samedi 2 juin 2007

LES CRIMINELS QUI ONT ENDEUILLÉ LE PEUPLE CONGOLAIS DE 1992 À NOS JOURS..


«L'histoire socio-politique du Congo Brazzaville est à réécrire dans sa clarté et dans sa vérité»


Depuis la tenue de la conférence nationale souveraine au Congo Brazzaville,des personnalités bien connues ont toujours été un danger pour la république du Congo Brazzaville.Ce sont:
1-Sassou Ngeusso
2-Kolélas
3-Noumazalay.
4-Mokoko,
5-Pierre Oba.
6-Dabira
7-Tassoua.
8-Adoua
9-Ndenguet
10-Nkota.
11-Tsourou
y compris des gens qui les ont aidés dans leur projet macabre.

Le Congo Brazzaville depuis son indépendance en 1960 a quasiment passé plusieurs decennies de troubles dont les acteurs sont les partisans de FulbertYoulou(UDDIA) et de Jacques Opangault(MSA).Calquée sur une sorte de bipolarisation,la vie politique nationale de cette époque a suivi cette marche,en faisant des éthnies et des regions de part et d'autres comme des entités naturelles antagonistes de la république dans une course conccurencielle inavouée et éffrenée pour la conquête du pouvoir et le positionnement concurrenciel dans l'espace administratif pour des postes civiles ,militaires et diplomatiques.Cette situation est devenue un cadre de méfiances et de suspicion: comportement qui frise l,étiolement des principes et valeurs d'unité nationale .Youlou et Opangault n'étant plus de ce monde,les successeurs de cette idéologie ont accentué ,voire institué le tribalisme et le régionalisme dans les affaires de l'État par des méthode basées sur les nomminations des cadres en tenant compte de l'appartenance ethnique ou régionale.De 1960 à 1968 ,on a vu l'écurie Kongo -Lari à tous les niveaux.De 1968 jusqu'en 1992, On assista à la horde des mbochis-kouyou -Téké, tout au moins, les régions septentrionales du Congo qui jouirent de la largesse du pouvoir en ocupant le haut du pavé adminsitratif.
Or les choses évoluant dans l'espace et dans le temps,Arrive la démocratisation du Congo.

Ainsi,trois régions margninalisée presque durant des décénnies, vont se reveiller en condamnant cette course au pouvoir:Le Niari ,la Bouenza et la lékoumou et une parti du Kouilou marginalisées par d'autres,s'organisent pour créer un socle politique afin de conquérir le pouvoir d'une manière loyale par l'exposition d'un programme de developpement social pour le Congo tout entier.Les esprits s'echauffent à partir de 1990, l'année de la tenue de la première conférence nationale souveraine dirigée par Monseigneur Nkombo.Au sortir de cette conférence nationale jusqu'à la transition,l'on sentit que les Congolais n'ont pas toujours reglé le problème fatal du triblaisme et du régionalisme.Des positions tenues par les uns et les autres à travers les discours,on sentit un véritbale manque de patriotisme et de véritable culture démocratique,bien au contraire, tous n'en demordent pas et transmettent les mêmes rancoeurs et les mêmes signes de haines dans les esprtis des jeunes et de leurs populations éthniques respectives à l'instar des moments d'il y'a 30 ans auparavant.les inquietudes planent donc dans les esprits des démocrates et des nombreux observateurs.Les choses se compliqueront lorsque le verdict des urnes donnent à Pascal Lissouba le suffrage universelle à remporter l'élection présidentielle.Les candidats perdants ne donnent aucune impression des bons leaders assagis par la conférence nationale où les gens ont fait un geste symbolique de lavement de mains,en encourageant par exemple le gagnant....
Culture africaine ou simple culture d'une classe politique en mal de démocratie?
On va donc assisté à un mandat démocratique troublée par ceux qui étaient habitués à la vie facile ,le mensonge et le mythe de grands -chefs devant lesquels on devrait se prosterner.Combien de coups d'État n'ont pas été déjoués depuis même la transition qu'à dirigé André Milongo?


L'ARMÉE OU LA GRANDE MUETTE:

Cette institution est celle au sein de laquelle certains militaires haut- gradés pour la plus part sont originaires de la région de Sassou Nguesso n'ont aucune intention de s'accrocher à la nouvelle donne;car les états généraux de cette institution, proposés à la conférence nationale n'est pas du goût de nombreux généraux qui se sentiraient dépouillés.Et les chosent évoluèrent ainsi même sous le mandat du Porfesseur Pascal Lissouba ,président démocratiquement élu.Ensuite pensant de son côté que cette armée est républicaine ,Pascal Lissouba eût confiance en elle sans la reformer et surtout sans connaître les intentions de tous les généraux ,officiers, sous officiers ou hommes de troupes:d'ou la réconduction de Mokoko comme chef d'État major.Comme vous le voyez,Pascal Lissouba est un démocrate,car son gouvernement a regroupé des minsitres issus de toutes les régions.Cependant des vélléités d'attaques et de coups d'État se faisaient sentir surtout que Kolélas et ses partisans de leur part affichaient une haine au régime du Professeur Pascal Lissouba.Tout le monde sait combien Oba Pierre a multiplié de tours à Bakongo pour acheminer des armes et munitions assorties de plusieurs caisses d'argent que sassou envoya à Kolélas, dans le seul but d'empêcher le gouvernement élu démocratiquement de travailler.
Est-ce du nationalisme ou bien de la pire rébellion des gens qui n'ont pas envie de la démocratie? Comme l'on pouvait lire la déclaration de Kolélas qui parlait de la solution militaire à la crise au Congo:véritable signe de destruction de la démocratie et, cela s'est confirmé avec le coup d'État de sassou en 1997,en introduisant même des Rwandais Tchadiens et l'armée Angolaise venue à sa rescousses.
Ainsi,le rôle joué par toutes ces personnes ci-dessus citées étant irréfutable que la vie politique au Congo est troublée ,c'est bien à cause d'eux.
Ils ont tué violé,assassiné les populations qu'on demande à l'opinion internationale de les juger pour crimes contre l'humanité au Congo Brazzaville.

GERVAIS MBOUMBA
citoyens du monde'

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