et non fille et fils de l'ex-président Sassou Nguesso.Cette démarche fut aussi celle qu'avait Mobutudans ses coups de gueule.Pour Sassou,ça peut lui réussir si Dieu est de son côté,mais parfois non,car quoiqu'on soit un Géant dictateur,on a pas toujours une boule de cristal pour scruter l'avenir.Qui sait un jour si le fleuve Congo peut tarir? Qui sait un jour si Le lion peut venir devant demander pardon à la chèvre?
Qui peut donc savoir si en dormant dans son propre lit,qu'un ronflement soit tout à fait comme le dernier soupire qui s'évade dans la nature?Personne .

GERVAIS MBOUMBA.
citoyen du monde,

mercredi 27 juin 2007

LA MORT DU JOURNALISTE JOSEPH NGOUALA,CORRESPONDANT DE L'AFP AU CONGO BRAZZAVILLE.


Joseph Ngouala journaliste émérite est décédé à Brazzaville.

La mort comme tout le monde le sait est un phénomène irréversible. On s'entend! Mais le cas du journaliste Joseph Ngouala n'aurait pas dû avoir lieu prématurement.Curieux à Brazzaville au Congo de sassou!

En écoutant l'annonce de la mort de Joseph Ngouala faite par un certain Jean Claude Kakou au journal de la télé nouvelle espérance,c'est vraiment choquant pour ce jean Claude Kakou qui annonce le décès d'un confrère avec un ton fracassant comme s'il s'agissait de quelqu'un d'autre ! C'est vrai que certains journalistes au Congo Brazzaville sont jaloux d'autres.....

Au fait, si l'on peut se rappeler de ce journaliste Joseph Ngouala,il faut dire que : mort de crise cardiaque oui,certainement ! Mais le pouvoir de Brazzaville tue ses ennemis à petit feu. Jean Dominique Okemba ,le neveu et gardien du temple de Mpila,le criminel conseiller de sassou cet individu est celui qui a proféré des menaces de mort à ce vaillant journaliste.Ensuite,Jospeh Ngouala aurait même d'ailleurs été victime d'un enlèvement au sujet d'un problème sur Ntumi,heureusement,ce jour là,il était prudent de refuser de monter dans la voiture funèbre à bord de laquelle ses bourreaux l'attendaient,bien armés jusqu'au dents.Et depuis le vaillant et journaliste émérite,de surcroît correspondant de Radio France Internationale, vivait avec des souci dans son coeur,depuis que Dominique Okemba l'avait menacé de mort dans un Congo Brazzaville de la jungle de criminels venus au pouvoir en tuant ceux qui osent dire la vérité.Quel gâchis au Congo Brazzaville!

Je crois qu'aujourd'hui Jean Dominique Okemba est tès content de savoir que Joseph Ngouala est mort ! Mais,il doit savoir également que personne ne vivra ad vitam aeternam.

C'est ici l'occasion , une fois plus,de dire à la communauté internationale ,aux journalistes et chevaliers de la plume,hommes de presse au monde que le Congo Brazzaville est un pays dangereux en matière de liberté de presse depuis que les putschistes se sont installés au pouvoir par les armes,les journalistes travaillent avec beaucoup de prudence.Joseph Ngouala était donc traqué,ceci avec la complicité de certains journalistes Congolais évoluant à Brazzaville.

Que les bourreaux des journalistes sachent que leur temps n'est plus loin pour comparaître devant le TPI.

JOSEPH NGOUALA ! Paix à son âme!


GERVAIS MBOUMBA

citoyen du monde.

mardi 26 juin 2007

DES MUSICIENS CONGOLAIS DE DEUX RIVES,VERITABLES CHANTRES AU SERVICE DES DICTATEURS.


