samedi 29 septembre 2007
LETTRE OUVERTE AUX INTELLECTUELS DU CONGO BRAZZAVILLE.
Dans notre pays,avant comme après l'indépendance acquise en 1960, des gens naquirent, naissent et continueront de naître.la vie par définition c'est vivre parce qu'on est né quelque part et, de ce fait chacun de nous y est arrivé ,arrive et continuera d'arriver.C'est une loi divine.Comme vous le savez, notre monde est divisé en continents,dans chaque continent, il y'a des territoires.Dans ces territoires se trouve une organisation:le pays au sein duquel existe une formation socio-politique:l'État avec ses règles, ses subdivisions territoriales et administratives au sein desquelles une répartition géoculturelle s'est effectuée depuis la nuit des temps.En sciences politiques ,un domaine précis est abondamment étudié et utilisé même par les démographes:les forces vives du pays ou la nation.La nation c'est l'ensemble des populations partageant un même espace,culturel qu'on appelle territorial en s'appropriant communement de ces richesse conformement aux dispositions établies par la lois fondammentale du pays.La nation c'est également l'ensemble de la populations ayant en partage la même hitoire, les mêmes répères sociaux,c'est en somme un peuple commun ayant un idéal commun ou objectif pour garantir l'avenir et le devenir de la nation tout entière en la defendant, en la developpant de manière à favoriser des conditions de vie meilleurs pleine d'harmonie et d'épanouissement culturel intellectuel socio- professionnel ou autres,dans la paix, la sécurité, la confiance mutuelle,en toute équité,dans le respect des lois égalitaires qui régissent toute la communauté où :femme ,homme ,enfant doivent faire prevaloir leur droit en même temps reconnaître leurs obligations devant la loi...la liste est longue.....Tels sont les repères d'une nation moderne et civilisée.Or, jeune ,en grandissant depuis les années 1980 dans ce Congo dont je parle, je commençai à m'interroger si reellement nous sommes une nation face à l'injustice, le mépris,le totalitarisme et le rejet de l'autre:forme de ''racisme'' torpical qui pointait déjà à l'horizon au Congo,depuis les années 1980.L'éthnie du chef sonnait fort et les membre de l'ethnie du chef pratiquant déjà une influence psychologique sur d'autres éthnies,avec la démocratie,le mythe commença a tombé car on vit venir une ère de liberation psychologique.tant des militaires avant 1990 devenaient si impolis ,mefiant et brutaux en vers les civiles.on vit un air d'espoir.Mais avec le retour de sassou au pouvoir par coup d'État,le congolais ont réplongé une ère de confiscation des libertés.Du type des politiques sociales et les instititions en passant par les rapports intercommunautaires entre congolais,entre les differents groupes ethniques au Congo brazzaville,jusqu'aux rapports les plus élementaires,le constat est très amer face au comportement délinquencier et au premier chef les dirigeants qui une fois revenus au pouvoir par les armes,il s'ensuit une véritable penitence afffligée déliberement aux populations.On est en droit de croire à une jungle républicaine qui forme au jour le jour en constatant avec beaucoup de peine la manière dont le pays est géré.Un véritable espace d'escrocs qui dictent la loi en semant une terreur douce ,mais nocive dont les repercutions sont durables sans le savoir.Tenez par exemple en 1997,le retard causé aux élèves et étudiants par sassou pendant et après son coup d'État, n'y est pas encore rattrapé.Dieu seul sait si celui-ci sera rattrapé .Le monsieur s'en fout éperdument mais, nous disons que c'est un véritable crime en déhors du génocide que celui-ci a fait.Dans ces conditions comment continuer à croire que celui qui est en face de moi soit un compatriote à qui faire confiance? Il y'a des gens comme les Okanga qui sont d'office ceux qui ne veront jamais les fautes des nordistes par exemple qui écument le congo depuis 1968.Comme leur abatardissement les contraint d'une manière aveugle à penser qu'on les en veut.Ils sont les premiers à chanter sur tous les toits du monde qu'on est tribalistes.De quelle manière?N'est-ce pas là l'image du voleur qui crit au voleur ?Il faut que les gens comprennent un peu que les biens materiels, les appetits du corps et non spirituels sont un venin à multiples connséquences.La politique barbare devient un sport institutionalisé, que mêmes des promotions des parents aux divers postes de responsabilité dans l'administration publique dans l'armée n'obéit qu'à cette règle ignoble d'oligarchie et de familiarisme.Il fort à parier que le Congo Brazzaville sorte sur une tellemauvaise voie de garage face à la compétitivité qu'impose la mondialisation.On a vu des simple étudiants comme Okombi salissa ,cobra familier,ne doit son ascension ministériel que parce qu'il a tué,volé ,violé pour se placer au rang d'homme d'État.Quel exemple va-t-il donner aux futurs cobras, lorsqu'on sait que chaque mbochi qui nait depuis 1997 est d'office petit cobra sur les traces du grand cobra à qui inculque dejà la grande pensée du livre vert aux nouveaux cobras à savoir:Ton enemi est au sud du Congo,dis-lui bonjour, mais n'oublie pas de lui faire un coup d'État,car la survie en dépend pour enrichir la contrée ou la region.L'homme est un loup pour l'homme oui!Mais en clair ,le nordiste est un loup pour le sudiste.la preuve est là sur la question de l'acquisition du pouvoir.
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