Ces dix dernières années,certains musiciens congolais des deux rives du Congo sont passés pour des véritables bourreaux du matraquage des consciences des populations africaines en vantant dans leurs chansons les dictateurs qui pillent l'Afrique,qui tuent les populations en accédant au pouvoir par coups d'État. À l'instar des certains pasteurs dirigeant des sectes ou religions dites de réveil dont l'existence n'est possibles qu'en travaillant en étroite collaboration avec ces dictateurs. Ainsi, de Kinshasa à Brazzaville,les oreilles des populations ne cessent d'être bombardées par de cris et slogans en citant des noms tels: François Ndenguet mon général,Otsombé sassou ,toute autorité vient de Dieu(celle des coups d'État?).......,mama Édith,le général gazon, le colonel Makambo, le général Manzanza.....que sais-je encore...., comme si ces gens étaient des héros pour l'Afrique alors que c'est une bande de pilleurs et de gangsters qui ne doivent leur célébrité qu'en ayant arracher du fromage de la bouche peuple.

Cette musique faite de flatterie pour le bout de pain certes, mais en tout cas sans le savoir,peut à l'avenir avoir des conséquences d'auto-censure à la vox populi des oeuvres de tous ces musiciens.Vanter les mérites des dictateurs à travers des oeuvres dont les consommateurs sont les paisibles populations d'Afrique que ces dirigeants véreux ont appauvries depuis 40 ans,est un acte de propagande crapuleuse et irresponsable qui prouvent que certains musiciens n'ont point de créativité en se laissant amadoués par des faux hommes politiques. Un musicien est avant tout un éducateur,un pédagogue qui a une grande parti des populations du monde à éduquer,à rendre gaies et joyeuses.Liant l'utile à l'agréable, je dirais sans risque de me tromper qu'un des plus grands hommes de ce monde les plus connus figure en bonne place le musicien à cause de l'immensité de son oeuvre qui touche des thèmes profonds de la vie.Ainsi contribuant au developpement de la société vers le progrès,le musicien présente dans son art rythme , mélodie et thème de chansons qui sont là des élements captivants qui suscitent en nous une prise de conscience en étant le bon compgagnon de notre vie.C'est pourquoi un des grands de ce monde disait je cite:«la musique est une force capable de refouler le désespoir».Plus loin,il dit encore que:«la musique est l'art de dessiner les sourires».Or lorsqu'on écoute certains musiciens vanter la médiocrité des dignitaires et dictateurs en Afrique,on est en droit de se demander si nos musiciens surtout congolais des deux rives sont devenus des petits convoyeurs du peuple meurtri sous l'angoisse des difficutés vers un océean des misères morales? Nos musiciens sont-ils des petits accompagnateurs des dictateurs en Afrique et particulierement dans les deux Congo?


GERVAIS MBOUMBA,

citoyen du monde.

dimanche 24 juin 2007

LA RÉTHORIQUE ANACHRONIQUE SUR LA CONFERENCE DE BERLIN


Nombreux sont des Africains qui s'attardent encore sur ce qui a été décidé à la conférence de Berlin sur le contrôle et le partage de l'Afrique par des puissances colonisatrices .En décidant de taire leurs rivalités pour le gâteau à se partager sans conflit entre colonisateurs opérant sur les territoires africains,sous l'initiative de Bismark ,du 15 novembre au 26 fevrier 1884.Les occidentaux,tout en décidant de l'abolition de la traite négrière par un acte général signé le 23 fevirer 1885,décidèrent cette foi-ci de pénétrer jusqu'à l'interieur des territoires Africains.C'est le cas du territoire du Congo ainsi que bien d'autres qui ont été cédés à la France.

Plus d'un siècle et 23 ans, jour pour jour,beaucoup de choses se sont passées et d'autres rapports se sont alors tissées entre les occidentaux et les Africains. Certes qu'on reconnaîtra l'hégémonisme persistant des occidentaux dans tous les domaines face à l'Afrique qui sombre dans des conflits fratricides, même après les indépendances acquises en 1960:cela est tout à fait normal quand on sait le retard accumulé depuis des siècles........

Cependant soyons honnêtes et ne fermons pas les yeux sur notre propre profil de grandes faiblesses et notre incapacité affichées ,voire notre culture qui font que nous soyions nous mêmes des êtres qui n'ont jamais eu la volonté de changer dans le sens du progrès.

Je suis de ceux qui pensent que l'Afrique avec d'énormes potentialités économiques aurait eu un bond depuis les années 60 et 70 si nous étions réellement unis,pragmatiques,bons gestionnaires,démocrates et hommes de loi en acquerant le pouvoir par les urnes er non par coup d'État.Les pères des indépendances qui ont dit la vérité aux anciens colonisateurs:BarthelemyBoganda(qui mourut avant l'indépendance de son pays),Nkwamé Kroumah,Patrice Lumumba ,Marien Ngouabi,Thomas Sankara ont été d'abord trahis par leurs frères africains avant d'accuser des blancs.Aujourd'hui,c'est le bis repetita.Les Bongo,Sassou Nguesso,Idriss Deby,Bozizé , Blaise Compaoré et bien d'autres dirigeant africains, jouent les mêmes rôles pour vendre l'Afrique en trahissant leurs compatriotes,en servant l'occident au détriment du continent en bafouant notre indépendance.Par ailleurs,si l'on prenait le volet social en abordant l'aspect démographique ou l'on tenterait d'analyser le contexte migratoire des peuples y compris les frontières érigées par les colonisateurs ,il est important de souligner que ce problème suscite souvent des faux débats.Le colon qui forgea des frontières entre deux familles, ne nous demande pas continuellement de refermer ces frontières et ne plus se parler !C'est plutôt l'égoïsme des Africains eux- mêmes qui en est en grande partie la cause de nos divisions .Pourquoi ne pas vivre à l'exemple de l'union Européenne ? Qu'est ce qui empêche les Africains de pouvoir s'unir ? Depuis 1960 l'influence de la conférence de Berlin s'est arrêtée.Comment peut-on continuer à croire qu'en Afrique les gens ne s'entendent pas dans un pays à cause des frontières érigées par la force ? Les dirigeants Africains sont incapables de favoriser la libre circulation de leurs concitoyens par la signature et la ratification des conventions dignes et d'accords responsables et constructifs d'une véritable unité africaine,alors qu'ils ont facilement les moyens et la compétence de le faire.On les voit plutôt brillants dans la débauche et la mendicité.Roulant leurs peuples qui croupissent dans la misère,sacrifiant la jeunesse qui ne manque pas d'idées pour aller en clandestinité en europe par tout les moyens,les dirigeant africains n'ont jamais été génés par leur irresponsablité.

La situation économique de la Chine par exemple n'en fut pas rose pour autant avant 1920,Aujourd'hui,ce pays fait peur aux puissances occidentales.


Ainsi, les Africains doivent être solidaires,et ne pas trop s'attarder sur l'évocation de la conférence de Berlin qui est considerée jusqu'à nos jours comme étant la cause des bouleversements sociaux en Afrique,car nos indépendances ont été la réponse cinglante aux conclusions de cette conférence de Berlin.Laissons plutôt la conférence de Berlin aux historiens.Si nous protégeons efficacement notre indépendance à travers des actes d'affirmation réelle et concrète pour le développement dans tous les secteurs d'activités,sans vouloir vivre dans l'autarcie,loin s'en faut,l'Afrique sera un continent à l'abri des maux qui la minent aujourd'hui. Aussi,les dirigeants africains ne doivent pas continuellement compter sur les autres.Nous devrions faire une coopération digne,car tous ces dirigeants en Afrique ayant tendu la main à l'occident depuis longtemps,tout en monnayant leur dignité, n'ont jamais fabriqué même une boîte de conserve dans leur pays respectifs,alors que nos poissons dans nos rivières, dans nos fleuves et dans nos mers, meurent de vieillesse.


GERVAIS MBOUMBA,

citoyen du monde